
Le président de la République, Kaïs Saïed s'est adressé aux Tunisiens à l'occasion du neuvième anniversaire de la Révolution, ce mardi 17 décembre 2019, à Sidi Bouzid. A cette occasion, il a décrété le 17 décembre fête nationale et ainsi jour férié.
Dans son discours, Kaïs Saïed a assuré qu'il allait honorer ses engagements en réalisant la volonté du peuple en dépit des complots, ajoutant que les mécanismes légaux doivent être mis en place pour que le peuple concrétise ses souhaits.
Le chef de l'Etat a, par ailleurs, indiqué qu'il ne s'intéresse pas à la présidence de la République et qu'il vise à réaliser le projet du peuple garantissant la liberté, l'emploi, la justice sociale et la dignité.
Kaïs Saïed a, de surcroît, souligné qu'il était en train de travailler en silence en vue de réaliser ces revendications assurant qu'il ne souhaite pas parler de ses accomplissements jusqu'à ce qu'ils se concrétisent.
B.L
Commentaires (49)
CommenterL'unique décision !
Congés payeés et millons perdus.
Déjà le président bénéficie d'une escorte qui est selon les responsables " de toute façon payée" payée par qui?c'est à dire qu'elle ne fait pas partie des couts de ses déplacements (maison-Carthage et vice versa).
En Suisse le premier mai n'est pas congé payé.Il y a quelques années, encore la fête nationale Suisse n'était pas congé.
Un jour de congé payé, coute des millions de dinars au pays.Mais où sont les vrais patriotes qui veulent le bien pour leur pays?
Mechmich!
Kais Said n´a pas décrété le 17 décembre comme un jour férié mais il a dit plutôt « houa Aid Ethouara » c.a.d la fête de la révolution ! Et comme d´habitude il y a une grande différence d´interprétation. Le pauvre chien de Pavlov, il est toujours victime d´un os dénué de sa propre chaire. Le reste c´est à toi de meshmish !
ET POURQUOI PAS ?
Le 19 décembre fête de l'allumette
Le 20 décembre la fête du feu
Le 21 décembre la fête des légumes
Le 22 décembre la fête des pompiers
Le 23 décembre la fête des marchés noirs
Le 24 décembre la fête du père Kais
De mal en pis
President des bras casses.
Il faut poser la question à Habib Khedher, l'âme (damnée) de la Constitution !
Obs
Ou va-t-on ?
Rendez-vous l'année prochaine
Je ferai le compte l'année prochaine, même jour, même lieu.
Si les gens de cette région ne perçoivent pas d'amélioration, il sera refoulé comme Marzouki en 2011.
Toute promesse coûte de l'argent à l'état et aux contribuables.

