La dissolution de la magistrature à deux poids deux mesures. Attention
Comme ça Kaissoun aura tout en mains.. vous n'allez pas pleurnicher

Met la main sur la justice.
Vous êtes des morts en sursis !!!
Aujourd'hui l'arbitraire est d'interdire de voyager de vous déplacer de travailler !!!
Je vous garantis que demain, si le facho détient la justice ,vous aurez des procès des condamnations à mort sans aucune équité !!!
Vous verrez des pendus innocents !!!
C'est l'une des institutions encore indépendante.
Mais le facho l'a veut !!!

Du moment que les condamnés à morts font parti de ton camp , comme dirait le joueur de foot Kevin De bruyne , je m'en bas les ******* . Rage pas trop , c'est pas bon pour le c'?ur...

Tout l'appareil d'Etat à été gangrèné. Le Président a un labeur de titan à déployer dans toutes les directions, et à calmer les impatiences venues de tous bords, de l'intérieur comme de l'extérieur.
La justice est une lourde machinerie avec ses manies, ses coutumes, ses cours et ses hiérarchies.
Du manant, petit juge de tribunal local, aux juges des instances les les plus hautes, les aristocrates avec leurs cénacles très fermés où se décident les promotions, les mutations et d'une certaine façon la politique institutionnelle.
Avons-nous entendu un de ces messieurs, malgré ce qu'on en dit, nous parler des conflits internes, des luttes d'influence, des pressions et surtout nous répondre sérieusement lorsqu'on relève des faits qui les mettent en cause ?
Certes, on a eu des réactions sur un ton presque scandalisé sans jamais rapporter la moindre preuve contre nos recriminations.
La Police voudrait appeler à la grève. Or, le citoyen a l'expérience des pratiques de cette institution. On sait les choses par témoignage, pour les avoir vécues ou encore pour les avoir observées.
L'enfant mis à nu en plein jour, devant ses pairs et traîné par une flicaille dans le panier à salade, ce spectacle nous donne à lire des us qu'on croyait d'un autre temps, et à méditer ce qu'il y aurait à faire et à transformer.
Et qui bouge au sein de ce corps de police nombreuse et multiforme pour faire un procès en bonne et due forme aux personnages, leurs collègues sauvages afin d'administrer au pays une leçon pédagogique et le rassurer.....
Vous voyez juste ces deux situations, et mesure ce qu'il faudrait mobiliser et comment y procéder.
Beaucoup, malheureusement ne veulent pas regarder la réalité des destructions opérées depuis des années qui avaient poursuivi dans la logique du pouvoir décrit comme dictature, et même a eu recours à ses agents, ses hautes mains expérimentées pour les appeler conseillers auprès du gourou criminel.
On ne compte pas, non plus, les députés élus sur les listes islamistes et qui furent les soutiens, les soutiers de la dictature.
Pour réformer un tel pays, pas uniquement ses institutions, il y faut le soutien en masse de tous ceux qui ont intérêt à ces réformes.
On voudrait qu'en 2 mois, Kais Saied, tel le démiurge, fasse sortir ce pays des abysses où l'ont conduit ceux qui aren't droit et démocratie.
Un peuple, ça ne vit pas que de pain. La dignité, la justice, l'honneur et la probité sont nourriture du c'?ur et de l'esprit.
C'est vrai que dès que l'on parle ainsi, ils (les élites intéressés) que je pluralise au masculin, vous parlent de populisme.
Le syntagme peuple sonne comme une insulte dans leur vocabulaire.
Je suis partisan de ne pas leur laisser le champ libre pour nous insulter encore davantage. Car, c'est nous insulter que de toujours disqualifier celui qui prend le parti de venir à nos côtés, de joindre son talent à notre puissance.
Nous sommes le nombre, nous les pauvres, les héritiers de générations méprisées.
En tout cas, je trouve qu'il y a de la suffisance à nous tancer, à nous appeler à nous ranger dans le camp de l'ennemi.
Un homme qui se laisse séduire par ces discours renforce le camp de ceux qui le méprisent.
Nous, moi, appelons à retrouver une justice, des institutions et un '?tat capable de traduire par son fonctionnement une part de ce que nous sommes, de nos attentes.
Ce n'est pas demander la lune.
Et, pour le formuler en une phrase, différemment, je serais avec ceux qui crient contre Kais Saied si j'avais perçu chez eux une trace de cet acharnement quand les fascistes, les vrais, nous donnaient des ordres, nous insultaient, faisaient et défaisaient à leur guise, nous volaient....
Kais Saied, le PDL, sont vilipendés, on leur cherche querelle au moindre geste, on déforme leurs propos.
Question qui mérite un long développement dont je m'abstiens ici.
Il faudra du temps, du courage et de la suite dans les idées pour avoir une chance de rétablir l'Etat et ses institutions.
Les impatients peuvent aider en soutenant ce qui est entrepris.
Moi, j'ai choisi de le faire.

