Par Sofiene Ben Hamida
Vendredi dernier, deux kamikazes se sont fait exploser près de l’ambassade américaine dans une banlieue huppée de Tunis. Deux de moins dans le contingent de Noureddine Bhiri qui comprend cent mille kamikazes selon ses propres dires. Deux kamikazes qui rappellent à Rached Ghannouchi sa jeunesse et qui ont voulu exprimer leur islam coléreux de la manière la plus sanguinaire et morbide. Deux criminels qui trouvent pourtant des voix non moins criminelles pour les défendre.
Depuis vendredi dernier les dirigeants de l’Etat s’activent à nous faire croire qu’ils font quelque chose : Kaïs Saïed et Rached Ghannouchi ont rendu visite aux blessés, chacun de son côté, pour s’assurer qu’il sera au centre de la photo de circonstance. Elyes Fakhfakh s’est déplacé chez le lieutenant décédé dans l’attentat terroriste pour présenter ses condoléances à sa famille. Sinon, rien ou presque. Les déclarations ou les communiqués publiés jusque-là ont été bien fades. Ils manquent d’engagement comme si l’attentat terroriste est un simple fait divers ou comme si le terrorisme est entré dans nos habitudes, une explosion de temps en temps, quelques victimes et la vie reprend son cours. On était en droit de s’attendre à une assemblée générale d’urgence de l’ARP le lendemain samedi, pour commémorer le 4ème anniversaire de l’épopée de Ben Guerdène et montrer la détermination du peuple à travers celle de ses représentants face au terrorisme. Au lieu de cela, on a eu droit à un communiqué édulcoré de sa présidence.
Pendant ce temps, dans le camp d’en face, celui des terroristes, leurs supporters, leurs alliés et leurs défenseurs, l’heure était à l’offensive pour rendre les deux kamikazes victimes d’une situation, non responsables de leur crime odieux et faire porter toute la responsabilité à l’Etat, aux services de renseignements étrangers et aux forces occultes antirévolutionnaires. C’est le cas de la coalition Al Karama, remplaçante des anciennes Ligues de défense de la révolution. C’est le cas d’Imed Dghij, ancien gros bras de ces ligues qui s’est vu dernièrement propulsé dirigeant politique. C’est le cas aussi de Seif Eddine Makhlouf, avocat du diable, qui a reconnu être l’avocat de l’un des terroristes impliqués dans l’attentat de vendredi dernier. C’est aussi le cas de ce député Mohamed Affes qui, sans aucune gêne, il y a à peine quelque jours, au sein même du Parlement, a fait l’apologie du takfir. Tous se barricadent derrière la démocratie, la liberté d’expression et les droits humains pour continuer à agir contre les fondements de notre société.
Or, il est évident que ces gens sont une menace mortelle pour les libertés publiques et individuelles. La démocratie derrière laquelle ils se murent pour mieux la poignarder est un système qui exige l’acceptation des différences, la cohabitation entre les idées contraires et la résolution pacifique des conflits. Pour sa survie et sa pérennité, la démocratie se doit de se défendre contre ses détracteurs et ses ennemis par la force de la loi. Ces lois existent. Elles interdisent l’apologie de la violence et du terrorisme. Elles interdisent les atteintes à la paix sociale et ne permettent en aucun cas les discours qui portent atteinte à la diversité ou qui incitent à la haine et à la violence. L’apologie de la violence et du terrorisme n’est pas un simple point de vue. C’est un crime puni par la loi. Celle relative à la lutte contre le terrorisme et la répression du blanchiment d’argent aurait pu, si elle avait été appliquée scrupuleusement, à tous et dans toutes les circonstances, lutter plus efficacement contre le terrorisme et le priver de ses soutiens. Malheureusement, cette loi n’est applicable qu’en présence d’un Etat fort et déterminé qui ne concède rien aux terroristes et à leurs soutiens à l’intérieur comme à l’extérieur du pays. C’est ce qui nous fait défaut aujourd’hui.
Conclusion, pour sortir le pays de la catastrophe, l'unique solution réside dans une réaction ferme et sans nuances car les ennemis de la démocratie, aucune règle démocratique ne doit leur bénéficier... "pas de liberté pour les ennemis de la liberté". Qui initiea cette politique sans pitié pour ces voyous, ennemis du pays? Elfakhfakh, Saayed? J'en doute fort, il faut un pouvoir fort, avec des gens sincères et fidèles au pays qui sauront karcheriser la scène politique afin que seul, l'intérêt de la Tunisie pays sera l'unique but de chacun et de chacune.
