Le président du parti Afek Tounes, Fadhel Abdelkefi, était présent, mardi 9 mars 2021, sur les ondes de IFM pour revenir sur la situation économique et politique dans le pays ainsi que sur la vision de son parti pour la période à venir.
Fadhel Abdelkefi a indiqué qu’il a été proposé à deux reprises pour le postes de chef de gouvernement sauf qu’on n’a pas vu en lui la personne la mieux à même de former le gouvernement bien qu’il bénéficiait du soutien d’une majorité parlementaire. « J’ai accepté ma proposition en tant que chef de gouvernement, sachant tout de même que ce poste n’est pas un cadeau quand on connait la situation économique du pays ».
Revenant sur cette situation, le dirigeant politique a affirmé que, sans réformes, le pays se dirige droit au mur. « Les agences de notation ont dégradé la note de la Tunisie. Nous sommes à un doigt de la faillite. Dans trois mois, le pays risque fort bien d’être insolvable, il est possible qu’on ne puisse importer un baril de pétrole, importer du sucre ou encore payer les salaires. Les finances publiques n’ont jamais été dans cette situation depuis l’indépendance. Il faut le reconnaitre. Le gouvernement doit sortir sur les marchés internationaux pour obtenir les financements nécessaires, or avec l’état actuel des choses, ça risque d’être très difficile ».
Par ailleurs, Fadhel Abdelkefi a assuré qu’aujourd’hui on ne sait pas qui gouverne le pays, puisque les trois présidents supposés le faire se livrent à une guerre sans merci. Et d’ajouter que la Tunisie a dépassé la crise identitaire et doit se concentrer sur les questions bien plus importantes pour sauver le pays. Dans ce contexte, il a considéré qu’il est nécessaire de réviser les lois obsolètes qui bloquent tous les secteurs confondus. Ainsi, il a souligné qu’il faut d’abord s’accorder le rôle de l’Etat et mettre un terme aux lignes rouges imposées par les différents acteurs, et accorder la priorité à l’intérêt du pays.
Dans un autre contexte, il a abordé le volet partisan et les orientations d’Afek Tounes, précisant que son parti est plutôt pragmatique et dépasse l’approche identitaire et la bipolarisation. « Nous volons rassembler les Tunisiens qui ne veulent voter ni Ennahdha, ni le PDL. Nous ne voulons pas regarder le passé, nous visons le futur ».
S.H
Ceux qui pensent pouvoir faire de la haute politique par un long baratin de grabuges sociopolitiques, à l'image de ce baratin dont nous amuse ce fils à Papa, Fadhel Abdelkefi, se trompent énormément. Ils lèsent beaucoup à la Tunisie par leur pessimisme infondé, à l'image de ce que nous font de mal, ces prétendus «experts économiques». Un vrai expert économique ou un vrai politicien tunisiens, n'utilisent jamais un discours pessimiste, dont seuls les créanciers de la Tunisie (FMI, Banque Mondiale, etc), y profitent pour serrer la corde davantage autour des cous des Tunisien, prenant en témoins les exposés de nos arrivistes amateurs de la notoriété publique. Ces coqs de bruyère qui ne cherchent que la célébrité individuelle.
Tous les pays de ce monde vivent un déficit budgétaire. Celui de la France est de 206,0 milliards d'euros, pour l'année 2020. Celui de l'Allemagne est de 51,6 milliards d'euros au premier semestre 2020. Celui des '?tats-Unis a atteint en 2020 un niveau record pour dépasser les 3.000 milliards de dollars, sous l'effet des dépenses réalisées par le gouvernement fédéral face à la crise économique sans précédent provoquée par le Covid-19. De quoi parle-t-on donc en Tunisie, pour faire peur à ce petit peuple tunisien riche en pétrole, en phosphate, en produits agricoles, en industrie moderne, en compétences humaines, en tourisme, en travailleurs à l'étranger, en amis américains, européens, arabes, chinois, japonais etc!!!
Qui dit mieux, qui dit plus!!!
Donc, si vous entendez un politicien ou un soi-disant expert économique, répandre du pessimisme, sachez qu'il s'agit là, d'un nullard «Arschloch» à deux sous troués, sans la moindre valeur pour la Tunisie. Genre de ceux qui te disent que tous sont des voleurs, tous sont des terroristes, tous sont des criminels, etc. de ce langage facile qui ne nécessite que des paroles concaves et jamais de preuves louables. Le vrai bon politicien ou le vrai bon expert économique, ne parlent que de solutions, de projets, de programmes, de dénouement et de réponse aux problèmes. Non pas rabâcher par le langage facile, qu'il y a des problèmes, qu'il y a des difficultés, qu'il y a du danger, qu'il y a et qu'il y a, comme s'il avait la constipation et qu'il attend du peuple tunisien, qu'il lui introduise des suppositoires dans son anus, pour qu'il puisse chier.
Allah yostir Tounes.
En général, "Arschloch" désigne tout ce qui se rapporte à l'imbécilité, à la débilité et à la mauvaise foi.
Bonne soirée.
Donc sans intérêt!
Un homme qui a du succès dans sa profession n'aura même pas le temps de s'entretenir avec un petit journaliste de province.
Aujourd´hui, tout le monde se précipite en politique pour ramasser l'argent facile du contribuable ou mieux pour le voler et les journalistes les aident volontiers...
Allah lè yar7amilhoum Ouèlden !
bâties depuis un millénaire, objet de tentatives timides de reformées très partiellement par les Beys, modernisées par les Français et consolidées de manière radicale et durable par Bourguiba
40 ans que ces modes d'agir et de penser conformes aux valeurs de modernite de legalite et de responsabilite
ont commences a se liquefier pour aboutir au campement de sauvages qui fait véritablement office de société tunisienne en 2021
il ne s'agit pas uniquement d'eliminer les blocages structurels que tout le monde connaît pour tenter de rebâtir un pays et une economies viables - elimination du système oligarque mafieux qui parasite et paralyse les potentiels de croissance durable, reduction capacité de nuisance de l'UGTT des mafieux et de l'administration ennemi n1 de la Tunisie.......-
il s'agit surtout de faire évoluer les schemes mentaux vers la responsabilité citoyennei est impossible a court terme
Donc la Tunisie ira probablement se fracasser contre le mur en raison de l'effondrement de ses capacités de resilience et de progrès
Il faut envisager si il y aura un après
La Tunisie emprunte auprès des organisations internationales et ces organisations ne vont pas abandonner la Tunisie puisque ses besoins sont relativement dérisoires. Deux milliards de dollars est rien du tout devant les spéculations dans les marches financiers; la valeur du Bitcoin une valeur totalement spéculative dépasse le 1000 milliards de dollars.
La Tunisie n'est pas le seul pays a avoir de gros problèmes financiers. La banque mondiale et le groupe des 20 pays les plus industrialisation (G20) a conclu moratorium sur les intérêts et le remboursement de la dette pour les pays les plus pauvres (voir le site de la banque mondialehttps://www.worldbank.org/en/news/factsheet/2020/05/11/debt-relief-and-covid-19-coronavirus ). La Tunisie peur faire appel pour jouir de ce moratorium pour 2021 et n'aura pas besoin d'emprunter. Le service de la dette en Tunisie est plus important que les nouvelles dettes.
Se dirige et pas De dirige