
Le président de la République, Kaïs Saïed a célébré, dimanche 13 novembre 2022, la fête nationale de l’arbre en se rendant à Djebel Boukornine où il avait planté un olivier dans cette région victimes de nombreux incendies l’été dernier.
Le président de la République a affirmé que ce lieu avait été choisi pour assurer que la Tunisie resterait verte et le serait davantage, quelque soit les agissements de ceux qui avaient déclenché les incendies avec préméditation. "Ils brûleront de ces flammes qu'ils ont allumées", a-t-il dit.
Le chef de l’Etat a noté que la Tunisie resterait forte avec ses institutions, ajoutant qu’il était temps de faire face à ceux qui tentent de porter atteinte à l’Etat et de miser sur les moyens propres afin de surmonter la situation actuelle que les pyromanes tentent de maintenir.
S.H
Ya goora nahdha est finie pourquoi tu ne veux pas le comprendre. Donc chirr rawwah.
Finis les privilèges et les applaudissement à hamamet avec vos incitations à la haine.
Son discours se doit d'être rassembleur et optimiste.
Ce n'est hélas pas le cas de KS qui, à chaque sortie nous abreuve d'un langage abrupt et revanchard.
Triste.
Hélas, le tunisien constate avec amertume que:
- nos forêts sont délaissées, ravagées, incendiées et abattues au quotidien,
- aucun programme national d'implantation de nouvelles faunes, bien au contraire, ce qui est implanté d'une manière folklorique à chaque début de mois de novembre, est immédiatement oublié pour être arraché quelques jours plus tard,
- pourtant, le ministère de l'Agriculture ne manque pas de moyens puisque chaque agent qui travaille dans ce ministère (sans parler des cadres) bénéficie d'une voiture de service, avec bien sûr ses bons d'essence.
Il est impératif aujourd'hui de revoir le fonctionnement de ce ministère de bras cassés (ministère de l'Agriculture) et d'instaurer un programme national de création de nouvelles forêts, d'entretenir et de protéger les forêts existantes et de punir très lourdement toute personne qui abuse des forêts tunisiennes. Une surveillance par hélicoptère et par satellite devrait permettre d'intervenir immédiatement à chaque fois qu'un arbre de notre beau pays est menacé.
Pour cela, il est capital de repenser le fonctionnement du ministère de l'Agriculture, un ministère qui ne sert strictement à rien, le tunisien manque de tout: lait, pommes de terre, tomates, huile et j'en passe.
La Tunisie peut bien se passer de son ministère de l'Agriculture, et la situation ne sera jamais pire.
Le ministère de l'Agriculture dans sa forme actuelle DOIT DISPARAITRE.
Puis, les fonctionnaires et le gouvernement participent au COP 27, et d'autres événements ou on parle de changement climatique. Et la je me dis, une fois encore, que ce pays est foutu. Il n'y a pas d'espoir ou de futur. C'est une blague, et que le changement n'arrivera que le moment ou l'état et les oligarques seront dans la merde...
Votre histoire est un classique. Tout entrepreneur doit passer par la case 'corruption", héritage de la période ZABA, qui n'a jamais disparu.
Bonne chance à vous.