
Le président de la République, Kaïs Saïed, a rencontré, lundi 14 octobre 2024, le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, au palais de Carthage.
Lors de cette rencontre, le président de la République a insisté sur la nécessité de garantir le bon fonctionnement de tous les services publics et d'assurer des conditions optimales pour offrir les meilleurs services aux citoyens. Il a également souligné qu'il ne faudrait pas hésiter à prendre des mesures légales contre tout responsable qui ne respecte pas ses devoirs et ce, quel que soit son niveau.
Le président de la République a affirmé que la Tunisie est actuellement en pleine course contre la montre pour répondre aux besoins fondamentaux des citoyens. Chaque responsable doit se montrer à la hauteur des attentes historiques, et il est impératif de tracer une nouvelle voie pour le peuple, notamment pour les jeunes, en adoptant des législations basées sur de nouvelles conceptions, afin de rompre définitivement avec des lois désuètes qui représentent désormais un obstacle aux aspirations du peuple tunisien.
Il a également rappelé que le poids des responsabilités est immense, tout comme l’héritage laissé par les politiques antérieures, qui ont conduit la Tunisie à sa situation actuelle. Toutefois, la détermination, la persévérance et la volonté de surmonter ces difficultés doivent être la devise de chaque responsable.
Le chef de l'Etat a insisté sur la nécessité de restaurer le rôle social de l'État et de remplacer les concepts obsolètes par de nouvelles idées fondées sur des perspectives innovantes.
Il a, également, passé en revue un ensemble d'options contenues dans le projet de loi de finances qui a été transmis le jour même à l'Assemblée des représentants du peuple et au Conseil national des régions et des districts, conformément aux délais constitutionnels.
Il a réaffirmé que les finances publiques doivent reposer en premier lieu sur nos propres capacités, sur des choix nationaux basés sur la justice et l’équité, avec pour objectif principal l'intégration sociale, un objectif que chaque État doit s’efforcer d’atteindre.
S.H

- Virer la moitié des fonctionnaires.
- Arrêter les subventions.
- Privatiser tous les canards boiteux.
Pour dégager les milliards nécessaires aux investissements d'avenir.
Photovoltaique, dessalement, Internet très haut débit, transports... pour redevenir attractif, mieux récompenser le travail , et arrêter l'hémorragie des compétences.
Sinon tous les gens de valeur auront d'ici peu tous quitté le pays et il ne restera qu'une armée de misérables abec leur gourou zaquafounien dans un pays délabré
Apparemment vous ne savez pas ce qu'est l'UGTT..
vos propositions sont en extrême contradictions avec ceux du commentateur Djodjo (voir ci-dessous).
Qui a raison de vous deux? :)
bonne journée
--> j'insiste ici sur le fait que les classes pauvres attendent en particulier qu'on leur donne des possibilités afin de pouvoir (sur-)vivre par leur propre travail, oui par leur propre travail.
Comment répondre aux nouveaux besoins sociaux? Est-ce que nous en avons les moyens financiers? Les politiques sociales pourraient-elles soutenir la nouvelle croissance économique? Quels sont les investissements nécessaires aujourd'hui pour ne pas aider et subventionner dans les années à venir? Comment minimiser les charges sociales? Comment passer des politiques sociales de prise en charge et de distribution gratuite à une politique dont la base est l'investissement social? Il est temps de concevoir autrement les dépenses sociales. Non pas comme une charge qui gêne la croissance économique, mais comme un investissement qui soutient le passage vers une meilleure économie avec moins de chômeurs et de meilleurs salaires.
Les politiques sociales en Tunisie devraient avoir une fonction économique en tant que paramètre de fortunes futures. L'accroissement des richesses produites est la condition la plus évidente de la réduction de la misère matérielle.
Je propose ainsi de motiver et de responsabiliser le Tunisien par la loi afin de le pousser/obliger à faire quelque chose d'utile par lui même, pour lui même, pour tous les Tunisiens et pour le reste du monde tout en lui fournissant des possibilités de réussite--> il faudrait apporter la/les possibilité(s) aux classe pauvres afin de pouvoir sortir par leurs propres moyens de la situation qui leur a été faite en tant que classes qui ont été toujours ignorées et désavantagées.
