
Le président de la République, Kaïs Saïed, a effectué une visite "inopinée" au siège de la Snipe-La Presse. Il s'y est rendu le samedi 11 mars 2023. Le président avait rapporté avec lui une série d'articles de presse. Certains ont été rédigés par lui-même. L’un d’eux avait pour titre « La relation entre l’État et la religion ». Il les a présentés aux cadres de l'établissement et a demandé de les publier une nouvelle fois.
Dans une vidéo publiée par la présidence de la République, Kaïs Saïed a insisté sur l’importance des journaux. Il a même assuré que ces supports continueront à exister et qu’ils étaient plus importants que les médias électroniques.
« Ce qui est le plus important reste la liberté de la presse et de penser. Nous devons préserver nos institutions et notre histoire… Nous sommes tous prêts pour la préservation de la Tunisie… La question des salaires est liée à des pratiques internes à l’établissement… Nous devons, également, préserver Dar Assabah… Plusieurs titres publiés visent à induire l’opinion publique en erreur et à semer la panique… La pensée demeurera libre ! », s’est-il exclamé.
Kaïs Saïed a profité du contenu et du titre d’un article publié dans un ancien numéro qu’on lui avait présenté afin d’évoquer les complots dont il est la cible. Il a assuré que ceux voulant porter atteinte au pays et à ses institutions seront tenus responsables de leurs actes. Il a, également, évoqué une ancienne publication d’un poème de Bayrem Ettounsi critiquant les conseils municipaux. Pour rappel, Kaïs Saïed avait procédé à la dissolution de l’intégralité des conseils municipaux élus depuis 2018.
Kaïs Saïed a considéré que le prochain parlement devait être à la hauteur des attentes du peuple tunisien et répondre aux attentes des citoyens. Les lois doivent répondre à la volonté publique et non servir les intérêts de ceux qui cherchent à revenir dans le passé. « Ces députés doivent comprendre qu’ils travailleront sous le contrôle du peuple tunisien ! Ce qui a lieu aujourd’hui avec certains élus et au sujet de la formation de blocs parlementaires est considéré comme une pratique dépassée… Le parlement ne sera pas comme celui d’avant… Nous devons procéder à une restructuration ! Oui ! Que veulent dire les dépenses à hauteur de 300 mille dinars alors que les locaux (de La Presse) sont encore fermés », a-t-il déclaré.
Par la suite, Kaïs Saïed s'est offert un bain de foule. Il a affirmé aux citoyens présents qu’il ne comptait pas privatiser les institutions et établissements connus pour leur symbolique et valeur historique. Il a critiqué le recours à la location de bureaux à hauteur de 300 mille dinars par année par La Presse alors que celle-ci bénéficiait d’un siège. Il a, aussi, évoqué l’importance du journal « Assabah ». Il a, par ailleurs, assuré que le pays avancé vers la concrétisation des attentes des Tunisiens.
« Ce conseil des régions et des districts, dont ils ne comprennent pas le principe ! Le rôle de l’État est la réalisation de l’intégration entre les citoyens… La prise de décision au niveau national et en matière de développement ne doit plus faire référence à des zones marginalisées… Les marginalisés seront représentés dans ce conseil… Beaucoup sont ceux qui n’ont pas compris cela. Même la question d’alternance dans la représentation vise à lutter contre la corruption… Il est possible de révoquer les élus… L’élu doit agir de façon responsable… Ceux qui déforment la réalité ! Qu’ils lisent l’histoire », a-t-il ajouté.
Kaïs Saïed a affirmé qu’il n’avait pas peur des campagnes menées depuis l’étranger et qu’il ne se préoccupait que de l’intérêt du pays. « Nous n’avons peur que d’Allah », a-t-il assuré.
S.G

"Avez-vous compris mon fils ce dont nous avons besoin et ce que nous devons faire maintenant ?"
Le fils répondit fièrementet sans hésitation :
" Ya Bay Fi Hèl Ghaar dakhlou Sittè Ouà Sittin Nummèlè !"
