| 31-03-2018 13:36
Des gréves à gogo, gréve à Rades, gréve à Gafsa, gréve dans l'enseignement, gréve par tout........gréve, gréve...comment voulez-vous que le pays avance.
Bien sur qu'il faut innové nos ports et nos infrastructures, y compris le mode de dédouanement tant à l'importation qu'à l'exportation.
il est inadmissible que les marchandises restent dans les entrepôts sous douane plus de 24h après dédouanement.
Allez jeté un coup d'?il du coté de Marseille, le Havre, Hambourg, Anvers ou Amsterdam, les mouvements des marchandises, et trouvez moi un seul container qui a dépasser les 48 h de stationnements sur les ports. De même dans les aéroports de fret.
Il ne suffit pas de construire un port en mer profonde pour dire voila ça marche, Il faut tous revoir, notre système administratif, et mettre dans la tête de nos administrés et l'ensemble des utilisateurs la manière de travailler en partenariat sans le moindre soupçon d'un coté comme de l'autre.
C'est une révolution dans les esprits qu'il faut faire.
Il ne faut pas être fataliste, nous avons les moyens d'aller vers l'avant à une condition de se mettre au travail et sérieusement, sans ces mouvements de gréves qui nous minent tous, et celle de la Tunisie toute entière.
Bien sur qu'il faut innové nos ports et nos infrastructures, y compris le mode de dédouanement tant à l'importation qu'à l'exportation.
il est inadmissible que les marchandises restent dans les entrepôts sous douane plus de 24h après dédouanement.
Allez jeté un coup d'?il du coté de Marseille, le Havre, Hambourg, Anvers ou Amsterdam, les mouvements des marchandises, et trouvez moi un seul container qui a dépasser les 48 h de stationnements sur les ports. De même dans les aéroports de fret.
Il ne suffit pas de construire un port en mer profonde pour dire voila ça marche, Il faut tous revoir, notre système administratif, et mettre dans la tête de nos administrés et l'ensemble des utilisateurs la manière de travailler en partenariat sans le moindre soupçon d'un coté comme de l'autre.
C'est une révolution dans les esprits qu'il faut faire.
Il ne faut pas être fataliste, nous avons les moyens d'aller vers l'avant à une condition de se mettre au travail et sérieusement, sans ces mouvements de gréves qui nous minent tous, et celle de la Tunisie toute entière.