
Le candidat potentiel à la présidentielle d’octobre, Imed Daïmi, a annoncé, qu’un recours a été déposé, aujourd’hui, jeudi 22 août 2024, devant l'assemblée plénière juridictionnelle du Tribunal administratif afin d’annuler la décision de rejet, pour vice de forme, prononcée le 19 août.
« Nous avons présenté un dossier qui répond à toutes les conditions de forme et avons appelé les membres de la plénière à annuler la décision de la septième chambre d’appel qui a rejeté sur la forme notre recours à cause d’un document numérique en PDF et non en Word (…) et à annuler également la décision de rejet de notre candidature par l’Isie sur la base de considérations fictives (…) nous avons démontré aux juges comment la décision de la septième chambre d’appel était abusive et en violation de la constitution et de la loi (…) nous avons démontré à l’honorable conseil la mauvaise foi de la chambre (…) nous sommes convaincus que la décision de rejet a été dictée par des pressions étrangères inédites et que la décision a été prise durant le prolongement de la séance, la décision initiale étant probablement en notre faveur (…) la balle est à présent dans le camp des juges éminents du Tribunal administratif (…) le sujet dépasse à présent la validation ou le rejet des candidatures, mais concerne l’honneur de la justice et l’avenir du pays. Les juges sont face à une épreuve inédite devant les Tunisiens et le monde » a déclaré Imed Daïmi dans une vidéo postée sur la toile.
Le Tribunal administratif a rendu, lundi 19 août 2024, le prononcé des jugements pour les deux derniers recours, sur un total de sept recours, déposés dans le cadre du contentieux des candidatures à l'élection présidentielle, et ont statué sur leur rejet sur la forme. Les deux jugements en question concernaient Imed Daïmi et Bechir Aouani.
Le tribunal a également indiqué que la première phase du contentieux électoral s'est achevée par le rejet de tous les recours, soulignant qu'il avait commencé, depuis dimanche 18 août 2024, à communiquer aux parties des copies des jugements établis en vue du lancement de la deuxième phase du contentieux devant l'assemblée plénière juridictionnelle, qui s'est engagée à examiner en appel les recours susmentionnés.
Imed Daïmi avait déclaré qu’il poursuivra sa bataille légale jusqu’à en épuiser tous les recours, appelant ses soutiens et les volontaires à ne pas se décourager et à poursuivre leurs actions pour éclairer les citoyens et « diffuser l’espoir en attendant le lancement de la campagne électorale ».
M.B.Z
- Daimi accuse l'ISIE
- Daimi accuse le Tribunal administratif
- Daimi accuse le Pouvoir en place
- Daimi accuse des pressions étrangères
Et puis,
- Daimi menace le Président
Et encore:
Daimi menace les tunisiens d'un sursaut populaire qui mettrait la Tunisie à feu et à sang
Conclusion: la Tunisie, avec son ISIE, avec ses juges, avec ses tribunaux, avec son président, avec son peuple, tout ce beau monde, doit accepter la candidature de Mr Daimi, ce pdf sans f.
C'est comme un éleve au bac maths qui a obtenu 6/20 en maths et 7/20 en physique et qui conteste son élimination ,sous pretexte qu'il y a une erreur dans sa note en bac sports!!!!
Il voudrait etre retenu pour compenser sa perte de sa nationalité Française. Il est le candidat le plus malheureux car il n'est pas retenu et il a perdu sa deuxième nationalité.
Mais probablement il y a un autre malheureux qui risque de perdre ...........................pour quelques mois. Et un autre qui risque de perdre les députés de son parti à l'ARP.
DAIMI , occupez vous de la reprise de votre nationalité Française ou cherchez une autre. M.M.M et BOUCHLAKA vous aideront. ET ARRETEZ DE NOUS CASSER LES PIEDS AVEC VOS VIDEO STUPIDES. Et je demande à la JUSTICE de nous publier LES CONDAMNATIONS ET LES POURSUITES contre ces prétendant candidats (EN PAPIER, et meme pas en CARTON ) qui se lamentent sur le mur de B.N contre la condition du bulletin N°3. Et qu'ils cherchent un autre mur de LAMENTATION.
Le jour où il y a de vrais problèmes, ils n'ont aucune crédibilité devant l'opinion publique.

