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Imed Daïmi accuse Khalifa Chibani de traîtrise !
29/10/2017 | 13:25
1 min
Imed Daïmi accuse Khalifa Chibani de traîtrise !

 

Le député et dirigeant d’Al Irada, Imed Daïmi a poursuivi sa campagne acharnée contre les symboles de la Garde nationale, en s’attaquant cette fois au colonel-major, Khalifa Chibani, l’accusant d’être « un pion entre les mains des lobbies politiques, régionaux, opportunistes, et loin de la neutralité et des principes et de la sûreté républicaines ».

 

Dans un discours diffamatoire et calomnieux, Imed Daïmi s’adresse au colonel-major de la Garde nationale en ces termes : « Le provisoire (en allusion à Moncef Marzouki) est plus honnête que toi, et de ceux qui te commandent derrière les rideaux comme une marionnette. Ils t’utilisent pour leurs sales manœuvres et campagnes contre Marzouki ».

 

Ainsi, il a appelé le ministre de l’Intérieur, Lotfi Brahem, qui était également dans sa ligne de mire, à assumer sa responsabilité et à prendre les mesures nécessaires contre « ce cadre sécuritaire, qui a gravement failli à son devoir de réserve ».

Et à M. Daïmi de poursuivre ses menaces, en assurant qu’il exposera la question à l’Assemblée, afin d’éviter la reproduction de ces pratiques. « Un seul mot que je dis au cadre sécuritaire provisoire, la plus grande traîtrise du drapeau pour un colonel c’est d’être à la solde des lobbies corrompus et de s’inscrire dans des agendas politiques qui s’opposent aux règles de la neutralité ».

 

Ce statut publié par Imed Daïmi vient en réponse à la déclaration du porte-parole de la Garde nationale, qui avait indiqué qu’il y avait « des personnes provisoires ayant gouverné le pays ayant tenté de changer son drapeau ».

 

S.H

 

29/10/2017 | 13:25
1 min
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Commentaires (17)

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tunisien
| 30-10-2017 13:30
mon petit Daimi ton patron n'a t-il violé le droit de réserve a ALJAZEERA et n'a t-il traité les tunisiens d'hypocrites et de fourbes. je me demande pourquoi ce personnage à la tête du parti qui se nomme
CPR après sa défaite il démissionne du parti pour créer un autre avec presque les mêmes gueules

afour
| 30-10-2017 10:26
de deux choses soit ce qu'il avance est vrai auquel cas il doit le demontrer preuve a l'appui soit ce qu'il avance est faux et dans ce cas il doit etre en taule car il s'agit d'un deni grave qui porte a la securite de l'etat

Tanit d'Or
| 30-10-2017 10:12
Daimi ya... si tu savais, ta virginité et celles de tes semblables, Tartour, Monsser etc...est irrecuperable....dommage, aller chercher qq chose d'autre le peuple vous hait....

katytunis
| 29-10-2017 22:21
Lorsque dans une société ,le nombre de traîtres devient supérieur au nombre de patriotes,l'Etat perd toute sa souveraineté vis-à-vis des citoyens et même des pays -tiers !

Selim
| 29-10-2017 21:52
Il faut l ignorer

MFH
| 29-10-2017 20:57
S'Il y a un traitre dans cette histoire, ca ne peut être que Daïmi. Qu'est ce qu'un traître ? C'est quelqu'un qui agit avec perfidie, qui est susceptible de nuire d'une façon hypocrite. On se rappelle tous de l'attitude de cet ingrat lors des événements de Ben Guerdane au sujet de la sécurisation des frontières.

Kam
| 29-10-2017 19:37
En publiant les commentaires de ce Imed, vous lui faites une publicité. Il faut l'ignorer.

A . V .
| 29-10-2017 18:33
Toi le grand voyou , c'est grâce au colonel CHibani et ces collègues qu' aujourd'hui tu ouvre ta gueule , car avant la révolution tu l´ouvre juste devant ton dentiste .
Attention tu a touché l´armée qui grâce à elle que tu es rentré de l´exile .

fethia
| 29-10-2017 18:19
ce n'est pas faux. Imed Deimi a oublié la période où il recevait les prédicateurs extrémistes dans le salon d'honneur de l'aéroport Tunis Carthage quand il était directeur du cabinet du provisoire moncef marzouki. franchement, un peu de pudeur M. le (dé)pute.

Abel Chater
| 29-10-2017 16:27
La déclaration partiale à tendance politique du porte-parole de la Garde nationale, est en soi une infraction extrêmement grave, contre la neutralité du pouvoir exécutif et de sa soumission absolue aux deux pouvoirs, législatif et judiciaire de notre deuxième République tunisienne de régime parlementaire.
Où en serions-nous, si chaque responsable d'une Institution républicaine, se transforme en la marionnette de ceux qui l'ont haussé à ce grade?
Donc, au lieu de dénigrer ceux qui attirent l'attention sur le malaise de la restitution des anciennes méthodes dictatoriales, à l'image de Imed Daïmi, toute personne lucide aurait dû se retourner vers le porte-parole de la Garde nationale, qui a trahi la neutralité de sa mission, que le peuple tunisien attend de lui.
En tant que porte-parole d'une Garde nationale appartenant à l'exécutif, il n'a même pas le droit de désigner ses détenus par des adjectifs n'appartenant qu'à son propre langage, avant que la Justice ne les condamne définitivement.
Si Imèd Daïmi, Samia Abbou et tous les autres courageux de la nouvelle deuxième République tunisienne, ne dénoncent pas de telles déviations constitutionnelles catastrophiques contre notre transition démocratique, qui le ferait donc, le «Zalèm» Borhèn Bsaïes, peut-être?