
Kamel Akrout, amiral à la retraite et ancien conseiller à la sécurité nationale du président de la République défunt, Béji Caïed Essebsi, a été présent, dimanche 23 octobre 2022, sur les ondes de Mosaïque Fm avec Hamza Balloumi, pour revenir sur certains faits ayant marqué sa longue carrière au service de l’Etat.
Revenant sur son limogeage en 2013 sur décision de l’ancien président de la République Moncef Marzouki, Kamel Akrout a indiqué qu’il s’y attendait. « Mes mouvements les ont dérangés. Je me suis rendu au mont Châambi et à Kasserine pour rassurer les soldats. J’étais en route vers Gafsa lorsque j’ai appris mon limogeage. J’ai rencontré le ministre de la Défense qui m’avait appris que le président, Moncef Marzouki avait décidé de m’écarter et qu’il comptait m’envoyer en Libye », précise-t-il. Et d’ajouter qu’il a insisté pour être affecté à Abou Dhabi. « Après l’installation de Béji Caïed Essebsi à Carthage, j’ai demandé à revenir en Tunisie ».
L’ancien responsable poursuit son récit en affirmant qu’il a veillé à tenir l’institution militaire à l’écart des tiraillements politiques lorsqu’il occupait le poste de directeur général des renseignements.
L’amiral Kamel Akrout, a affirmé, par ailleurs, que le chef du mouvement Ennahdha, Rached Ghannouchi avait instauré des idées idéologiques destructrices pour la Tunisie, renversant les fondements d'un Etat laïc fondé sur les bases de la liberté de la femme et de l’indépendance. « Il a voulu renverser ces fondements, lui, qui vivait en Angleterre. Il est revenu en Tunisie pour se venger. Rached Ghannouchi a fait beaucoup de mal pour la Tunisie surtout lorsqu’il avait pris la présidence du Parlement. ».
Dans ce contexte, il a indiqué que Rached Ghannouchi n’avait opéré aucune révision et qu’il ne pouvait jamais lui faire confiance, notant, par la même occasion qu’il ne l’avait jamais rencontré.
L’ancien responsable a souligné qu’il avait tenu l’institution militaire à l’écart des tiraillements et qu’il avait empêché la formation des syndicats au sein de l’armée. Il a ajouté qu’il avait, également, interdit le port de l’habit islamique au sein de l’institution militaire
S.H
Au PDL on gueule, on combat, on AVANCE on veut récupérer ton pays pour le METTRE EN MARCHE ; on a pas besoin de "compromis" avec le pouvoir en place, des gens FACHLINE qui sont entrain de continuer le "travail" de DESTRUCTION entamé il y'a 11 ans par Ennahdha.
Si vous voulez soutenir le PDL? faudra être un peu plus punchie Si Kamel, plus virulent envers ce régime, ne pas lui tendre la main, signe de faiblesse ; quand vous parlez, on dirait que vous avez peur du régime Dictatorail INCOMPETENT en place ; le PDL ne fonctionne pas comme ça. Il n'a pas la langue de bois et surtout pas dans la poche.
L'amiral Kamel Akrout est originaire de la ville d'Al Hawaria. Al Hawaria est l'épicentre des énergies renouvelables en Tunisie. Sidi Dawed est l'un des meilleurs sites pour installer des éoliennes terrestres, et le large de la mer un bon emplacement pour les éoliennes off-shore, c'est le point de départ de la TransMed pour l'Italie et du câble qu'on veut installer entre la Tunisie et l'Italie, c'est aussi un bon emplacement pour les énergies solaires et l'énergie hydraulique. C'est une région ou il pleut autant que l'ouest de la Tunisie. A 60 km se trouve un gisement géothermique le plus important du pays. C'est l'endroit idéal pour installer des stations pour la production d'hydrogène vert, qui peut remplacer l'essence et le mazout importes, on peut exporter l'excédent a l'Europe qui aura besoin de 20 millions de tonnes d'hydrogène d'ici 2030. Les installations pour produire l'hydrogène vert sont coûteuses et avoir un site on peut les exploiter 100% du temps constitue un avantage compétitif important.
C'est le programme le plus facile, le plus rapide et le plus finançable pour le développement du pays.
Tres simple Kamel Akrout sur ordre de Kamel Ltaief.
Un Naief
jamais la sahel ne retournera au pouvoir.
I a en son âme et conscience dit tout haut ce que d'autres disent tout bas.
J'ai écouté l'émission et je me suis délecté des vérités qu'il a crachées.