et pour compléter vos propos j'ajouterais que la police aussi doit être assainie de façon a soutenir les parties saines de la justice. Certaines parties de la police, qui font profil bas et jouent actuellement les caméléons, sont des infiltrés de la nahdha et font peut être même partie de "la police parallèle" avec des "petits coups" qui discréditent leur corps de métier et sabotent "par de soit disant erreurs" les actions salutaires entreprises!

Décidément, "ON" ne craint plus le ridicule dans cette pauvre Tunisie, jadis si susceptible ! Une nouvelle bordée de menaces, toutes destinées à être noyées dans une mer trop calme : c'est le pain quotidien de ces (trop) pauvres Tunisiens, lassés de coller leur oreille à leur transistor pour recueillir la moindre info censée les rassurer sur leur futur, immédiat ou plus lointain ! HOPELESS... Ce n'est que réédition de choses dites et redites, lassantes mais guère relaxantes, parce que vides de sens... et plus vraiment amusantes : "bass dek Fatma ma bqach idhahak ", et cette dadek Fatma ne pourrait rien y faire !
Du concret, du solide, voila ce qu'exige le chaab , ce peuple à qui on fait dire tellement de choses, et à qui on fait miroiter tant de mirages ! A QUAND LEUR CONCRETISATION ? Quelle force retient le bras omni-puissant de celui qui se présente comme un tout puissant ?

BHIMCOP est incapable de dimensionner les STATIONS D'ASSAINISSEMENT DE LA JUSTICE...

Parole d'INGENIEUR JURIDIQUE!

Notre illustre savant Ibn Khaldoun disait que la justice est la base de toute civilisation. Malheureusement notre justice est de nos jours GRAVEMENT MALADE. Il faut y remédier au plus vite si on veut encore sauver notre chere Patrie.
Pour se faire il faut :
1- Appliquer scrupuleusement les lois du pays et ne pas chercher à créer de nouvelles.
2- Eliminer définitivement du circuit les juges, les auxiliaires de justice et les avocats corrompus et ceux qui ne parviennent pas à justifier l'origine de leurs fortunes ascendant et descendant direct, conjoint, freres et s'?urs, tout doit passer au tamis, et de grave sanctions pénales et financières sont à prévoir pour donner l'exemple.
3- Dissoudre toutes ces organisations et syndicats de la magistrature qui ne sont en fait que de vulgaires corporatismes mafieux opérants à l'encontre de l'intérêt national.
NUL N'EST AU DESSUS DES LOIS DU PAYS, surtout lorsqu'il s'agit d'Hommes de la lois qui malheureusement abusent de leurs statuts

Ca fait plaisir de vous lire

Parce que aux prochaines élections nous ferons du PDL le Parti majoritaire à l'Assemblée nationale et il est fort à parier qu'Abir Moussi ne prendra pas de gant avec ces juges voyous, elle sera sans pitié !

Il faut nettoyer le pays au Karcher et relancer la machine économique sans plus tarder avec une vision et un plan clairement définis qui requièrent l'appui et le soutien des partenaires de la Tunisie entre pays amis et institutions financieres internationales; FMI en tête.

Nettoyer et redresser; l'un n'empêche pas l'autre YA SI KAIS, Time is MONEY.

mais les présidents des bougnouls arabes peuvent mettre leurs nez dedans sans risquer quoique ce soit.
Dawhi ya mbarka.

Des noms, des preuves et que justice soit faite sans delais, c'est tout ce qu'on veut.
Toute personne soupçonnée d'avoir détourné des millions voire des milliards à son profit ou au profit de son parti politique, preuves irréfutables à l'appui, toute personne ayant un statut politique et qui a trempé dans des crimes, des attentats ou attaques terroristes, dans l'envoi de chair à canon en Syrie, Irak, Yémen ou Lybie, qui est soupçonné fortement "d'intelligence avec un pays où un puissance étrangère", enfin toute personne politique s'étant indûment enrichie, toujours preuves irréfutables à l'appui, doit passer immédiatement par la case justice (propre, bien entendu)