
Le prix du baril de pétrole a connu, durant la nuit du 23-24 février 2022 une envolée sans précédent pour atteindre une valeur égale à 102 dollars. Le prix du baril n’avait pas dépassé les 90 dollars depuis septembre 2014. Selon certains experts, le prix du pétrole pourrait augmenter encore.
Le gouvernement tunisien a tablé, dans la Loi de finances 2022, sur un baril de pétrole à 75 dollars. Or, le prix de ce dernier n’est pas passé en dessous des 80 dollars depuis la première semaine de l’année 2022.
Le gouvernement tunisien devra, donc, combler le déficit budgétaire qui était passé de 7.094 millions de dinars à 9.792 millions de dinars entre la Loi de finances 2021 et la Loi de finances complémentaire de la même année. Il devra, également, se pencher sur l’écart continuant à se creuser entre le prix réel et les estimations de la LF2022.
Notons que plusieurs institutions avaient indiqué, en 2021, que le prix du baril pourrait facilement dépasser la barre des 100 dollars en 2022, notamment JP Morgan, Bank of America et Goldman Sachs. Le conflit entre la Russie et l’Ukraine n’a fait que stimuler cette hypothèse. L’incursion des forces russes sur le territoire ukrainien provoquera des hausses de prix de plusieurs produits tels que le blé.
A noter que la Tunisie avait envisagé d’importer du blé de l’Ukraine et de la Russie afin de répondre à ses besoins.
S.G
La production de pétrole brut en Tunisie est en hausse de 14%, à 1120 KT à fin juillet 2021, par rapport à juillet 2020, indique le rapport sur «la Conjoncture énergétique», publié par l'Observatoire National de l'Energie et des Mines. Le problème de la Tunisie, ne réside essentiellement que dans le manque de raffineries. Nous n'avons qu'une seule raffinerie à Bizerte, qui ne pourra en aucun cas venir à satisfaire la consommation des Tunisiens enrichis après la Révolution du 14 janvier 2011. Ledit enrichissement des Tunisiens après la Révolution du 14 janvier 2011, est explicitement visible même par l'actuelle possession d'une à deux voitures automobiles neuves à presque neuves, par famille. Les embouteillages et le manque de parkings, le témoignent clairement.
Ce qui me chagrine vraiment beaucoup, c'est cette nouvelle vague d'ingratitude envers la protection de notre Créateur et Créateur de tout l'univers, Allah le Tout Puissant, qu'il nous réserve aux Tunisiens. Ces arrivistes nouveaux riches, nient «niimètou Allah», dont il nous a dotée après la chute de la dictature de Ben Ali. Ils jouissent, pleurent et se lamentent en même temps comme les talmudiques, jusqu'à oser nommer leur aisance post-révolution du 14 janvier 2011, en leur «décennie noire». Du déjà-vu au Liban, où les Libanais ont montré la pire de l'ingratitude envers la Divinité (Sobhanèhou wè Taâlè).
Que le Tout Puissant nous préserve de l'exemple libanais!!!
Allah yostir Tounes.
Tout comme les Ukrainiens avec leur débile clown !!!
Les Tunisiens ?
Is vont regretter Mr Zbidi !!!



