
Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu ce lundi 9 août 2021, Abdellatif bin Rached Al Zayani, le ministre bahreïni des Affaires étrangères, qui portait un message oral adressé au chef de l'État par Hamad bin Issa Al Khalifa, roi du Bahreïn.
Le ministre bahreïni a exprimé au président le soutien de son pays et de son peuple à la Tunisie et aux décisions annoncées le 25 juillet, ainsi que sa confiance en sa capacité à diriger la Tunisie avec sagesse et efficacité et à prendre les décisions appropriées au profit du peuple tunisien pour surmonter cette période difficile.
Il a également déclaré que le Bahreïn considère ce qui s'est passé en Tunisie comme une affaire souveraine dans laquelle aucune partie n'a le droit de s'ingérer, appelant la communauté internationale à continuer à soutenir la Tunisie pour faire face aux défis politiques, économiques et sanitaires auxquels elle est confrontée.
M.B.Z

Il faut se souvenir que le pays a été membre du mouvement des pays non-alignés.
Ce positionnement, même si dans les faits Bourguiba lorgnait du côté du clan Occidental, offrait au pays le moyen de se garder d'être pris dans des conflictualités pour quoi il n'avait ni moyens ni de véritables intérêts.
Sa voix était entendue, au moins par ceux qui avaient le regard tourné vers le devenir de leurs peuples.
Ben Ali cherchait à tenir cette ligne, épargnant au pays les risques d'être broyé dans les luttes d'influence le dépassant.
Les islamistes ont tout jeté par-dessus bord et nous ont fait plonger dans l'être du jihad.
Bien avant de rapter le pouvoir, et de noyauté l'Etat, ils avaient déjà leurs troupes en Afghanistan qui accomplissaient leur "devoir" contre les laïcs, les Kouffar, l'ennemi.
Avec eux, nous sommes pris dans des rapports et des forces capables de nous organiser une guerre civile et de ranger le pays dans un camp plutôt qu'un autre au prix de perdre notre liberté, nos enfants et l'indépendance.
Nous avons vu venir le Vizir Turc inaugurer un retour en ces terres effaçant d'un trait de plume des décennies d'émancipation, même relative.
Avec les monarchies pétrolières, gestionnaires de fonds où la religion sert de paravent aux ambitions les plus sombres, jusqu à nous mener au statut de sous-protectorat d'un '?mir ou d'un Sultan, avec la haute bénédiction d'une mouvance interlope et meurtrière.
Par chance, le fatum a voulu qu'on tente de s'en protéger, délogeant les agents qui nous tenaient sous leur botte.
Comme la donne a changé, on voit leurs petites mains d'abord sonnées au point qu'elles désertèrent leur champ de bataille.
Et puis, voyant que le rouleau compresseur ne montre pas de l'urgence à les arraisonner, les mettre en geôle, qu'il prend son temps et respecte les formes, les voilà qui sont tentées par un retour en force afin de poursuivre la diffusion de "la bonne parole".
Il va falloir plus que des paroles pour sauver la mise des donneurs d'ordre.
Désormais, plus personne n'est à l'abri de la justice dès lors qu'il a commis des faits répréhensibles.
Et, à ce compte, toute la confrérie, ses agents et tous les serviles auront à rendre des comptes de leurs méfaits, crimes et vols.
Juste de la patience.
Même l'oncle Sam, la Perfide Albion leur mère, les monarques de toutes obédiences ne leur seront d'aucun secours.
Parce que le peuple y veillera.
Dur dur, ça va être très très dur, les chléyék.
Allez, commencez à faire vos prières de bouffons pour meubler votre solitude.
éne-téha el hob, les bougnouluss !!!!!
Attendons les résultats de la lutte contre les corrompus et les voleurs des richesses de la Tunisie, puis nous verrons bien ce que ces "Bou-Kachta" en veulent de nous et de nos voisins les Algériens et les Libyens!!!
L'Algérie et la Tunisie, sont des os durs pour les ennemis de la liberté.
Mais comme KS n'est franchement pas une lumière ,il a déjà perdu !!
Vous remarquerez ,qu'il y-a beaucoup de monde qui lui rend visite !
Mais il n'est vraiment pas une lumière !
Il est mégalo !!!