'? voir le Président K.Said prononcer un discours enflammé pour soutenir la cause palestinienne, je me demande encore si on ne se tire pas , encore une fois, une balle dans les pieds.
Les Palestenien se réusnissent avec les Israéliens qui verse les impôts 'a l'autorité palesténienne.
Les Palesténiens eux mêmes sont divisés. Ils multiplient les accords dans les coulissent avec tout le monde.
La cause Palesténienne est figée et le sera pour un bon siècle. Maintenant , qui va mettre la main à la poche pour soutenir une économie en état d'hémorragie cérébrale.
Le moyen Orient, et le prochain Europe . Les gens travaillent d arrache pieds pour lancer des projets qui vont capter les investisseurs de tout horizon, Nous pour un maigre 40Millions de $ le secrétaire d état US prononce un discours de soutient aux familles et verse le montant §a l UNICEF.
ON doit bouger et se concentrer sur tout ce qui est Tunisien et rétablir la confiance en ce beau pays qu' est la Tunisie.

Kamel Akrout, compte parmi les intrus qui ont saboté la réussite des promesses du Général Rachid Ammar (Allah yèhfèdhou wè innajjih). L'homme de parole qui a promis au peuple tunisien, de lui faire réussir sa Révolution du 14 janvier 2011 et la transition démocratique qui s'en suivrait. Depuis le début de la Révolution tunisienne, Kamel Akrout fût soupçonné par le président Moncef Marzouki, qui l'a limogé, l'ayant envoyé comme attaché militaire à Dubaï. Une faute, pour ne pas avoir réalisé l'hostilité des Emirats hébraïques contre les Révolutions arabes. Rappelons-nous des deux voitures blindées au prix de plusieurs millions de dollars, que les Emirats envoyèrent au candidat à la présidentielle de 2014, Béji Caïd Essebsi. Et comment à peine ce même Béji Caïd Essebsi devenu président de la République, qu'il nomma en janvier 2015, son pion Kamel Akrout comme son conseiller principal, l'ayant chargé entre autres, de la restructuration du Conseil de Sécurité Nationale (CSN) en application de l'article 77 de la Constitution.
Par la suite, Béji Caïd Essebsi, créa par décret gouvernemental n° 2017-70 du 19 janvier 2017 une mission du CSN, pour contrôler l'armée tunisienne par son propre tandem Kamel Akrout et son ami Abdelkerim Zbidi, pour soi-disant veiller «à la sauvegarde des intérêts vitaux de l'Etat dans le cadre d'une vision stratégique ayant pour but la préservation de la souveraineté de l'Etat, de son indépendance, et la garantie de l'intégrité de son territoire, la sécurité de son peuple et la protection de ses ressources naturelles». Une mission qui démentit à mille pour cent le mensonge d'une probabilité d'existence du soi-disant «appareil secret d'Ennahdha».
Comme les proches militaires de Kaïs Saïed, ne furent pas les mêmes de ceux de Béji Caïd Essebsi, l'ancien ministre de la Défense nationale Abdelkrim Zbidi, fut limogé par le nouveau président Kaïs Saïed et Kamel Akrout, dénudé de suite, au point qu'il démissionna de lui-même. Il a présenté sa démission le matin du mardi 29 octobre 2019. Elle fut acceptée à la même journée par le président Kaïs Saïed.
Maintenant, après avoir gouverné cinq longues années aux côtés du défunt président Béji Caïd Essebsi, ce caméléon Kamel Akrout qui fait honte à notre armée nationale, veut coller sa propre faillite et la faillite de Nida Tounes, au parti d'Ennahdah et à son chef Rached Ghannouchi, ayant oublié que de 2014 à 2019, d'aucuns autres n'avaient gouverné la Tunisie, hormis lui avec ses amis Abdelkrim Zbidi à la tête du ministère de la Défense et Mohamed Ennacer à la présidence de l'ARP, un trio sous l'égide du vieillard Béji Caïd Essebsi.
Qu'on se rappel de leur gigantesque mensonge, de : «c'est le parti d'Ennahdha qui a gouverné la Tunisie», alors que leur premier ministre Elyès Fakhfakh, avait limogé tous les ministres d'Ennahdha par un simple coup de stylo. Il nous a montré explicitement, que le parti d'Ennahdha ne jouissait d'aucun pouvoir dans n'importe quel gouvernement après 2014. Le parti d'Ennahdha ne jouissait que du nombre de ses sièges au parlement ARP, comme tous les autres partis politiques de la Tunisie.
Mais comme «Allah yomhil wèlè yohmil» ou (Dieu tarde mais il garde), le Tout Puissant les dénude tous, jusqu'aux os. Son Châtiment divin s'illustre peu à peu, suivant les Versets Coraniques.
Allah yomhil wèlè yohmil.

