
Invitée de Myriam Belkadhi dans la Matinale de Shems FM lundi 7 février 2022, la ministre de la Femme, Amel Belhadj Moussa, est revenue, entre autres, sur la dissolution du Conseil supérieur de la magistrature (CSM), décidée par le président de la République, Kaïs Saïed, samedi dernier.
La ministre de la Femme a affirmé que cela était prévisible notant que la décision du locataire de Carthage a été largement saluée. La dissolution du CSM « est une revendication populaire », selon Amel Belhadj Moussa.
Le siège du CSM a, notons-le, été encerclé, dimanche, par des unités de sécurité afin de protéger le bâtiment et ses usagers en prévision des manifestations organisées le jour-même pour revendiquer la dissolution de cet organe. Ces mêmes unités ont empêché les membres du CSM d’accéder au bâtiment dans la matinée de lundi.
N.J.
Mabrouk 3lè Ittouènsa hèl 5ir , mabrouk, mabrouk!
Bien dit, Mme Belhaj.
Les chléyék bagla-liha brouettistes avaient tout contaminé. L'infection est généralisée.
C'est l'unique moyen de stopper net, l'avancée invasive de la gangrène.
Couper le mal à la racine demeure pour l'instant, le meilleur remède.
Très bien joué Kaissoune, patriote sans peur ni reproche, ya ghoul.
Tu es le seul qui a su oser prendre le taureau par les cornes.
La Tunisie marche sur la tête.