CPR après sa défaite il démissionne du parti pour créer un autre avec presque les mêmes gueules

Le député et dirigeant d’Al Irada, Imed Daïmi a poursuivi sa campagne acharnée contre les symboles de la Garde nationale, en s’attaquant cette fois au colonel-major, Khalifa Chibani, l’accusant d’être « un pion entre les mains des lobbies politiques, régionaux, opportunistes, et loin de la neutralité et des principes et de la sûreté républicaines ».
Dans un discours diffamatoire et calomnieux, Imed Daïmi s’adresse au colonel-major de la Garde nationale en ces termes : « Le provisoire (en allusion à Moncef Marzouki) est plus honnête que toi, et de ceux qui te commandent derrière les rideaux comme une marionnette. Ils t’utilisent pour leurs sales manœuvres et campagnes contre Marzouki ».
Ainsi, il a appelé le ministre de l’Intérieur, Lotfi Brahem, qui était également dans sa ligne de mire, à assumer sa responsabilité et à prendre les mesures nécessaires contre « ce cadre sécuritaire, qui a gravement failli à son devoir de réserve ».
Et à M. Daïmi de poursuivre ses menaces, en assurant qu’il exposera la question à l’Assemblée, afin d’éviter la reproduction de ces pratiques. « Un seul mot que je dis au cadre sécuritaire provisoire, la plus grande traîtrise du drapeau pour un colonel c’est d’être à la solde des lobbies corrompus et de s’inscrire dans des agendas politiques qui s’opposent aux règles de la neutralité ».
Ce statut publié par Imed Daïmi vient en réponse à la déclaration du porte-parole de la Garde nationale, qui avait indiqué qu’il y avait « des personnes provisoires ayant gouverné le pays ayant tenté de changer son drapeau ».
S.H
Commentaires (17)
Commenterex président malgré moi (ce n'était pas mon choix)
CPR après sa défaite il démissionne du parti pour créer un autre avec presque les mêmes gueules
cherchez l'erreur
Oh...Virginité
Lorsque le patriotisme diminue
UN C.. fini ce type
Un hypocrite de premier ordre
Il faut l'ignorer
L'exilé minable.
Attention tu a touché l´armée qui grâce à elle que tu es rentré de l´exile .
et en plus,
Maintenant, on défend le fautif de la Garde nationale qui s'immisce dans la politique en tant qu'un exécutif et on dénigre Imèd Daïmi, qui attire l'attention de la République contre cette infraction, des plus graves dans toute démocratie de ce monde.
Où en serions-nous, si chaque responsable d'une Institution républicaine, se transforme en la marionnette de ceux qui l'ont haussé à ce grade?
Donc, au lieu de dénigrer ceux qui attirent l'attention sur le malaise de la restitution des anciennes méthodes dictatoriales, à l'image de Imed Daïmi, toute personne lucide aurait dû se retourner vers le porte-parole de la Garde nationale, qui a trahi la neutralité de sa mission, que le peuple tunisien attend de lui.
En tant que porte-parole d'une Garde nationale appartenant à l'exécutif, il n'a même pas le droit de désigner ses détenus par des adjectifs n'appartenant qu'à son propre langage, avant que la Justice ne les condamne définitivement.
Si Imèd Daïmi, Samia Abbou et tous les autres courageux de la nouvelle deuxième République tunisienne, ne dénoncent pas de telles déviations constitutionnelles catastrophiques contre notre transition démocratique, qui le ferait donc, le «Zalèm» Borhèn Bsaïes, peut-être?

