Le secrétaire général du syndicat de l’enseignement secondaire, Lassâad Yaâcoubi est intervenu, lundi 8 novembre 2021, déclarant qu’après avoir agressé son professeur, l’élève avait marqué un hashtag sur le mur de la salle de classe avec le sang de la victime #Sens_l’odeur_du_sang!
Le syndicaliste a rappelé que l’élève avait poignardé à multiples reprises son professeur lui causant de graves blessures et une fracture du crâne, soulignant que ce crime est le résultat d’un cumul des campagnes incitant à la violence et la haine contre le corps enseignant.
Il est à noter, également, que plusieurs internautes avaient été scandalisés par les réactions de certains commentaires postés par des élèves sur les réseaux sociaux à propos de cet abominable crime, et dont le contenu encourageait cet acte criminel dénontant d’une grande quantité de haine et de violence émanant de jeunes adolescents.
Rappelons que l'enseignant a été attaqué et poignardé au couteau et au couperet par un élève au lycée Ibn Rachik à Ezzahra dans le gouvernorat de Ben Arous.
Dans une déclaration accordée à Business News, le secrétaire général du syndicat de l’enseignement secondaire, Lassâad Yaâcoubi, a confié que le professeur a été poignardé deux fois au visage et a également reçu un coup au niveau de la tête.
Le syndicat de l’enseignement secondaire, qui a fermement condamné le laxisme du ministère de tutelle, a appelé à une grève, mardi 9 novembre, de tous le cadre enseignant et dans tous les établissements.
S.H
Ils ne sont pas les boucs émissaires de la société
Venez donc travailler avec ces jeunes délinquants !!!!!!
Et faites vous plaisir
Jusqu'à quand allons nous subir la violence et la tyrannie des élèves
C'est une maison de redressement qu'il lui faut pas une école
Arrêtons d'analyser les situations et de faire l'état des lieux
Il est temps d'agir !!!!!
La discipline....le respect.....les valeurs morales......
Arrêtons de faire de la psychologie cela ne mène à rien
Au cachot cet élève ce criminel!
D'abord, le pays est devenu violent, les faits l'attestent.
Le discours social, les pratiques et les interactions l'expriment.
Les media de masse diffusent les images de toutes les formes de violences et le plus lointain devenu proche vous concerne comme le voisin.
I'm convient we regarder de près les évènements afin de bien cerner les causes, let profil des acteurs, et les contextes.
Les composantes singulières doivent être croisées avec le contexte général.
C'est comme pour les drogues, on ne nait pas toxicomane.
Bref, plûtot que de dénoncer, crier haro sur les jeunes, de poser les bonnes questions afin de comprendre d'où vient le mal.
La Tunisie a naturalisé la violence.
Ce sont des idéologues bien identifiables qui l'ont promue.
Elle a trouvé son terreau dans des conditions sociales et économiques.....
Une Tunisie rendue plus violence en tout.
La psychologie de l'enfant doit être prise en considération par chaque intervenant, notamment par les mass-medias. Elle est très complexe et nécessite des connaissances qu'on ne peut acquérir que par une formation spécifique.
Dans l'intérêt de la paix sociale, il faut parfois sacrifier le buzz et l'audimat
Une autre action urgente: la réouverture des écoles normales
Et pour rappel, ce ne sont pas les grèves (rémunérées bien-sûr) des profs ou les punitions exemplaires qui changeront quoi que ce soit à ce phénomène violence qui touche de plus en plus les enfants.
N'importe quoi
'?vitez de commenter des phénomènes dont vs ignorez tt
Et combien de jeunes fumeurs se trouvent devant les établissements scolaires et universitaires ?
Et combien d'entre-eux s'échangent des coups et des violences, même soit-disant en jouant ?
Et puis combien font de la "course à pieds" aux moments en dehors des études ?
Oui la course a pieds ! C'est le remède pour arrêter de fumer ?!
D'ailleurs il n'y a plus de sport, ni de séances de sports.
Des enfants victimes de la société et l'absence totale de l'état.
Pauvre société