Faudrait dire ça l'imbécile de Carthage, il nous a fait un discours idiot et donneur de leçon au sommet arabe en Algérie lui qui n'est même pas capable de gérer son propre pays.

Notre bouffon de Carthage croit qu'il va changer le monde. Plus bête et arrogant que ce type, tu meurs.

Même en étant à la retraite, cet ancien amiral est tenu au "droit de réserve ".
Grâce à ses anciennes fonctions au sommet de l'état, il connaît et détient forcément beaucoup de secrets.
Une raison de plus d'être prudent en usant d'une grille de lecture astucieuse à ce qu'il dit.
Et, s'il parle aujourd'hui cela signifie qu'à travers sa déclaration il a surement un message à transmettre.
A quel destinataire !?
Probablement, au détenteurs actuels du pouvoir voire aussi à une opinion publique nationale indifférente a son présent.
Non seulement pour les mettre en garde ( il s'agit du pouvoir autocratique de Carthage) contre leurs errements mais aussi pour les réveiller de leur hybernation parasitaire.
A la date d'aujourd'hui, personne ne sait où va le pays et que cherche vraiment le pouvoir, un pouvoir esseulé, un pouvoir orphelin des idées et d'un vrai programme sociétal, un pouvoir immature et un pouvoir incomptent.
Mais que faire, disait Lénine !?
Telle est la question fondamentale pour tenter de cerner ce qui se passe dans un pays où tout marche à reculons.
C'est ce que je crois.

Je commence d'abord par signaler une erreur de français: il faut dire « on finit toujours par être broyé » et non comme l'a écrit l'Amiral, et recopié Business News.

Comme tous les tunisiens, j'étais, je suis et je resterai fier de tous nos soldats, indépendant de leur grade.
Amiral Akrout m'a déçu avec son dernier écrit. J'aurais aimé qu'il s'abstienne de minimiser la place de notre pays dans le monde.
Ce que dit Akrout n'est valable que pour les pays à genoux.
Des petits (aux yeux des USA) pays comme l'Iran, la North Korea ou Cuba, ont toujours su défendre leur drapeau, la tête haute, malgré les menaces américaines.

La Tunisie est un grand pays, parce qu'elle est habitée par un grand peuple, qui refuse d'être qualifié de petit.

Pour ta gouverne l'Iran est un géant démographique de 100 milllions d'habitants ce qui le situe devant la France , la GB, et l'Allemagne..., un géant militaire avec 500 000 militaires, un géant sur le plan géopolitique pour le gaz le pétrole et le detroit d'ormuz, mon frère ne compare pas la Tunisie avec d'autres pays, nous ne sommes pas indépendant, et sommes vraiment petit ds ts les domaines...triste mais soyons réaliste, le 21siecle se fera sans nous, nous n'avons pas su prendre le train en marche, et créer les conditions d'une révolution économique et culturelle.

Les tunisiens qui y vivent en tunisie ne méritent pas ce pays dans leur majorités sont des haineux contre la terre ou ils sont nés et surtout le sud tunisien avec ses habitants qui ont hâte de voir le pays transformer en cendres '?'si la tunisie été habitée par d'autres populations non musulmanes elle aurait été mieux que le paradis de l'au-delà '?'les tunisiens ne méritent pas le pays où ils vivent encore une fois .