Ils se sont octroyés (et je parlerai que de cela) des "compensations colossales" et injustifiées en vidant les caisses de l'Etat et en affamant la population. C'est d'ailleurs ce profiteur de Harouni, qui "a lancé le 1er juillet un ultimatum au gouvernement qui a soulevé la colère dans l'opinion. Alors que la Tunisie est désormais le pays d'Afrique où le nombre de décès dus au Covid-19 est le plus élevé, Abdelkarim Harouni exigeait le versement de sommes faramineuses avant le 25 juillet, jour de la fête nationale".
I N D E C E N C E et I M M O R A L I T é !
Il vaut mieux commencer par balayer devant sa porte.
Une seule question, êtes-vous encore et toujours morte de rire ?
Je suis persuadé que OUI.
Vous n'apprenez RIEN de vos erreurs et de vos échecs.
Vous ne vous remettez JAMAIS en question.
C'est cela qui fait de vous une rigide endoctrinée.
Ce qui vous sauve, c'est que vous êtes TOUJOURS morte de rire.
Riez encore. Le rire soulage les imbéciles.
Merci à qui, à quoi ?
A faire la pluie et le beau temps
Pour des enfants à qui l'on ment.
Merci président. BN a déjà dit merci pour les bananes et les pommes à 5 dinars.
Cela vous convient ?
'akhhhhh!! ze vais touz vous rendre rezponzable !!! '
plus rétrograde , y en a pas !!
Il aurait dû aller voir un psy ,depuis très très très longtemps !!!
Y'en à qui estiment avoir souffert ces dix dernières années.
Beiiinnn, le facho est en train de les achever !!!!
Je vous avais prévenues,
"Vous n'aimez pas Ben Ali ?
Vous détestez les islamistes ?
Vous allez HAÏR le facho !!"
Donc on revient a Tawjihet el rais...
Je suis bel et bien en vie et la mort ne fait guère peur car quand mon heure viendra, comme le Commandant Supreme je quitterai ce monde avec un sentiment puissant de devoir accompli.
Je sirote encore le soir comme a l'habitude mon verre de Johny Walker de couleur rouille sur lequel se reflètent les photos en noir et blanc ou Bourguiba mon Père y sourit d'un regard pétillant, et ou Ben Ali mon frère semble réfléchir de ses yeux sombres et humbles à quelle sera la stratégie idéale qui sauvera la Tunisie des islamistes à l'époque ou l'Algérie se consumait.
Je suis de retour car le devoir envers la patrie m'appelle à grands cris même quand je dors du sommeil du juste après des décennies passées à la servir.
J'écris aujourd'hui pour vous mettre en garde, vous dont les intellects sont estropiés par l'arrogance, les diplômes qu'il est impossible de parcourir d'un derrière distrait et rugueux, et votre esprit colonial qui fait que vous vénérez tout être à la peau blanche cognant a la porte vermoulue de ce pauvre pays.
Vous êtes inscrits dans les annales du glorieux Nationalisme arabe comme étant le peuple renégat par excellence qui servit les intérêts d'Israël comme jamais imaginé.
Golda Maier de sa tombe voudrait vous embrasser et vous bénir de tous ses os.
Le printemps Arabe a été l'arme nucléaire qu'Israël n'a guère eu à déployer. Le Monde Arabe est détruit et comptes ses linceuls par millions. Le Yémen et la Libye ont quitté les traités de géographie et ne représentent même plus de frontières lisibles dans les grimoires des Librairies Nationales.
Mes services secrets évoquent un complot impliquant des puissances sionistes déterminées. Le Président Tunisien actuel y est accusé d'être un homme loyal à Moscou. On l'accuse même de vouloir établir une base Russe dans ce qui serait un tremblement de terre stratégique dans le monde.
D'innombrables personnalités Tunisiennes ont été sollicitées dans ce qui serait un plan aussi diabolique qu'élémentaire comme l'attentat du Petit-Clamart.
Que les forces de l'ordre et les soldats de notre Nation se tiennent prêts. Des milliers d'islamistes hargneux sont amassés dans l'ombre et attendent confusion et chaos pour agir de leurs mains gluantes.
Que Dieu protège notre pays.
Que Dieu pardonne vos crimes de collabos et de traitres.
F.M. ALIAS JOHN WAYNE
ANCIEN FONCTIONNAIRE AU MINISTERE DE L'INTERIEUR TUNISIE