
Le conseil supérieur de la magistrature (CSM) a rendu public un communiqué, ce dimanche 23 janvier 2022, pour mettre en garde au dénigrement ayant pris des proportions sans précédent, portant atteinte à ses membres, et plus particulièrement, Me. Abdelkrim Rajeh et Moufida Mtimet, avocats qui se sont portés volontaires pour défendre les décisions et les intérêts du conseil auprès des différents tribunaux, dans la mesure où ils font partie de la commission des litiges et chargés de représenter le conseil depuis son installation en 2017.
Dans ce contexte, le conseil précise que la commission concernée à la présidence du gouvernement a considéré que l’appel d’offres était infructueux, refusant ainsi de prendre en considérant les résultats d’une consultation juridique pour le recrutement d’un avocat chargé des affaires du CSM.
Le CSM tient à préciser que Me. Moufida Mtimet et Me. Abdelkrim Rajeh étaient bénévoles et n’avaient reçu aucun honoraire pour défendre le conseil dans l’affaire de Béchir Akermi, et n’étaient jamais les avocats de ce dernier. Dans ce sens, le conseil appelle à vérifier toutes les informations soulignant qu’il demeure l’unique source fiable de leur authenticité.
S.H

