
Le président de l’instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), Farouk Bouasker a été l’invité de Hamza Balloumi, ce dimanche 4 septembre 2022, assurant qu’il avait longtemps hésité avant d’accepter la présidence de l’instance à cause de l’instabilité de la situation politique.
Farouk Bouasker a assuré que l’instance avait réussi sa mission historique à travers l’organisation du premier référendum autour d’une constitution dans l’histoire de la Tunisie, et ce, en un temps record. « Les membres du conseil de l’instance ont prêté serment au mois de mai. En juillet, l’Isie était parfaitement prête pour l’échéance électorale. J’appréhendais cette mission, mais aujourd’hui je suis ravi de la réussite de cette mission presque impossible », a-t-il ajouté.
Par ailleurs, le président de l’instance a assuré que sa désignation à la tête de l’instance n’a rien de politique, encore moins avec sa proximité du président de la République, rappelant qu’il était déjà au sein de l’instance depuis 2011, avant même l’accès du président Saïed au pouvoir.
Confronté par Hamza Balloumi aux chiffres contradictoires annoncés par l’instance à l’issue du référendum, citant à cet effet l’article publié par Business News, Farouk Bouasker a expliqué qu’une erreur s’était glissée dans le fichier Excel et que cette erreur avait été rapidement rectifiée. Il a ajouté que les fichiers Excel n’avaient aucune valeur légale, et que s’il y avait la moindre défaillance elle aurait été relevée par le Tribunal administratif, qui lui, avait rejeté tous les recours.
S.H


Raison contre les faits, contre la vérité des faits, négationniste et fier de l'être jusqu'à prétendre qu'au fond sont "criminels" ceux qui ont renversé les criminels, les vrais.
Le Président insulté, diffamé, traité de tout par des faussaires qui sont de véritables niais.
Quand va-t-on juger Bhiri pour avoir détruit l'institution judiciaire ?
Quand les juges, nos très chers et indépendants juges et autres procureurs, vont-ils arrêter le Ghannouchi pour faits de crimes d'assassinats de Brahmi, Belaid....?
Quand notre justice si jalouse de don indépendance va-t-elle enquêter sur les sommes énormes empruntées, les dons et autres ressources durant une décennie pour un résultat néfaste, l'surendettelent du pays et la déroute financière ?
Quand va-t-on enquêter sur les fortunes amassés par certains dont le profil est homogène, j'ai nommés des islamistes ?
Cela, c'est du concret.
Cela représente des forfaits qui peuvent conduire au gibet.
Cela est de la voyoucratie.
Cela est au motif de la situation actuelle du pays.
Vous pouvez vous ra inter des histoires.
Moi, je regarde les faits.
Tu as contribuer à détruire notre pays.
L'histoire maudira à JAMAIS ton nom et celui de ton Maître chargé de cours.
le despote suprème aussi: il a prèté serment de respecter et défendre destour'2014.
on connait la suite ....
L'homme prend le peuple tunisien pour des cons. Il oublie que la Justice tunisienne ne le laissera jamais échapper au jugement, lors de la restitution de la légalité de l'après Kaïs Saïed. Si le président Kaïs Saïed, fait tout son possible pour inculper Noureddine Bhiri, parce qu'il a été ministre de la Justice avant une décennie, en 2013, que dire donc de Bouasker & Co., qui ne tiennent qu'au fil d'araignée, autour du président putschiste Kaïs Saïed!!!
Allah yomhil wèlè yohmil.