
L'Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie) a annoncé, hier, avoir transmis le dossier de l'un des candidats rejetés à la présidentielle du 6 octobre 2024 au ministère public pour usage de faux.
Elle a indiqué que le dossier a été transféré au parquet pour fraude et usage de faux. Le candidat en question est « accusé d'avoir intentionnellement dissimulé le fait qu'il avait une double nationalité et a présenté une déclaration sur l'honneur falsifiée ».
Comme l’ont deviné les observateurs, il s’agissait bien du candidat Imed Daïmi qui a répondu aujourd’hui, jeudi 5 septembre 2024, aux accusations de l’Isie et publié un extrait du jugement du tribunal administratif qui réfute clairement ces allégations.
Le texte publié indique : « Dès lors qu'il est avéré que le requérant ne possèdait que la nationalité tunisienne à la date du dépôt de sa candidature à l'élection présidentielle, le refus de l'instance, mise en cause, d'accepter sa candidature au motif qu'il possède la nationalité française n'est pas fondé sur une base solide en fait et en droit. Pour cela il a été décidé d’accepter le recours du requérant ».
Imed Daïmi a estimé que l’Isie a agi par représailles car il avait récusé les sept membres de son Conseil et appelé les autres candidats exclus à faire de même.
« Maintenant Bouasker et les membres de son instance qui se sont retournés contre la loi et le système républicain alimentent chaque jour le dossier de leurs crimes envers moi et envers le peuple et pour lesquels ils seront bientôt traduits devant la justice, sans leur immunité car leur immunité tombera très bientôt avec la fin de la situation d'exception qu'ils veulent perpétuer, pour des accusations de fausses allégations, d'escroquerie morale et d'autres accusations qui feront d’eux une leçon pour les prochains à venir… le changement arrive inéluctablement et chacun assumera sa responsabilité » a-t-il écrit.
On rappellera que le tribunal administratif a statué en faveur de la candidature de Imed Daïmi qui a malgré cela été rejetée par l’Isie.
M.B.Z
et p-e que la décision des autorités françaises s'est fait attendre et est arrivée trop tard par rapport à la candidature à la présidence de la république
rien ne sert de courir il faut partir à point
bon courage q-m
Aaaaaaaah ces hypocrites
LA QUESTION EST LA SUIVANTE (TO BE OR NOT TO BE).
LA DATE DE LA SIGNATURE LEGALISEE EST ELLE ANTERIEURE OU POSTERIEURE A LA DATE DE L'ABONDON DE TA NATIONALITE FRANCAISE .
SACHANT QUE DANS TA DECLARATION SUR L'HONNEUR TU A DECLARé NE PAS AVOIR UNE DEUXIEME NATIONALITE.
Sachant que la declaration sur l'honneur est UN ELEMENT du dossier de cadidature. Et s'il s'avère que la declaration est UN FAUX. tout ton dossier est UN FAUX.
JE TE DEFIE DE PUBLIER TA DECLARATION SUR L'HONNEUR AU LIEU DE TOURNER EN ROND!!!!
LES TUNISIENS NE SONT PAS DUPES.