
Le président d’Afek Tounes, Fadhel Abdelkefi, est revenu, lundi 4 juillet 2022, sur le démarrage de la campagne sur le référendum. Le parti – qui participe au référendum et fait campagne pour le non – a lancé sa campagne à Sidi Bouzid et Regueb où les membres d’Afek Tounes et les partisans ont dû faire face à des « milices » et « des menaces de mort ».
Selon Fadhel Abdelkefi, la violente opposition à la présence d’Afek Tounes à Regueb est le fruit des discours du président de la République, Kaïs Saïed, dans lesquels il ne cesse de parler de « traîtres » et de « complots ». Le politicien a relevé, également, l’absence de sécuritaires pour assurer le meeting de son parti soulignant qu’un rapport détaillé a été transmis à l’Instance supérieure indépendante pour les élections.
Il a, dans ce contexte, fait porter la responsabilité de l’intégrité physique des personnes qui participeront à la campagne sur le référendum au président de la République.
« Si certains pensent que cela nous arrêtera, ils se trompent. Nous continuerons (à faire campagne). Cela est notre droit », a-t-il déclaré au micro de Myriam Belkhadi lors de son intervention dans la Matinale de Shems FM précisant que son parti s’oppose à toute l’entreprise Kaïs Saïed dans son ensemble et à sa performance et non uniquement à la constitution qu’il compte soumettre au référendum le 25 juillet.
Le chef de l’Etat a, rappelons-le, publié dans le Jort du 30 juin 2022, une proposition de constitution largement différente de celle élaborée par la commission consultative qu’il avait lui-même désignée pour cette tâche.
S’exprimant sur le contenu de la proposition de constitution du président de la République, Fadhel Abdelkefi a estimé qu’il n’y avait « rien à prendre ». Il a ajouté, dans ce sens, que le chef de l’Etat avait réalisé le rêve de l’islam politique. « Il n’y aura plus de Parlement, plus de partis, plus de cour constitutionnelle, plus de libertés (…) Cela deviendra une habitude : chaque président nous rédigera sa propre constitution », a-t-il affirmé notant que la proposition de Kaïs Saïed ne survivra pas au-delà de son mandat.
N.J.

Des Harkis de bonne ou de mauvaise foi, qui n'arrivent pas encore à comprendre, que lorsque les Musulmans se tenaient à leur religion musulmane, ils avaient dirigé le monde entier plus d'un millier d'années et qu'ils n'avaient perdu cette superpuissance mondiale, au point qu'ils se laissent humilier par les plus basses des gammes humaines, depuis les esclaves des Pharaons, jusqu'aux buveurs de l'urine des vaches et les incarnés des rats, que lorsqu'ils se sont distancés de leur religion musulmane.
Celui qui n'arrive pas encore à comprendre le sens de cette peur des ennemis de l'Islam, de ce qu'ils appellent «Islam politique», qu'ils regardent du côté de l'Iran, comment elle s'est transformée en une République islamique puissante par l'Islam, alors que tous les autres pays arabes à ses côtés, qui font la guerre à leur propre religion musulmane pour la vider de sa force et de sa foi, comment ils n'arrivent même pas à protéger leurs tours en verre, jusqu'à les avoir vendus aux juifs génocidaires de Gaza occupants de la Palestine.
Donc, que les ignorants parmi les Tunisiens cessent de faire le jeu de ce mensonge d'un quelconque «Islam politique» en Tunisie, alors que les Français nous dépouillent de nos richesses devant nos propres yeux.
Le jour où nous aurions notre propre arme nucléaire et nos propres porte-avions comme la Turquie et l'Iran, nous reparlerons de ce probable «Islam politique» des Mosquées et de la prière, dont ils nous font leur propre guerre mondiale avec leurs Harkis de chez nous, qui nous ravivent notre renaissance de l'Islam.
Allahou Akbar.
On en a ici un exemple concret avec ce que vient d'affirmer Fadhel Abdelkefi;
Comme si lui,en digne petit-fils du Cheikh Fadhel Ben Achour,cela ne lui convenait pas.....
