
Le président de la République, Kaïs Saïed, a tenu, le 19 août 2021, une réunion avec le ministre des Affaires sociales, Mohamed Trabelsi et la chargée de diriger le ministère des Finances, Sihem Boughdiri Nemsia.
Dans un long discours, le chef de l’Etat a évoqué l’élaboration de la constitution de 2014 en affirmant qu’elle a fait l’objet de tractations entre les partis. « Si tu me donnes cet article, je te donnerai tel autre article », a déclaré le président en prenant pour exemple l’article 6 de la constitution.
Ce dernier est : « L’État est gardien de la religion. Il garantit la liberté de croyance, de conscience et le libre exercice des cultes ; il est le garant de la neutralité des mosquées et lieux de culte par rapport à toute instrumentalisation partisane.
L’État s’engage à diffuser les valeurs de modération et de tolérance, à protéger les sacrés et à interdire d’y porter atteinte, comme il s’engage à interdire les campagnes d’accusation d’apostasie et l’incitation à la haine et à la violence. Il s’engage également à s’y opposer ».
En feuilletant un exemplaire de la constitution, le président de la République a dit : « Je ne comprends pas qui va l’appliquer. Même si toutes les cours constitutionnelles du monde se réunissaient, elles ne pourraient pas l’appliquer ».
S.F
De l'intox comme savent le vendre ces charlatans de la Nakbah face à un peuple crédule mais qui a fini par se réveiller !
Non au retour en arrière.
Il convient de rétablir ou assainir la démocratie.
Ou bien, ceci confirme la justesse de la vision du Président et donne du poids à sa décision.
Ou bien, ce type est un fou, puisqu'il dit une chose qui est l'exact opposé de ce tient pour vrai sa secte.
Les petites mains, les analystes à deux balles comme disent les gamins, remballez votre étalage, la marchandise est avariée.
Parce qu'en matière de "compréhension" vous avez quelque marge à franchir pour y accoster.
Juger des propos d'une personnalité sous le prisme d'affabulations psychologisantes ou tirées des fantasmes personnels de quelque personnage en mal de publicité est tout simplement une insulte à l'intelligence.
On argumente, et pour rester cohérent, dans le registre en débat.
Pas nous invoquer tel racontar en lieu et place de la vacuité intellectuelle quand on veut débattre.
Si vous êtes rémunérés pour cette besogne, dites à votre employeur de vous offrir des cours de rattrapage pour vous outiller ad hoc.
Sa maniere de parler est anormale pour un president .
ok , il nous a debarassé d ennahdha , c'est bien .
il ne faut pas qu'il soit une valeur refuge .
il n a aucune strategie
Dans trois mois la Tunisie sera comme le Liban avec lui : je prends les paris