La Confédération africaine de football (CAF) a décidé, jeudi 11 mai 2023, de maintenir les sanctions décidées la semaine dernière contre l’Espérance sportive de Tunisie (EST) en réaction aux violences qui ont eu lieu lors d’un match opposant le club tunisien à la Jeunesse sportive de Kabylie, le 29 avril 2023.
Le club a, rappelons-le, fait appel des décisions de la CAF. Celle-ci a infligé à l’EST quatre matches à domicile à huis clos, dont deux avec sursis, et une amende de 300.000 dollars.
Le 29 avril 2023, lors d’un match opposant l’Espérance sportive de Tunis et la Jeunesse sportive de Kabylie au stade de Radès, des heurts ont eu lieu entre les supporters de l’EST et les forces de police. Des bombes de gaz lacrymogène ont été lancées par les forces de l’ordre et les supporters ont jeté des projectiles. La Protection civile est également intervenue pour éteindre un incendie. L'un des supporters a été aperçu circulant avec une tronçonneuse. Une enquête a été ouverte depuis et des mandats de dépôts délivrés contre 31 supporters.
N.J.
Donc, et par transitivité, l'espérance doit subir, pareillement, les conséquences des évènements de Djerba et d'être jugée d'avoir commis des attaques dont cette équipe n'est concernée en rien.
Que des sabotages d'un groupe qui n'a rien à voir avec le football, accomplissent au stade de Rades ou à Djerba ou à la planète mars , c'est donc et d'après la Caf c'est pareil6 c'est l'espérance qui subie les conséquences.
Nest-ce-pas une aberration et une injustice envers une équipe sportive qui n'a rien à voir avec la politique ni avec les sabotages liés à la politique.
Dans ce cas pourquoi la CAF n'a-t-elle pas demandee la réalisation d'une enquête auprès des instances du ministère ?
N'est-ce pas évident que ce ne sont pas les supporters d'une équipe qui sont concernés en partant du principe quol n'y a pas connivence entre la fédération tunisienne de football etcelle africaine, ou bien pour eux il fallait prendre des mesures draconiennes pour se venger d'une équipe sportive qui réussit sur tous les plans socio-économiques et gagne des titres à gogo.
Cela serait paradoxal et contre l'esprit du rôle préconisé fondation de cette organisation.
Toutefois, cette fondation ne peut pas supposer et croire que des coups bas et des sabotages peuvent émaner de personnes ou de groupements se trouvant dans un seul pays ; cela ne peut pas logiquement arriver et cela n'est jamais arrivé.
Que dire alors alors de ceux qui cherchent par tous les moyens à ternir l'image d'un pays qui les a hébergés et élevés ?
Cela s'appelle une traîtrise, pire encore il s'agissait d'une traîtrise organisée et planifiée en vue d'escroquer le présumé pays.
Du jamais vu ?!
Méskinè el Mkèchkhè.
