
Le professeur de philosophie, écrivain et analyste politique Hamadi Ben Jaballah a salué le silence et la prudence de l’Union générale tunisienne du Travail (UGTT) au sujet de la situation en Tunisie. Il a considéré qu’on était dans l’obligation d’accepter une injustice au lieu du désordre.
« Notre première obligation est la préservation de l’État… Je préfère une injustice à un désordre… Nous sommes dans l’obligation d’accepter de mauvaises lois et faire preuve de patience… C’est là que réside la sagesse de l’UGTT. Même en temps de Habib Achour, ceci n’avait pas eu lieu… On fait preuve de patience », a-t-il déclaré lors de son passage du 23 novembre 2023 sur les ondes de Shems FM durant « La Matinale » de Wissal Kassrawi Gharbi.
Hamadi Ben Jaballah a considéré que l’UGTT cherchait à préserver l’État et évitait de se précipiter. Il a qualifié la situation actuelle de parenthèse entamée le 25 juillet 2021 pouvant causer de grandes pertes pour le peuple tunisien.
Pour rappel, l'UGTT est, sans le dire clairement, en conflit avec l'actuel gouvernement puisque plusieurs ministres ont porté plainte contre des militants et des dirigeants de la centrale syndicale. De plus, quelques analystes pointent du doigt la rupture totale des canaux de communication entre le pouvoir en place et l'union et évoquent comme principale preuve l'absence de rencontre entre le président de la République, Kaïs Saïed et le secrétaire général de l'UGTT, Noureddine Taboubi.
S.G
Ils continuent à s'agripper aux ingrédients du gauchisme soviétique à la sauce des nationalistes arabes d'un autre temps, ils demeurent en retard d'une révolution sociale pragmatique, on peut donc le qualifier du syndicat le plus bête du monde
Et le «Prix Zabbel» de l'UGTT, Houcine Abbassi, qui a reconnu de lui-même avoir saboté tous les travaux du parti d'Ennahdha, depuis le début de la Révolution du 14 janvier 2011. Il nous a expliqué omment l'UGTT a abusé de la bonté, du pacifisme, de la naïveté et du manque d'expérience de ceux d'Ennahdha, pour les déjouer, pour les saboter et pour intriguer contre tous les gouvernements avec qui, ils ont coopéré. L'UGTT a organisé des milliers de grèves, de fermetures de voies routières et ferroviaires, sans oublier les augmentations de salaire abusives et le droit à de ministères dans chaque gouvernement pour leur UGTT, dont ce même Abid Briki, qui lèche à présent les bottes du président Kaïs aïed, comme s'il n'était pas lui-même le plus faible ministre en cette même période, qu'il appelle maintenant sa propre «décennie noire».
Maintenant, l'impensable et inattendue victoire de la poignée de Combattants de Hamas du 7 octobre dernier, contre la soi-disant forte armée des juifs génocidaires de Gaza occupants de la Palestine, se réalise aussi en Tunisie par le biais du retraité de l'Enseignement universitaire Kaïs Saïed, sur les plus grands Mafieux de l'UGTT. Ces saboteurs et intrigants de l'UGTT, qui nous ont bloqué notre transition démocratique. Tabboubi, Tahri et compagnie, se sont transformés d'anciens bulldogs acharnés contre le parti des chats d'Ennahdha, en des rats des moissons qui gîtent dans les trous, de peur d'être écrasés par le tracteur du président Kaïs Saïed.
Allah yomhil, wèlè yohmil.