
Vendredi une copie de cette correspondance a largement circulé sur les réseaux sociaux et certains supports médiatiques exposant une tentative de Rached Ghannouchi de s’immiscer dans la justice militaire.
Le président du Parlement convoquait, en effet, le ministre de la Défense à une séance d’audition pour l’interroger au sujet du mandat d’amener émis à l’encontre de Rached Khiari, pourtant disposant encore de son immunité parlementaire.
A ce fait, Fayçal Tebbini, Nessrine Laâmari et Amira Charfeddine, ont réagi en rédigeant quelques lignes sur Facebook dénonçant, notamment la signature par procuration de cette correspondance par le secrétaire général du Parlement.
« Dites-lui que le juge militaire n’a de supérieur que la loi (…) Dites-lui que cette correspondance est caduque car signée par une personne qui n'a pas le pouvoir de signature (…) Dites-lui que l’Assemblée n’est pas qu’Ennahdha et la coalition Al Karama. Dites-lui qu’il ne me représente pas », a écrit Amira Charfeddine.
Nessrine Laâmari a elle qualifié cette correspondance de « mystification des institutions de l’État ». « Que veux-tu dire en tirant avantage de ta qualité de pouvoir législatif pour demander des comptes et s’immiscer dans le pouvoir judiciaire ? Que veux-tu dire en continuant, en tant que président du Parlement, à humilier l’Assemblée avec ton favoritisme envers les pare-chocs d’Ennahdha (…) », a-t-elle lancé sur Facebook.
« Ghannouchi est tombé avant coup », a estimé Fayçal Tebbini avant d’ajouter « le ministre de la Défense doit refuser de se présenter. Ceci est très dangereux. Cette correspondance ne me représente pas. C’est une atteinte flagrante à l’institution judiciaire ».
La justice militaire s’est saisie de cette affaire et a convoqué le député. Ce dernier ne s'est pas présenté ce qui a engendré l'émission d'un mandat d’amener.
N.J.


Dans votre journal , c'est en onzième position ( ce jour )
C'est honteux !
Ce journal électronique est supposé s'adresser aux élites ne relayent que des news torchons populistes .
Réveillez vous .
la preuve en espace de quelques jours deux grosses lacunes mal interprété par ces islamistes de basses oeuvres.
Ce R.G. confond la présidence de l'assemblée avec celle de République.
Le comble de ce monsieur c'est qu'il n'est pas à la hauteur de la fonction qu'il occupe, comme bon nombres de ce parti de dégénérer.
Mais quel gâchis pour la Tunisie et quelle souffrance, Voilà dix ans de malheurs pour aucun résultat concret.....
MESKINA TOUNES....
Les multitudes gaffes commises par les sbires ne peuvent plus passer inaperçus, le gourou s'efforce à user de toutes les acrobaties, immorales, contre - loyales, peu importe, l'essentiel c'est d'essayer de sauver les ruines.
Pousser l'adversaire dans ses derniers retranchements est une stratégie payante, beaucoup mieux que d'essayer de le contrer.
L'effet de l'usure est manifeste, cette bande de cinglés recrutée pour le service de la secte est ingérable, causant l'affaiblissement du gourou et réduisant la marge de manigances, il va finir par se casser la gueule.
Sans se rendre compte, la bande à Markhouf est entrain d'entamer la phase d'autodestruction et ainsi entraînant avec elle ce que reste de la structure de la secte qui a mis tant d'années et de moyens à édifier.
Vous avez devant vous une vipère à venin mortel, la première option c'est de lui couper la tête, c'est radical mais pas toujours possible, deuxième option non moins efficace, c'est la vider de son venin, inoffensive,
elle ne constitue plus un danger.
Il faut au contraire encourager et laisser faire, l'épuisement et le manque de souffle sont capables seuls à réduire l'adversaire le plus coriace à néant.
La stratégie du Président n'est pas bête.
Or, il aurait dû soumettre à la question le voyou Khiari sur qui pèse le soupçon d'avoir enfreint la loi sous diverses formes.
Il semble que le subterfuge aura fonctionné, puisque le voyou n'a pas déféré à la convocation du juge et nulle poursuite n'aura été entreprise pour l'y contraindre.
On peut relever qu'au fond nos islamistes se situent au-dessus des lois et ont la primauté face aux ministres.
C'est ce que l'on peut appeler démocratie.
Jusqu'où iront-ils ?
Vive la Tunisie libre et débarrassée de ces traîtres de la Nakba !