vous n'osez même pas vous en approcher.

Le ministre de l’Education nationale, Hatem Ben Salem, a été l’invité de Insaf Yahyaoui dans le cadre de son émission « Café turc » ce soir du dimanche 4 mars 2018, pour revenir sur plusieurs questions touchant à son département.
Dans un premier temps, le ministre est revenu sur le conflit avec les syndicats de l’Enseignement secondaire, notamment, le refus de communiquer les notes des élèves aux administrations. « Le blocage des notes est inadmissible ! C’est une ligne rouge. Je dirai, même, que c’est une chose impossible. Je refuse qu’on me parle « de négociations non sérieuses ».
« Lorsqu’on a devant soi un responsable pour discuter, les négociations ne peuvent être que sérieuses ! Quant à la grève prévue le 28 mars, j’aimerai bien qu’on puisse l’éviter, mais les grèves restent un droit constitutionnel. Je répète, le refus de communiquer les notes est une chose inacceptable. Les notes ont été communiquées aux élèves me dit-on. Ce n’est pas possible ! Les notes doivent-être remises à l’administration, un conseil de classe doit se réunir, et des bulletins de notes doivent être édités. On négocie avec tout, sauf avec l’intérêt des élèves », a-t-il souligné fermement.
D’autre part, il est revenu sur les derniers incendies qui ont eu lieu dans plusieurs foyers dans les régions : « Ce n’est pas innocent. Ce sont des actes prémédités. Je considère qu’il s’agit de terrorisme dans ce cas. Les criminels essayent de creuser la faille entre l’Etat central et les régions ».
M. Ben Salem a tenu à mettre l’accent sur la nécessité d’appliquer les réformes profondes dans le secteur de l’enseignement en commençant par l’amélioration de la formation des enseignants, estimant qu’il s’agit de la base de la véritable réforme qui permettra de hisser le niveau et de préserver l’enseignement public.
S.H
Commentaires (6)
CommenterLe bal des sans culottes
vous n'osez même pas vous en approcher.
La clochardisation de l'éducation
D'un coté le ministre, à juste titre, nous dit qu'il veut améliorer le niveau des enseignants et de l'autre bloque la la situation des 2300 capétiens tout en les remplaçant par des suppléants au niveau encore plus bas.
L'attitude du syndicat et du ministère semblent être, à priori, contradictoire mais au fond conduisent au même but à savoir la marginalisation encore l'éducation et venir a bout de ce qu'il en reste.
Tout se passe comme il y a un plan global à tous les niveaux fait pour clochardiser ce pays.
Ne vous inquiétez pas pour les enfants du ministre et de Yacoubi, il y a longtemps qu'ils sont à l'abri, ont et auront les moyens de faire de bonnes études.
Pas nos enfants à nous, la rue les guettent dans un monde de plus en plus impitoyable.
Si non comment expliquer que depuis sept on a laissé traîner ce problème combien vital au pays aux mains de gens peu scrupuleux.
Pas d'autre explication que c'est volontaire.
J'ai utilisé le mot "clochardisation" car à ma connaissance j'étais le premier à l'avoir utilisé dans un de mes commentaires sur BN et non en référence à un article publié récemment sur ce même média.
Oubliez l'Etat,oubliez Tounes El Khadra une fois les islamistes auront le pouvoir
Un autre daltonien est-il?
Ils ne veulent pas de l'Education !!!!
SI ON POUVAIT COLLER TOUTES LES LIGNES ROUGES, LES UNES AUX AUTRES,
depuis la prise du pouvoir par les imposteurs traitres affamés de la trika, on pourrait facilement repeindre la planète terre intégralement EN ROUGE.
Arrêtez votre cinéma et passez à l'??action, coûte que coûte. Nous sommes à deux pas du point de non retour. Ne laissez à demain,j ce qu'??on peut faire aujourd'??hui.