Les islamistes dés leur arrivée à tunis avait comme consigne de détruire le pays de A a Z pour la transformer en ruine et en coquille vide pour le grand d'âme de tout les ennemis de la tunisie et des tunisiens dont les islamistes..ce qui a été opéré en Tunisie c'est une guerre sans bombes et sans armes comme ça été le cas en Syrie ou en Libye la tunisie a été détruite dans le silence le plus totale et sans aucun bruit les tunisiens ont étés tuer par les tortures psychologiques quotidiennes par l'intermédiaire des pénuries volontaires et du manque des produits de première nécessitée on a tuer les tunisiens à feu doux nerfs après nerfs voilà ce qu'il a fait l'islam et ses mollahs ainsi que leur sponsors contre les tunisiens qui vivaient dignement et correctement avant 2010 '?'la solution adéquate est aux mains de quelques sécuritaires et militaires patriotes qui ont le devoir de renverser la table sur le visage de tout les vendus et les traîtres qui sont à la solde de puissances étrangères ennemis qui ne souhaitent aucun bien pour le pays et pour les tunisiens '?'l'urgence est dans l'anéantissement de tout les responsables qui ont contribuer à la destruction du pays et leur payer le prix fort en ignorant tout les menaces des pays qui les soutiennent'?'les militaires et les sécuritaires doivent jouer leur pour sauver le pays au plus vite ..l'histoire retiendra leur sauvetage de la petite tunisie éternellement'?'.l'ugtt doit '?uvrer et soutenir tout les protagonistes qui sont prêt a nettoyer le pays de toutes les vermines islamistes et leur affiliés.

Faut-il en déduire que cet ex Amiral n'était autre qu'un adepte des salons feutrés et des petits fours.
On attendais de lui qu'il nous appelle à la résistance, au courage et à se dresser en face des ennemis de la nation et ils sont nombreux. Bien au contraire, Mon amoureux d'admiration nous appelle à plier l'échine devant cet ennemis " grand et fort " si on veut pas se faire broyer. Sachez, mon Amoureux d'Amiral que ce supposé " grand et fort " peut nous broyer mais par procuration car leur seul arme c'est le fric, beaucoup de fric mais pas soupçon de courage, d'audace. Reprenez-vous, mon Amiral.

Le jeu collectif des tunisiens depuis plusieurs années est le «faire-semblant». Tout le monde s'y adonne car chacun feint la surprise, joue de son ignorance, de sa naïveté ou de sa fourberie selon ses intérêts, son idéologie, son militantisme ou son je-m'en-foutisme. Avec comme résultat ce qui alimente les grands titres des média, ces derniers temps.
Akrout le porte parole de Kamel Ltaief et du lobby Sahélien.

Cet amiral est d'une sagesse rare en Tunisie ; beaucoup de recul par rapport aux événements mais comment voulez-vous que l'autiste de Carthage l'entende et celui qui ne veut pas entendre est pire qu'un sourd

C'est une question qui ne se pose pas vraiment.
De quel jeu s'agit il?
De la guerre de la Russie contre l'Ukraine?
La Tunisie n'a rien a contribuer. C'est une guerre qui va se poursuivre pour des mois et peut être des années et la Tunisie ne peut que subir les conséquences.
Quel rôle peut jouer la Tunisie dans la rivalité entre les USA et la Chine?
La Tunisie est incapable d'assurer l'alimentation a sa population, l'ambition de jouer un rôle sur la scène internationale est un mirage.
Assurer la sécurité l'alimentaire a la population serait déjà un grand acquis. L'année 2023 sera plus difficile de 2022 puisque plusieurs usines d'engrais ont du fermer ou réduire leur production donc la production agricole va souffrir dans le monde.
La rivalité entre les USA et la Chine va mener al la fin de la mondialisation et la Tunisie peut profiter de ce changement. Les usines poussent comme du champignon aux USA, des investissements de plusieurs milliards sont inaugures chaque semaine. Les multinationales ne pourront vendre aux USA que si elles fabriquent localement. Les nouvelles lois exigent que même les commodités comme le Lithium, le Fer soit obtenus de mines aux USA ou chez les pays qui ont un accord de libre échange. Le Maroc, la Jordanie, le Bahreïn, Oman ont des accords de libre échange avec les USA, la Tunisie peut en faire de même. Sur les 20 pays qui ont des accord de libre échange 20% sont arabophones. Le phosphate est un minerai qui va servir a la fabrication des batteries et peut se vendre plus cher s'il est spécialement traite pour servir ce marche, ceci va donner un avantage au Maroc et la Jordanie.
Le pays souffre sous l'effet du déficit commercial qui ne cesse d'augmenter, 80% du déficit commercial hors énergie est avec la Chine et la Turquie, avec la fin de la mondialisation la Tunisie peut sortir des accords de libre échange nocifs qui favorise la Chine. Un pays qui exporte mains ne veut pas importer.
Les importations ont détruit l'industrie locale et ont aggrave la pauvreté des couches les plus pauvres et enrichit une petite élite importatrice aux dépens du reste.