
L'Instance nationale pour la défense des libertés et de la démocratie (INDLD) impute la responsabilité des violations commises à l’encontre des migrants et des réfugiés au président de la République Kaïs Saïed. Elle l'appelle à y mettre fin rapidement.
Dans un communiqué publié samedi 8 juillet 2023, l’instance, présidée par l'avocat Ayachi Hammami, a fermement condamné toutes les violations et agressions perpétrées contre les migrants de tous statuts juridiques, la propagation d’un discours raciste, l'implication de certaines parties politiques dans sa promotion et le silence honteux d'autres parties face à tout cela.
Et d’appeler à révéler le sort des migrants expulsés et du lieu de leur détention et surtout à permette aux organisations humanitaires et aux organismes de défense des droits de l'Homme d’accéder à eux.
L’INDLD a aussi appelé toutes les organisations démocratiques de la société civile ainsi que les forces nationales de lutte contre le racisme, l'injustice et l’atteinte à la dignité humaine, à se mobiliser pour apporter aides, soins médicaux et tout ce qui peut être collecté en matière d'aide pour renforcer l'accompagnement des migrants et alléger leurs souffrances dans leur calvaire. Elle exige que les violations attribuées aux forces de sécurité fassent l'objet d'une enquête pour rendre des comptes.
L'Instance présidée par Ayachi Hammami a également appelé le gouvernement tunisien à respecter ses obligations en vertu du droit international, et diverses chartes, conventions et pactes qui interdisent les expulsions collectives et le refoulement ou l'expulsion vers des pays où des personnes font face à des menaces contre leurs vies, leurs libertés ou d'autres atteintes graves ou d'être soumises à la torture. Elle recommande, dans ce cadre, aux autorités compétentes que les expulsions soient faites dans le cadre des procédures légales requises et suite à une évaluation individuelle du statut juridique de chaque personne.
L’instance réagissait notamment au communiqué du ministère des Affaires étrangères sur l’entretien entre M. Ammar et son homologue libyenne. Et d’affirmer que les rapports documentés publiés par des organisations nationales et internationales fiables de défense des droits de l'Homme sont en contradiction avec ce qui a été dit lors de cet entretien. Et que les migrants ont été victimes d'insultes, d'agressions et de violations importantes au niveau de leur dignité et de leurs droits légaux.
I.N
" il m'a tapé et a pleuré, il m'a devancé et s'est plaint".
Un vrai cirque ouvert tout cela.
Il y en a marre de toutes ces mesquineries. âamaltou el âar ya nahdha janoub lekhbath.
Tout le peuple tunisien ne soutient pas l'attitude de certains sfaxiens et votre Alien de Carthage !...
Et second point :
On ne se fait pas justice soi-même !....
Conclusion :
Et pour suivre votre raisonnement....
Demandez donc aux européens de tabasser les tunisiens qui foutent le bordel chez eux ?.....
On est bien d'accord ?
Par leurs formations, leurs pledoyeries constituent à défendre l'intérêt de leurs clients, fussent-ils coupables !
Tous les arguments sont d'actualités, l'essentiel d'arriver à cacher la vérité.
Des faux jetons qui n'ont le mensonge et le déni, fort d'une verve facile et éloquente, qui arrivent à stigmatiser le rationnel pour faire triomphé l'obscure.
Des malfaisants aux esprits tordus.
Regarder ce qui se passe en France, sur qui bon nombre de nos quotidiens prennent l'exemple.
Les émigrés venant de toutes part ne soufrent ils pas autant dans ce pays qui ce dit le défenseur des droits de l'homme de liberté et autres, où une bonne partie d'entrer eux risquent leurs vies pour traverser la Manche par les mêmes procédés pour gagner la grande l'Angleterre.
Alors faut arrêter de crier au loup et de dénigrer ces institutions comme si la Tunisie est devenue raciste en fustigeant l'ensemble de ces citoyens.
Il faudrait se poser la question en amont pourquoi la Tunisie est devenue un point de passage vers l'Europe, et qui est derrière tout ça.
Il faut que cesse ces tartufferies de certains médias y compris de certains hommes politiques car attention au boomerang...
S'est ensuivie une violente vague de négrophobie digne du Ku Klux Klan. Elle mit ce pays au ban des nations et lui attira les foudres de bien des organisations Internationales, Banque Mondiale CEDAO etc...
Ce qui se passe aujourd'hui n'en est que le remake ou la continuation aggravé.e par quelque promesse faite à l'UE.
Vous n'en ignorez rien.