
Le chef du gouvernement Hichem Mechichi et le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Taboubi ont signé ce mercredi 31 mars 2021, le plan d'études de réformes relatif au système de compensation et de la fiscalité ainsi que les réformes relatives aux établissements publics. Lors de cette cérémonie un communiqué conjoint a été signé entre le gouvernement et la centrale syndicale. Sept établissements publics seront soumis à l’étude des réformes à commencer par Tunisair, El Fouledh, l’Office des terres domaniales, la Stam, la Pharmacie centrale, la Siphate et la Steg.
A cette occasion, le secrétaire général de la centrale syndicale s’est félicité de la signature de ce communiqué conjoint, estimant que ce pas franchi était attendu depuis des années. Il a souligné que les Tunisiens étaient les mieux placés pour connaître les réformes nécessaires à mettre en place et qu’il n’était pas question de se soumettre aux recommandations étrangères pour servir les intérêts de la Tunisie.
« Depuis des années, nous avons appelé à une équité fiscale, sans laquelle nous ne pouvions prétendre à une équité sociale. D’autre part, on a toujours accusé l’UGTT d’être figé par rapport à la question des établissements publics. Ces établissements ne sont pas à vendre ou à acheter, mais des réformes sont nécessaires à leur pérennité et leur efficacité afin qu’ils soient une locomotive et un pilier du développement. Ils seront un exemple à suivre en terme de bonne gouvernance » a indiqué Noureddine Taboubi.
Il a, également, assuré que le système de compensation sera réétudié, citant entre autres la subvention des hydrocarbures ou encore certains produits alimentaires.
Noureddine Taboubi a assuré que la Tunisie avait besoin de dirigeants responsables et d’une véritable union, soulignant que depuis l’indépendance, on œuvre à construire un pays laïc, social où il fait bon vivre. « Nous avons tous les prérequis et les compétences nécessaires. Arrêtons les insultes et les tiraillements. Apprenons de nous erreurs et avançons! Il suffit d'une volonté sincère pour que la Tunisie soit une véritable référence ».
Pour sa part, le chef du gouvernement, Hichem Mechichi a considéré que la journée est historique. « Aujourd’hui, nous sommes parvenus à un consensus avec la centrale syndicale pour entamer un pas important vers la mise en place des réformes économiques et sociales. Ce processus ne peut être que participatif. Pour ce faire, nous avons d’abord commencé par instaurer un climat de confiance avec notre partenaire social, afin de pourvoir avancer ».
Hichem Mechichi a assuré qu’il a pu constater, au fil des discussions avec l’UGTT, qu’il n’y a pas de sujets tabous et que tout peut être discuté tant qu’il y a des volontés sincères et de réelles intentions pour servir le pays.
Le chef du gouvernement a affirmé que les établissements publics sont des trésors de familles sur lesquels il faut capitaliser. Il a reconnu leur rôle dans la construction de l’économie nationale, considérant, toutefois, qu’ils souffrent actuellement de plusieurs difficultés qu’il faut résoudre.
« En discutant avec la direction de l’UGTT, nous avons trouvé un terrain d’entente lorsque nous avons exposé nos approches mutuelles. Ce processus participatif ne peut que nous renforcer. Le plan de relance économique repose également sur la réforme de la politique fiscale et du système de compensation. Il faut reconnaitre que la situation est difficile et que le risque est grand, mais ensemble, main dans la main, nous serons plus forts ».
S.H

Morale:
Si vous aimez la pêche à la ligne, les lignes rouges ne sont pas aussi décourageantes qu'on le prétend ..!
Voila pourquoi ceci est du pure cinéma.
Montrez et expliquez vos solutions au peuple , et c'est lui qui va voter et choisir !
l'UGTT n'est qu'une organisation syndicale, et le pays n'est pas son propriété privé, sinon il faut dissoudre cette organisation comme on avait fait avec l'RCD. Il faut protéger cette révolution.
Et bien sûr le gouvernement actuel ne peut pas continuer ! Dégage !
Mais chut ! On est dans la cuisine des grands, pas à la soupe populaire !
Les tunisiens ne doivent jamais oublier que ce syndicat de malheur a toujours à sa tête la même clique.
Celle qui a déclenché des milliers et des milliers de grèves payées sans contre partie qui a donc grandement participé à l'affaiblissement de notre monnaie par rapport aux autres monnaies, qui nous a poussés plus encore dans la gueule du FMI.
En attendant de connaître la nature et l'importance de ces réformes qui vont durer des années, nous tunisiens allobs continuer à payer les déboires de Tunisair et le reste du secteur public.
Et cela va nous coûter encire très très chère.
Par leur rôle destructif joué au service de la mafia qui pille le pays, Taboubi et sa clique ont tout fait pour affaiblir le pays vis à vis des organismes financiers internationaux .
Et il réclame des décisions souveraines.?
Pas comme la bonne dame nomee sur Shems FM
Ferid BELHAJ de la BM n'y comprend rien. D'ailleurs il n'est pas le seul, avant lui un certain Elyes FAKHFAKH.
yizzi mit K......... TU NE SAIS PAS MENTIR , t'arrives même pas à réparer UN 1 seul TUNISAIR , yizzi mitserdik , 7 sociétés d'un seul coup et au même temps ? mouch barcha alik ya mdek - N'OUBLIES PAS LE BORDEL QUE T ' AS FOUTU --- FIL KAMOUR ---
Est ce que vous avez le temps necessaire pour gerer la Presidence du Gouvernement et le ministere de l interieur?