Invité par Myriam Belkhadi dans La Matinale de Shems FM, le 24 décembre 2022, l’ancien gouverneur de la banque centrale de Tunisie, Taoufik Baccar, a indiqué que la Tunisie n’a jamais eu recours au FMI sous le régime de Ben Ali : « Grâce à notre travail réfléchi pendant 20 ans, nous n'avons jamais demandé un seul dollar au Fonds monétaire international. Le maintien du pouvoir d'achat du citoyen et les équilibres sociaux étaient notre plus grande priorité ». Depuis, cette déclaration a fait le tour des pages Facebook et a sucité l'interogation des internautes.
En effet, la Tunisie a adhéré au Fonds monétaire international en 1958. Entre 2013 et 2020, le pays a reçu 3.123 millions de dinars et en tant que membre du FMI, la Tunisie verse 545,2 millions de dinars à l’institution monétaire.
En tout, la Tunisie a conclu quatre accords avec le FMI :
Le premier accord «Stand-by» date de 2013, sur deux ans, avec un taux d’intérêt de 1.08%, ce qui a permis de verser 1,7 milliard de dollars.
Le deuxième programme, datant de 2016 est un «Mécanisme Elargi de Crédit» d’un montant de 1.6 milliard de dollars sur quatre ans de 2016 à 2020.
Le troisième prêt date de 2020, dans le cadre d’une aide d’urgence de 545,2 millions de dollars afin de faire face aux besoins budgétaires et maintenir la balance des paiements urgentes.
Puis en 2022, le FMI et les autorités tunisiennes sont parvenus à un accord pour soutenir les politiques économiques de la Tunisie avec un accord de 48 mois au titre du Mécanisme élargi de crédit (MEDC) d'environ 1,9 milliard de dollars.
Globalement, la Tunisie a reçu 5 prêts du Fonds. La première fois en 1964, avec un prêt de 14 millions de dollars, pendant la crise de 1986 puis un troisième en 2013.
Avant 2011 et durant le régime du président Ben Ali, la Tunisie n’a pas reçu de prêt, mais cela n’a pas empêché le pays de maintenir de fortes relations avec l’institution monétaire. En effet, Dominique Strauss-Kahn l’ex directeur général du Fonds monétaire international a visité la Tunisie le 18 novembre 2008. Lors de cette visite, il a décrit la Tunisie, comme un modèle à suivre pour de nombreux pays émergents.
En août 2010, il y a eu des consultations entre la Tunisie et le FMI sur les développement économique dans le pays.
Pour mémoire, à un moment donné, sous le règne de la famille, les tunisiens ont étés pris au piège du crédit, la voiture populaire, le congélateur, le frigo, la climatisation, le pèlerinage etc. Plus moyen de regarder vers la politique jusqu'au jour où tout bascula, et on connaît la cause et la suite de cette révolte. Parcontre, les khwamjias ayant vidé les caisses de l'état, la Tunisie, tout à coup, croule sous les stupéfiants de toutes sortes, certainement pour contenir la jeunesse tunisienne. Les événements coïncident et la Tunisie est déstabilisée. Espérons que le President Kaïs Saïed mette un terme à tous les abus.
On ne dit pas "sioniste". Cette désignation est répandue par les juifs, pour tromper et pour erroner les Arabes et les Palestiniens, à qui ils leur volent leurs terres, leurs maisons, leurs eaux, leurs richesses et même leur gaz et leur pétrole. Le terme "sioniste", est une louange pour les juifs meurtriers des enfants palestiniens. C'est comme chez nous, on appelait "Mounadhil", celui qui luttait contre l'occupation française.
Comme les juifs génocidaires de Gaza occupants de la Palestine, ne se trouvent en Palestine occupée, que par leurs ruses talmudiques et leurs tromperies à deux sous troués, pour nous voler nos terres arabes musulmanes et chrétiennes, ils nous poussent à les appeler des "sionistes". Une désignation dont ils se réjouissent, comme quoi on les reconnaît "bâtisseurs" de nos propres terres arabes musulmanes et chrétiennes en Palestine occupée.
Il faut toujours les désigner par leur vérité criminelle de « juifs génocidaires de Gaza occupants de la Palestine.
Bonne soirée.
1- ère Bourguiba : 2 prêts (64 et 86) sur 30 ans : ce qui donne un ratio de 2/30 = 0.07 / an
2- ère ZABA : 0 prêt sur 23 ans : un ratio de 0
3- ère Nahdha-Nida (2011-2019) : 2 prêts sur 8 ans : un ratio de 2/8 = 0.25 /an
4- ère KK : (2019-2023) : 2 prêts sur 4 ans soit un ratio de 2/4 = 0,5 /an.
Il est clair que si nous faisons un classement, nous pouvons constater que le champion toutes catégories confondues en termes de FMI est bien le KK. il porte vraiment bien son nom.
il vous restera à travers la gorge ya jirdhenes.....
Tout le monde savait qu'il n'y avait jamais eu d'Etat sous le régime du défunt dictateur déchu Ben Ali et c'est lui qui a détruit le peu d'honnêteté, dont jouissait l'Etat du vieillard Bourguiba. Ben Ali a transformé la République tunisienne en Palerme, Naples ou Reggio, de la Mafia italienne. Il finançait son Etat par l'argent de la drogue et le vol de voitures et de yachts de lux, que l'entourage de sa famille pratiquait dans leur caverne d'Ali Baba, au souterrain de l'aéroport.
C'est quoi ces quelques millions ou ces deux milliards que l'amateur Kaïs Saïed, supplie au FMI?
Moncef Ben Ali et les Trabelsia étaient en mesure de financer la Tunisie, l'Algérie et le Maroc ensemble.
Qui a oublié les bananes à 1,- dinar le kilogramme et les gadgets chinois pour quelques millimes à chaque tournant de la Tunisie!!!
Ne vous laissez pas abrutir par ce Zalèm Taoufik Baccar, sans qu'il ne puisse nous donner la solution véridique aux problèmes des Tunisiens. Tout les voleurs ne parlent que de leurs réussites, jusqu'à ce qu'ils soient attrapés et enfermés.
Allah yostir Tounes wè Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
En 1998, les candidats du troisième cycle de L'?NA ont eu entre autre une épreuve économique sur l'endettement et de la dette de la Tunisie auprès de différents bailleurs (banques, organismes financiers, Etas,...) notamment la banque mondiale et le FMI.
Arrêtez de mentir à la populace.
Merveilleusement dit
Y'a rien a rajouter
Vous avez tout dis en 2 lignes
durant des décennies... pour se maintenir au pouvoir il fallait acheter la paix sociale donc il fallait donner à ce peuple un os à ronger sous forme d'augmentation des salaires de création d'entreprises et d'emplois fictifs ;de recrutements superflus dans le le secteur public, indemniser les victimes de la. dictature et financer toutes ces actions par des prêts notamment du FMI .les dirigeants de cette époque savaient les risques d'une telle politique mais ils s'enfichaient et se disaient
que lorsque le danger pointera ils ne seront plus là.!on y est maintenant le pays est bloquée politiquement et en quasi cessation de payement et le pire est peut être devant nous !.
Paix à son âme.