--> Chaque Tunisien devrait produire ses conditions d'existence. Il doit apprendre à se procurer par lui même ses conditions d'existence. Nous sommes tous des êtres de projet, tourner vers l'avenir en prenant soin (en considération) de ce qui est là afin de l'intégrer dans nos ambitions.
Certes il faudrait donner à ceux qui n'ont rien des possibilités afin de sortir de leur situation de misère, par contre il ne faudrait pas essayer de résoudre leurs problèmes à leur place --> c'est à eux de prendre leurs problèmes socio-économiques en charge, et de les résoudre par eux même. --> c'est ça l'assistance, c'est donner la possibilité à résoudre ses problèmes socio-économiques par soi-même. Exemple: je n'encourage pas à offrir des maisons gratuites à certains pauvres, il faudrait plutôt leur offrir la possibilité de construire leurs habitats par leur propres moyens. Il suffirait de louer les maisons sociales aux pauvres à bon prix pour un temps limité, le temps d'améliorer leur situation socio-économique par eux-même et par leur propre travail --> c'est ce mouvement au sein des habitations sociales qui pourrait résoudre le problème de l'habitat des classes pauvres en Tunisie: celui qui va entre-temps socialement mieux, devrait laisser la place pour ceux qui n'ont rien --> c'est une loop/boucle où les uns sortent et les autres entrent pour un temps limité!
--> Le soucis de soi (le soucis de sa propre existence ) ne devrait pas conduire à ignorer le soucis de l'autre, sans pour autant chercher à résoudre les soucis des autres à leur place --> On ne peut pas se soucier seulement de soi, nous sommes d'abord et essentiellement des êtres de relation que l'on a avec les autres (si cette relation est abîmée, c'est toute la vie sociale qui serait abîmée)
En Tunisie, nous parlons trop de liberté mais trop peu d'égalité des chances. Le fait particulier et dominant qui singularise notre temps/siècle, c'est l'égalité des conditions, la passion principale qui agite les hommes, c'est l'amour de cette égalité. Par contre cette égalité ne devrait pas être gratuite et sans aucun effort...
- La Tunisie devrait être un système socio-politique dans lequel le mérite détermine la hiérarchie sociale et professionnelle. --> Chaque Tunisien devrait être responsable de sa vie, de sa nutrition, de ses initiatives, de ses ambitions et l'Etat tunisien devrait garantir en particulier la justice sociale / judiciaire, l'égalité des chances et des possibilités socio-économiques pour tous afin que la méritocratie réussisse.
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien résidant à l'étranger
C'est dans l'intensité, la régularité et le renouvellement du débat socio-politique / -économique que se forge le gouvernement du peuple. La bonne santé de notre jeune démocratie tunisienne se mesure à ses contre-pouvoirs. Voilà pourquoi l'indépendance des médias, de la justice, l'activité syndicale et la qualité du débat parlementaire concernent tous les Tunisiens.
Ce qu'il faut c'est revoir le système éducatif et ça, c'est d'en haut que ça se décide, idem pour la réorganisation économique du pays, c'est d'en haut que les décisions doivent être prise etc'?'.
Beaucoup ne foutent pas grand chose, voire rien de la journée. Beaucoup sont incompétents et ont été recrutés par piston.
En plus, quand les citoyens les sollicitations, on leurs fait comprendre de pays des pots de vin, sinon ils galèrent pour obtenir ce dont ils ont besoin.
Un "nettoyage" dans la fonction publique s'impose et pourrait redorer le blason du régime.
Il faudrait aussi limoger tout ceux qui ont été embauchés par la NAKBA.
a 750 000 vous etes le cancer du pays , si Mao dirigerez le pays il vous ferait travailler jour et nuit pour rattraper notre retard face a l occident
Mais hélas des consommateurs du marché parallèle.
Maddouri le fonctionnaire doit innover... Le fonctionnaire doit être soumis à une seule taxe soit l'impôt direct soit l'impôt indirect les deux non.

