
Le président du Syndicat des Agriculteurs de Tunisie (Synagri), Dhaoui Midani a assuré qu'il n'y avait pas de raison de s'inquiéter quant à la consommation de pastèques en Tunisie. Il a indiqué que ce produit était sain.
S'exprimant le 22 juillet 2024 durant "Sbeh El Ward" de Hatem Ben Amara sur Jawhara Fm, Dhaoui Midani a affirmé que la consommation de pastèque ne représentait pas de danger. Il a, également, considéré que le consommateur tunisien a confondu deux produits, à savoir la pastèque saisonnière et la pastèque produite hors saison. Il a expliqué que ce fruit ne pouvait pas être produit naturellement en mars et en avril.
Dhaoui Midani a indiqué que la seule différence pouvait être décelée au niveau du goût. Ce dernier n'est pas similaire à celui de la pastèque normale produite durant la saison. Tout au long de ces explications, Dhaoui Midani a insisté sur le fait que ce fruit était sain. D'après lui, il y a quelques cas d'utilisation excessive de phosphates composés. Il a, aussi, assuré que ceci ne représentait pas de danger pour le consommateur.
Par la suite, Dhaoui Midani a révélé que l'agriculteur vendait la pastèque à 200 millimes le kilo. Il a affirmé que les producteurs n'étaient pas responsables des prix de vente aux consommateurs. Il a expliqué que la hausse des prix était le résultat de spéculations. Il a cité l'exemple des tomates tout en assurant qu'il vendait le kilo à 270 et 280 millimes contre un prix de vente en détail à hauteur de 1,8 dinar.
Le président du Synagri a évoqué une défaillance au niveau du contrôle effectué par l'État. D'après lui, les agriculteurs vendent le kilo de pêche à 1,8 dinar et à deux dinars. Les dépassements ne relèvent pas, selon lui, du rôle du syndicat.
S.G
Allez savoir quels types "dopants" périmés ou de contrebande ont été utilisés par des agriculteurs véreux pour que des cas d'intoxications alimentaires aient été signalés ici et là dans le pays.
'?galement, l'utilisation abusive d'insecticides dangereux ou dépassant le seuil autorisé peut avoir des incidences néfastes, voire périlleuse après l'ingestion de ces fruits.
Les services spécialisés du ministère de l'agriculture doivent remonter toutes les filières et identifier, s'il y a lieu, les vergers incriminés.
'?a suffit des affirmations rassurantes du style usité durant l'ancienne période "7 Novembre", soit "tout va très bien, rien à signaler"...
voir l'effet que ça lui fera au bout de deux, allez trois jours...
Si il ne fera pas un "sit in" aux toilettes, c'est que les pastèques sont comestibles et sans danger.
Malheureusement, en ce qui me concerne, ça n'a pas été selon les affirmations de ce Monsieur, je vous fais grâce
des détails...
.Le consommateur n'a pas intérêt à ce que l'agriculteur soit pénalisé suite à de fausses informations mais il voudrait bien être sur que ce qu'il pourrait consommer est réellement sain .C'est une affaire de coordination entre producteurs et contrôle des services publics.