
Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu le secrétaire général de l’Union tunisienne générale du travail (UGTT), Noureddine Taboubi au palais de Carthage, lundi 30 novembre 2020.
Le locataire de Carthage et le chef de la Centrale syndicale ont discuté, lors de cette rencontre, de la situation générale du pays et en particulier du volet économique et social, lit-on dans un communiqué de la présidence de la République.
Kaïs Saïed a réitéré l’importance de l’unité de l’Etat et de la pérennité des services publics soulignant la nécessité de s’accrocher à la légitimité et de satisfaire les revendications du peuple tunisien loin de l’anarchie dont les instigateurs souhaitent profiter.
Le président de la République a réaffirmé sa position quant à l’approche à adopter pour lancer le dialogue national assurant qu’il n’y aura point de place pour les corrompus dans cette initiative.
Il a ajouté, dans ce sens, qu’il faudrait éviter de reconduire le dialogue suivant la même démarché des années précédentes appelant à l’innovation pour répondre aux attentes du peuple loin des calculs politiques.
Noureddine Taboubi a, lui, signifié que les contestations sociales obligeaient la Centrale syndicale à avancer des initiatives en partenariat avec les forces politiques et civiles notant la capacité de la présidence de la République – à l’écart des tiraillements – à fédérer les Tunisiens suivant des objectifs et des principes bien définis.
Il s’est dit, par ailleurs, confiant en la capacité de chacun à placer l’intérêt du pays au-dessus des siens, exprimant sa volonté de lancer rapidement des pourparlers approfondis et susceptibles de redonner espoir aux Tunisiens.
N.J.
leur réalisation consiste à assurer la dispersion des réunions de l'opposition dans l'ancienne ère, à essayer de perturber le fonctionnement des installations de l'?tat avec des sit-in répétés à l'Assemblée du peuple, et à attaquer les partis et les associations à dimension révolutionnaire et religieuse, tels qu'Ennahda, la Coalition pour la dignité et l'Union des érudits musulmans, et en leur promettant de tuer et d'être emprisonnés. Les résultats ont été trois faits douloureux et choquants. Le premier fait est que les personnes les plus basses, leurs humiliations, leurs haines et leur capacité à combattre la vérité et la vertu devraient avancer vers la direction des affaires publiques. La présidence politiquement, intellectuellement et moralement terminée d'Abir Moussi est une honte non seulement pour la révolution, mais pour l'ancien système dans son ensemble.
" Kaïs Saïed a réitéré l'importance de ............ ! "
" Il a ajouté, dans ce sens, qu'il faudrait ............. ! "
Bref , que du bla bla , du vent et du flan , car de décisions , de résolutions et de faits concrets , il n'y a rien du tout à part les mots , jamais suivis d'effets !
Merci d'être passé Mr Taboubi et le bonjour chez vous !

