
Le président de l’Ordre des ingénieurs tunisiens (OIT), Kamel Sahnoun a indiqué, jeudi 13 juin 2024, lors de son passage avec Wassim Belarbi sur les ondes d'Express Fm, que près de 6500 ingénieurs quittent le pays annuellement, soit, en moyenne, vingt départs au quotidien.
Kamel Sahnoun a indiqué que la formation d'un ingénieur coûte à l'État 100 mille dinars tout au long de son parcours, estimant que le départ de ces compétences constituent une grande perte à l'État. Dans ce contexte, il a tenu à préciser que l'État perd des ressources capables de créer la richesse dans la mesure où les ingénieurs qui choisissent de quitter vers d'autres pays sont en pleine productivité, notamment, après avoir acquis une certaine expérience en Tunisie.
Le président de l'OIT assure qu'il est nécessaire de remédier à cette situation, en essayant de trouver des solutions à court terme, mais aussi à moyen terme, à travers l'amélioration des conditions financières et professionnelles des ingénieurs.
S.H



J'en ai fait moi-même l'expérience dés 1988.
Tawa fe9tou?
Sachant que les tunisiens vivants à l'étranger ont sauvé à plusieurs reprises l'économie par leurs transfère
Laisser les partir, ils auront de l'expérience et ferons la différence dans un avenir proche
Les compétences tunisiens ils resteront tunisiens même si ils partent travailler sur la lune
Pour avoir une bonne situation ils ptofitent de l'opportunité de l' exil
Les grands messieurs parlent toujours dans des une fuite des cerveaux et du coût de formation dépensés par l'état
Ils oublient que l éducation et la santé sont des droits pour tous non remboursable
Le deuxième cas les ingénieurs chevronnés en poste qui démissionnent et quittent le pays on oublie que pour chaque démission c'est est nouveau poste d'embauche
La plus important est la valeur des transferts de ces exilés que la BCT à mis en avant pour la stabilité des comptes devises et pour le règlement des échéances des crédits
Quel mascarade
Les arguments évoqués par Mr Sahnoun à savoir l'aspect matériel et statutaire ne recoupent que partiellement les motifs de départ des intellectuels et des talents en Tunisie
Parce que le processus de nivellement de liquéfaction de notre identité séculaire et de nos valeurs ancestrales débouche en 2024 sur le mépris du savoir de l'intérêt des générations futures de la valeur travail et surtout de l'intégrité morale et intellectuelle.
C'est une sous-culture de pillards bédouins qui s'est substitué au patrimoine immatériel de ce pays; ce processus de destruction analogue à l'invasion beni-hilalienne est en train de marginaliser durablement et de manière radicale la Tunisie par rapport aux dynamiques globales de développement civilisationnel, notamment en termes de capacités d'innovation de croissance durable et de cohésion sociale.
Les ingénieurs et les entrepreneurs quittent parce qu'il n'y a pas assez d'ingénieurs et les perspectives économiques, sociales et politiques ne sont pas claires. En effet, il n'y a pas assez d'ingénieurs pour attirer les grandes firmes à s'établir en Tunisie.
Pour arrêter le départ des compétences il faut stabiliser l'environnement politique, économique et social ( minimiser les turbulences à tous les niveaux), augmenter beaucoup le nombre d'ingénieurs (le nombre des candidats au Bac Math + informatique est très petit) et offrir des perspectives d'avenir très claires.
D ailleurs je me demande pourquoi il ya des ingénieurs qui travaillent toujours en tunisie.
Combien de fois faudra t'il vous le dire et vous le répéter bande de dégénérés ?...
aberrant !!
A t il fait une seule proposition concrète pour retenir les Ingénieurs ?
A ma connaissance, non.
Le doyen doit prendre l'initiative pour améliorer les conditions des ingénieurs... A commencer par les ingénieurs à la retraite.
Il faut attaquer la CNRPS en justice pour améliorer les pensions des ingénieurs en retraites et en créant une mutuelle pour les soins médicaux.
Des accords avec l'ordre des médecins, l'ordre des pharmaciens etc...
Il faut faire le premier pas les ingénieurs ne partiront plus.