| 14-06-2017 09:58
nous les rembourserons quand les poules auront des dents
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La Banque mondiale donne son accord pour un appui budgétaire de 500 millions USD
Le conseil d’administration de la Banque mondiale (BM) a donné son accord aujourd’hui, mardi 13 juin 2017, pour un prêt de 500 millions de dollars US nous informe une source gouvernementale. Il s'agit d'un appui budgétaire à la Tunisie.
Le Fonds monétaire International (FMI) vient, par ailleurs, de verser à la Tunisie la deuxième tranche de 319 millions de dollars (300 millions d'euros) d'un prêt de 2,9 milliards de dollars.
Le ministre de l’Investissement et de la Coopération internationale et ministre des Finances par intérim, Fadhel Abdelkefi, actuellement à Berlin où il participe au sommet du G20, a déclaré aujourd'hui sur Mosaïque Fm : « Ces 319 millions de dollars qu’accorde le FMI à la Tunisie, ouvriront le champ devant les investisseurs étrangers qui attendaient ce feu vert. Tous les investissements étrangers accordés durant la conférence pour l’investissement« Tunisia 2020 », sont étroitement liés à cette décision du FMI ». Il ajouté que « ce feu vert du FMI nous permettra d’obtenir d’autres prêts auprès d’autres institutions financières telles que la Banque Mondiale, la Banque européenne d’investissement ou encore la Banque africaine de développement ».
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Commentaires (2)
CommenterIl est content pour qeuelle exactement ?
| 13-06-2017 23:10
Il est tout content le ministre d'inonder le pays de crédits. Et pour payer quoi ? Les grèves, la fainéantise, et le départ en retraite anticipée au bout du chemin? Et qui va rembourser tous ces prêts ? Bien sur nous contribuables, nous serons forcés de rembourser par des mesures d'austérité, de prolongement d'âge de départ à la retraite, baisse des pensions, des prestations sociales et autres. On connaît la chanson. Non monsieur, vous n'avez pas pris mon accord pour tout cet endettement absurde, non monsieur vous n'avez pas mon accord pour emprunter de l'argent pour payer les caprices de l'UGTT, la corruption d'Etat, le "tachlik" des fonctionnaires.
