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Kaïs Saïed : Il n'y a qu'un Etat et ses institutions fonctionnent de manière harmonieuse
Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu ce mardi 20 octobre 2020, le ministre de l’Intérieur, Taoufik Charfeddine, à Carthage.
La réunion a porté sur la situation sécuritaire dans le pays et les implications sociales sur la sécurité de certaines régions, indique un communiqué de la présidence de la République.
Le chef de l'Etat a souligné, à cette occasion, la nécessité de garantir la suprématie de l'Etat de droit dans tous les domaines. Il a également rappelé que les institutions de l’État fonctionnent de manière harmonieuse et intégrée et qu’il n’y a pas de place pour nuire au prestige de l’État, quelles qu'en soient les raisons.
M.B.Z
Commentaires
DHEJ
Fonctionnement, fonctionner!
a posté le 21-10-2020 à 09:26
Par quelle ENERGIE?
Et qui fait ce FONCTIONNEMENT?
Notre ROBOCOP TUNISIEN se découvre Ingénieur Institutionnelle!
Et qui fait ce FONCTIONNEMENT?
Notre ROBOCOP TUNISIEN se découvre Ingénieur Institutionnelle!
Bechir
harmonie, efficacité, Covid et santé
a posté le 21-10-2020 à 08:19
Nous avons besoin de la symphonie de la vie. L'harmonie ne suffirait pas.
Il conviendrais d'être prospectif et efficace.
La santé n'est elle plus une question de sécurité nationale.
L'ampleur de la deuxième vague n'était elle pas prévisible, même dans des proportions moindres?
Que faire maintenant que le système sanitaire de prévention, suivi et soins est dépassé sinon inondé.
Que font les partis, l'assemblée des représentants du peuple au sujet de l'épidémie ?
L'économie, qui n'a rien de son nom, est-elle ce monstre dont nos parents nous effrayait tous jeunes.
Enfin, le discours politique est à harmoniser et à rendre accessible au citoyen ordinaire sans tomber dans le populisme ni les promesses trompeuses.
Il conviendrais d'être prospectif et efficace.
La santé n'est elle plus une question de sécurité nationale.
L'ampleur de la deuxième vague n'était elle pas prévisible, même dans des proportions moindres?
Que faire maintenant que le système sanitaire de prévention, suivi et soins est dépassé sinon inondé.
Que font les partis, l'assemblée des représentants du peuple au sujet de l'épidémie ?
L'économie, qui n'a rien de son nom, est-elle ce monstre dont nos parents nous effrayait tous jeunes.
Enfin, le discours politique est à harmoniser et à rendre accessible au citoyen ordinaire sans tomber dans le populisme ni les promesses trompeuses.
R.T.
OUI et bravo si c'est vrai .
a posté le 21-10-2020 à 03:25
Dans la simplicité on trouve un repos moral .Sans trop de gymnastique d'esprit; les choses avanceront mieux sans aucun doute et ce dans un bon sens . Laissons de côté les tactiques des politiciens aux politiciens . Le peuple en sa majorité n'est intéresser par les rouages politiques . Il veut tout simplement avoir la paix, tranquille,les moyens pour subvenir à ses besoins et de sa famille . Les partis politique ne donnent pas du confort à la vie.................;;;
takilas
Wadii Jeri et nahdha ripostent violement comme d'habitude.
a posté le 20-10-2020 à 20:58
Maintenant cela devient une coutume que lorsque nahfha est dans le pétrin, qu'elle ne rate aucune occasion ni perd le temps à provoquer des tracas, des instabilités et des violences pour instaurer l'apeurement comme depuis qu'ils sont venus de Londres.
Une tactique de leur part, ces incultes et ces médiocres qui s'est révélée au fil du temps inefficace, et qui accentue lentement mais sûrement la perte de cresibilte de nahdha par les gens.
Il n'y a, en fin de compte, que ceux qui ont été dupes et allechés par le recrutement anarchique dans les ministères et les sociétés publiques, qui les sauvent, temporairement, d'une déperdition et d'une agonie inévitables.
Une tactique de leur part, ces incultes et ces médiocres qui s'est révélée au fil du temps inefficace, et qui accentue lentement mais sûrement la perte de cresibilte de nahdha par les gens.
Il n'y a, en fin de compte, que ceux qui ont été dupes et allechés par le recrutement anarchique dans les ministères et les sociétés publiques, qui les sauvent, temporairement, d'une déperdition et d'une agonie inévitables.
Pépites
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