Mais alors,Ses illustres ancêtres Fadhel et Taher Ben Achour devraient se retourner dans leur tombe;
J'en conclus donc que sa déclaration est purement politique;
Pour ma part ,voici ce que je pense:
Selon l'article 5 : « La Tunisie fait partie de la Umma islamique. SEUL L'ETAT devra veiller à garantir les objectifs de l'Islam en matière de respect de la vie humaine, de la dignité, de l'argent, de la religion et de la liberté ».
Personnellement, la façon avec laquelle est tournée cet article 5 me convient;
Comment sont nés en Tunisie des partis tels que Ennahdha (ex-Ittijèh islèmi) et tous leurs affiliés?
Un peu d'Histoire contemporaine:
La politique de Bourguiba (Franc-maçon) , malgré l'article 1 du Destour de 1959, avait fait basculer la Tunisie d'une société plutôt conservatrice vers une société épousant le modèle occidental par bien des aspects;
Un peu trop même,jusqu'à ce que le Tunisien khraj mén kéchrtou,certains abus avaient donné naissance à un parti se réclamant de l'ittijèh éslèmi (Tendance,Direction musulmane);Bien que très vite jugé illégal sous Bourguiba puis Ben Ali,les Khwènjiès opérant dans la clandestinité faisaient de plus en plus d'adeptes auprès d'une population dont la parole était muselée et trouvant dans leur religion un exutoire;
BCE leur donna leur chance en leur permettant de se constituer en partis et de s'introduire à l'ANC puis à l'ARP mais en les diluant tout de même au fil des élections (90;69,53),le bon peuple ayant compris que ce n'était pas avec eux que l'Islam était rentré en Tunisie et que leurs postes servaient beaucoup plus leurs affaires personnelles qu'autre chose;
Vint KS élu démocratiquement;Après le premier New-deal à la Roosevelt en matière de partis religieux préconisé par BCE et qui de toutes façons,comme on l'a vu plus haut ,avait montré ses limites,ce second New-deal préconisé par KS avec son article 5,VA FAUCHER L'HERBE SOUS LES PIEDS des Khwènjiès en les rendant à nouveau illégaux mais en vertu de cette Constitution avec l'apparition de cette nouvelle mention "SEUL L'ETAT " qui dépouillera Ennahdha et affiliés de leur raison d'être;
Ajoutons enfin que le choix de KS se portant sur S Belaid (ènè Bouguibi fél sammim) qui comptait faire disparaître avec l'article 1 la référence à l'Islam n'était pas anodin,quant à Mahfoudh et son "Agatha",ils jouèrent un peu leur rôle de LEURRE,se rendant compte ,mais un peu tard,qu'ils furent le dindon de la farce.
Kais Saied doublant la secte, lui enlève le pain de la bouche, et confiant à l'Etat le soin de veiller à nos âmes, leur fait un enfant dans le dos les désignant illégitimes à ce rôle.
Et puis, les articles de ce texte proposé au pays sont assez souvent conçus, clairs, et laissent beaucoup d'espace pour tricoter les mailles par la jurisprudence, par les pratiques.
Les libertés sont garanties, la recherche et le savoir encouragés, l'éducation et la liberté de pensée aussi.
'? mon humble avis, ceux qui prétendent qu'il fait le lit des islamistes racontent une histoire pour se convaincre de leur opposition, rivalité plutôt, au Chef de l'Etat.
L'homme que vous interpellée est l'enfant de la bourgeoisie, habituée à commander et au droit de préséance, est marri de se voir réduit à quantité négligeable, du moins au statut du commun.
Enfin, je les soupçonne, lui et d'autres de nourrir une aversion farouche à cet homme pour fait de proximité avec les pauvres, la populace comme écrivent certains.
M'nihla vs Sidi Boussaid.....
La Tunisie n'appartient pas aux milices et aux ânes bâtés de Kais Saïed.
Nous dirons Non avec vous le 25 juillet !!
Vous êtes vraiment des Saiediens en puissance, tout pour la haine, tout pour la vengeance.
Engeance maudite que ce pays traîne depuis des siècles !

