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L’acrobatie du ministère de la Justice pour régulariser la situation de Farouk Bouasker
17/11/2022 | 17:55
1 min
L’acrobatie du ministère de la Justice pour régulariser la situation de Farouk Bouasker

 

Le président de l’Instance supérieure indépendante pour les élections, Farouk Bouaskar, magistrat de deuxième grade, est mis en disponibilité pour une période d'un an à compter du 10 août 2022, en vertu d’un décret publié, jeudi 17 novembre 2022, dans le Journal officiel.

 

En effet, ce décret rétroactif a été émis par le ministère de la Justice dans le but de régulariser la situation administrative de Farouk Bouasker, tout en lui permettant de rester à la tête de l’instance pendant une année supplémentaire.

Magistrat de deuxième grade, Farouk Bouasker était en détachement au sein de l’Isie. Or, la période de détachement ne peut excéder les cinq ans et ne peut être renouvelée. Ainsi, et pour régulariser cette situation, le ministère a opté pour cette solution de mise en disponibilité à effet rétroactif afin de finir avec cette situation confuse.

 

S.H

17/11/2022 | 17:55
1 min
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Commentaires
@acrobatie
Ya Sarra
a posté le 18-11-2022 à 18:48
Un triple salto arrière mais qui marche brillamment en dépit de tout votre bla bla "BNiste" !
MH
On n'est pas à une contradiction près
a posté le 18-11-2022 à 08:57
Mr propre combat la corruption mais légalise le clientélisme. Ce pays manque d'esprit vifs.
Citoyen
Recours auprès du tribunal administratif
a posté le 17-11-2022 à 22:28
Si cette décision est non fondée ou ill8
Abel Chater
Non seulement qu'il n'y a plus rien de normal ni de légal dans tout ce qu'on voit et dans tout ce qu'on vit depuis le coup d'Etat du 25 juillet 2021, mais c'est qu'on n'a plus d'énergie pour compter les fautes et pour répondre ou pour critiquer tout le non-sens de ce cauchemar que vit toute la Tunisie, du moment que tout va être annulé après le départ du président Kaïs Saïed.
a posté le 17-11-2022 à 22:00
Il y a beaucoup de travail pour les historiens tunisiens et pour ceux qui en voudraient le devenir. Ils doivent collecter tous les malheurs que les Tunisiens vivent, après avoir menti et intrigué contre le parti d'Ennahdha, durant les meilleures onze années de l'histoire millénaire de la Tunisie. Des historiens qui devraient trier les acrobaties de l'amateur politique Kaïs Saïed et ses béni-oui-oui, qui nous ont poussés du néant comme des champignons sauvages. Il faut archiver les analyses et les critiques tout en formulant des hypothèses à vérifier par les successeurs de ce régime putschiste du président Kaïs Saïed.
Allah yostir Tounes.
Nejib
La légitimité de
a posté le à 10:24
Vive le putsch du 25 /7.
Réponse à Nijib
eh oui...!!!!
a posté le à 18:54
La médiocrité et l'abrutissement en langue arabe a transformé le Najib en Nejib ?!!!