Zeine Eddine Ben Ali le président de rigueur que les Tunisiens n'auront plus un président comme lui
Un président qui n'a jamais eu de repos comme les autres président et ce n'est pas pour rien c'est pour l'intérêt général sans relâche jusqu'à le dernière jours de son départ ( Un discourt d'adieux ) Rani Fhamtkoum Fhamtkoum .d'après lui je prendre mon baguage et je vous laisse la présidence à qui vous jugez mieux que mois
une décision rare la certitude qui pourra resté par force mais pour lui la sécurité des Tunisiens est prioritaire
Qui ne souvenez pas de la période ou la Tunisie était le pays la mieux gérée dans la région tout va bien une vie sociale a la porté de tous les classe la sécurité régnait à travers tout le territoire national et pour cella si on honore SIDNA Amar 4x4 04 sa sera mieux car lui aussi avait risqué pour que les Tunisiens vivaient soigneusement mais hélas certains services internationals de renseignements ont été très inquiétant du regime decette périodes hormis certains reconnus de leur étroitement dans leurs jugements si ce n'est pas les U S A qui appréciés les regimes comme celle de Ben Ali Z.E ou le double face est inexistant .
Et pour ne tromper l'opinion publique Ben Ali n'a pas été seul au pouvoir il y avait des hommes de domaines eux aussi ont participé efficacement dans la vie politique ( Mohamed Karaoui , Omar Fillali et la liste est trop longue )
Ce n'est pas trop tard le train et encore à la gare pour rattraper à condition de ne pas écarter les dirigeants de l'ancien système et s'il y a des allergiques de Ben Ali il faut connaitre que les anciens dirigeants ne sont pas de méme caractère de ce de Ben Ali .
Pour cela il faut des hommes courageux,
volontaristes.Lesquels ne se bousculent pas au portillon.
Dire qu'au sommet de l'Etat est un juriste-DEA en poche ,fin de carrière en maître-assistant -ça vous pose son homme...de paille...
Un '?tat qui refuse d'appliquer sa règle de droit est un Etat moribond, en voie de bananisation.
Laisser faire ces jean-foutre de à Fesses,
cet enragé de Makloub et autre dégénéré de Dghij c'est prendre sagement et docilement le chemin de l'abattoir.
Le Ramadan approche à grandes enjambée .Gageons qu'il se trouvera des autorités policières relayées par les ,instances judiciaires pour appliquer avec
alacrité ,zèle ,détermination et fermeté tout écart à une règle désuète ,liberticide
d'un autre âge .
Ou l'on saura pourquoi nous rémunérons de nos impôts et de nos dettes policiers
magistrats et autres sinistres barbus enturbanés.
donc est venu le temps de bombader au temps de ganouchi et des barbus aux commandes.
qui seme le vent récolte la tempete qi ici n'est qu'à ces début vive la jeunesse heureuse de ganouchi .
Plus sincerement VIVE MART el BOULICE '?'?'? '?'? et sa famille
Quant aux plus hautes autorités de l'Etat ,hôte de la Kasba et demi-pensionnaire de Carthage ,ils font mine de regarder ailleurs, tétanisés par l'idée de manquer de voix pour faire passer leurs réformes ou par simple inconscience ,sinon irrésponsabilité ; ils sont aux gouvernants absents à l'image des rois fénéants.
Nous oublions toujours une vérité ,ils ne s'autorisent autant d'écarts que parce que nous avons abdiqué.
"Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux."Etienne de la Boétie.
consommées par des scélérats".Paul
Bourget.
Les naïfs à l'initiative de la révolution étaient de pauvres hères , vendeurs à la sauvette , jeunes femmes ,buveurs de bière et autres romantiques doux rêveurs.
Les intrigants ,maquignons aux longs couteaux,resquilleurs invétérés ,planqués au dernier rang ,cinquième colonne ,combattants de la vingt-cinquième heure ,accoururent ,qui de Londres ,qui de Paris ,qui du Moyen Orient et de partout ailleurs ,prirent le dernier wagon du train en marche pour faire
valoir leur droit au butin.
Aujourd'hui que la pauvre et maigre vache est totalement désossée ,définitivement équarrie c'est le temps des hyénes et des scélérats.
Pourtant Abir Moussi à ce que lon sait et lon constate cest une battante et une combattante rarement vu que par Jamila Biuhired ou autre Radhia Haddad et tant d'autres patriotes tunisiennes bien connues siut avant ou apres l'indépendance ; la liste est longue voire tres longue.
Que Dieu soit avec elle pour qu'elle contribue avec tout le peuple tunisien libre et digne à ce que La Tunisie sorte de cette impasse dressée par des obscurantistes affamés du pouvoir par la corruption à l'aide d'argent sale de provenance douteuse et de diverses traitrises.
K. Saied est très décevant. Il avait promis d'appliquer le Droit, rien que le Droit. Et votre pertinente analyse montre qu'il n'en fait rien! Dans la chienlit actuelle, le déni de Droit quotidien exercé par l'ARP, il pourrait au moins taper du point sur la table. Il a des pouvoirs, tout de même!