Naturellement, certains nahdhaouis, comme Abdel chater lui trouveront tous les défauts de la terre et le gratifieront d'incompétence nationale.
Mais quand on connais le cursus de l'homme, on ne peut qu'adhérer à ses propos.
Bravo monsieur pour avoir dit des vérités.
Il a voulu jouer au malin, mais il fût limogé par le président Moncef Marzouki en 2013, l'ayant nommé attaché militaire à l'ambassade de Tunisie à Abou Dhabi. Un poste qui lui a ouvert toutes les portes avec les ennemis de la démocratie des Révolutions arabes, les Emirats hébraïques. Qu'on se rappelle des deux voitures blindées que ces mêmes Emirats hébraïques offrirent au candidat à la présidentielle de 2014, Béji Caïd Essebsi et la récompense dont a jouie ce Kamel Akrout, lorsque le président Caïd Essebsi l'appela en 2015 au poste de chargé des questions de défense nationale auprès de la présidence. D'où il ne démissionna que le 29 octobre 2019, lorsque le nouveau président Kaïs Saïed, lui limogea son ami intime Abdelkrim Zbidi, du poste de ministre de la Défense.
Ce que Kamel Akrout raconte aujourd'hui sur les ondes de MoïseFM, n'est pas nouveau du tout. Il est resté enfermé dans le duel PDL-Ennahdha, dans l'attente d'un moment propice pour destituer Abir Moussi et la remplacer à la tête du parti azlamiste PD.
Déjà le 26 mai 2021, cet amiral en détresse, dénonçait le parti d'Ennahdha, comme étant l'un des «principaux responsables» du marasme tunisien, tout en reconnaissant une forte conformité avec les idées d'Abir Moussi. Il a même affirmé qu'il est l'homme des Emirats plus que la Zalèma moussi, pour avoir été en poste à Abou Dhabi.
Kamel Akrout incrimine le parti d'Ennahdha sans merci et sans compromis, par sa logique de le remplacer par des militaires. «On s'offusque que les militaires intègrent la politique alors qu'ils ont été à l'école de la patrie, mais on accepte que des contrebandiers soient au parlement», nous dit-il par sa malhonnêteté d'attrape-nigauds. Maintenant, il fait tout son possible pour lécher un peu de miel du coup d'Etat du 25 juillet 2021, ne fut-ce même en rampant à quatre devant le président Kaïs Saïed.
Allah yostir Tounes.
En conséquence de quoi, il aurait pu collecter des preuves, les faits, mettant en cause le chef de Ennahdha.
Si ces preuves existent, il convient de les verser dans le domaine public afin d'éclairer le citoyen et des mesures ad hoc soient prises contre l'indélicat.
En tout état de cause, le pays a mesuré le degré de nocivité de cette organisation, pas son seul chef, et l'expérience est encore vive.
Alors, donnez des éléments au procureur, et comme le truste sûre est attendu au tribunal, ce seront des pièces à verser pour compléter son dossier.
Je songe à tous ceux qui nous ont régulièrement traité de tous les noms, qui ont défendu et soutenu les islamistes et qui les soutiennent encore.
Ceux-là aussi devront rendre des comptes.
C'est à ce prix seulement que sera apuré le passif, que seront traités les assassinats, la terreur et tous les vols en sus de toutes les destructions, en premier lieu de l'économie, des finances du pays ainsi que les appareils d'Etat comme la Justice.... Et l'Intérieur.
Mais, la liste est bien plus longue.
Ferait-il les juger ?
Pourquoi Amiral Akrout, ne vous l'avez pas signalé plus tôt !!!
POURQUOI ?
Je comprends que la grande muette doit s'abstenir et obéir, mais y a-il des "dérogations" lorsque l'avenir du pays est compromis ?
D'ailleurs pas seulement le gourou est rentré aux pays pour se venger '?'Sahbi attig les frères le large Dilou el Mekki et toute la bande en plus de la vengeance ils sont tous à la solde de puissances étrangères ennemis qui ne cherche que le mal pour les tunisiens'?'saied est devenu complice des criminels islamistes il faut que les patriotes de l'armée renverse la table pour arrêter le massacre dont est victime le pays et la majorité des tunisiens trop de temps perdu et de dégâts pour continuer a observer la situation du pays dans une extreme passivité.
On a ce qu'on mérite !!! Quand on vote pour des assassins-voleurs-affamés, on ne doit pas s'étonner de la misère qui en découle . . .