
Le mouvement islamiste Ennahdha a publié, jeudi 5 janvier 2023, un communiqué appelant ses sympathisants à un sit-in de soutien à l’ancien ministre Ali Larayedh, actuellement en détention dans le cadre des investigations dans l’affaire d’envoi des jeunes Tunisiens pour le djihad en zones de conflit.
Le parti de Rached Ghannouchi revendique, à travers ce sit-in devant le ministère de la Justice, la libération du dirigeant nahahdoui. Il considère son arrestation et son implication dans ladite affaire une machination du pouvoir en place contre les opposants politiques. Ennahdha entend, également, revendiquer de mettre un terme aux procès politiques.
Dans la nuit de lundi à mardi 20 décembre 2022, le juge d’instruction du bureau 12 du pôle judiciaire antiterroriste a émis un mandat de dépôt contre Ali Larayedh. Le vice-président du parti islamiste Ennahdha a été interrogé, en liberté, plus tôt dans la journée du 19 décembre, puis a été placé en détention. L’ancien ministre avait été auditionné une première fois en septembre puis libéré.
Notons que l’enquête concerne plus de 800 personnes, dont l’ancien président de la République, Moncef Marzouki.
N.J.

NO COMMENT
Un jour ou l'autre il y aura des enquêtes sérieuses à ce sujet.
Et les duperies tel que de recruter pêle-mêle des dizaines de milliers de sudistes dans la fonction publique à Tunis.
Daileurs ces recrutementsfictifs, anarchiques et fantoches , pouvaient d'après leur complot, avoir lieu tout en étant au sud et qu'il n'y avait nul besoin que cela soit à Tunis la ville déjà surpeuplée et massacrée avant même 2011.
N'est-ce pas preuve à l'appui ?
Et ça le dérangeait énormément à ce moment-là lors qu'il se permettait à tout Ali errach.
Ya rabbbi nawwir el hakk mtâa echai illi kamou bih hal moujrim.
Inoubliable !
Ou encore Ali qui a tabassé les manifestants un certain 1 mai dont Jawhar Hazgui!
Beehhh oui.
Ou encore oh DJAJA ta pas fini djaja qui a tabassé encore les honnêtetés intellectuelles lectrices un certain 5 janvier dont celles de tout un pays !"
Si le "frère" se sent laché, qu'il naisse en lui le sentiment qu'on l'abandonne, le sacrifie, il pourrait se confier amplement et par petites touches finir par cracher le morceau.
Comme on a coutume de clamer son innocence, que l'on diffuse urbi et orbi ce message, cela ferait désordre que l'un des meneurs vende la mèche et nous grille en plein vol.
Alors, sollicitude obligée et démonstration de solidarité ne sont que l'habillage du cadavre qui bouge... encore.
Par conséquent, qu'il se trouve encore des gens pour accréditer ce montage ne doit pas réjouir les compagnons.
La maison brûle.
De proche en proche, plus l'étau serre plus le bruit sera grand et univoques les protestations.
Il n'y a rien à dire à tous ces fanfarons sauf notre rejet total et absolu de leur cirque.
Les criminels sont pris dans la nasse, et leurs soutiens ont la charge de brosser un tableau plus vrai que nature, dans le style illustration du héros.
Ali Laarayedh est exemplaire de cette race de pleutres et voleurs,
criminels ou complices, menteurs et faussaires dont la responsabilité est première dans la décrépitude des us et coutumes, le délabrement du pays et l'avilissement de l'esprit général.
Out !
Maintenant on fait les Sit-in pour tout et pour tous !
Wè Kol Wè7id Yèchta7 Fi 3irsou !
Je vous défie si vous avez la faculté mentale de comprendre un livre parmi ses différents ouvrages.
A BAS LE COUP D ETAT
UNE TUNISIE LIBRE ET DEMOCRATIQUE POUR TOUS A PART ENTIERE SAUF AUTOEXCLUSIVE