Le ministre des affaires sociales Mohamed Trabelsi a indiqué, ce mercredi 28 novembre 2018 sur Express FM, que le Conseil national du dialogue social a un rôle important pour éviter la grève prévue par l’UGTT pour le 17 janvier 2019 et essayer de trouver un compromis au sujet des augmentations de salaires.
«Le gouvernement n’est pas contre le principe des augmentations de salaires, actuellement nous négocions avec le conseil sur la date et la manière de procéder pour ces augmentations» a-t-il expliqué en poursuivant qu’une rencontre entre le chef du gouvernement Youssef Chahed et le secrétaire général de l’UGTT Noureddine Taboubi est prévue avant le 8 décembre 2018 pour en discuter davantage.
Selon ses dires, le Conseil examinera également plusieurs affaires sociales qui seront accompagnées de projets de lois. Ces affaires seront ainsi soumises à toutes les parties représentées au sein du Conseil afin d’en discuter pour aboutir à une solution commune.
F.J
Mohamed Trabelsi : Le gouvernement n’est pas contre les augmentations de salaires
Le ministre des affaires sociales Mohamed Trabelsi a indiqué, ce mercredi 28 novembre 2018 sur Express FM, que le Conseil national du dialogue social a un rôle important pour éviter la grève prévue par l’UGTT pour le 17 janvier 2019 et essayer de trouver un compromis au sujet des augmentations de salaires.
«Le gouvernement n’est pas contre le principe des augmentations de salaires, actuellement nous négocions avec le conseil sur la date et la manière de procéder pour ces augmentations» a-t-il expliqué en poursuivant qu’une rencontre entre le chef du gouvernement Youssef Chahed et le secrétaire général de l’UGTT Noureddine Taboubi est prévue avant le 8 décembre 2018 pour en discuter davantage.
Selon ses dires, le Conseil examinera également plusieurs affaires sociales qui seront accompagnées de projets de lois. Ces affaires seront ainsi soumises à toutes les parties représentées au sein du Conseil afin d’en discuter pour aboutir à une solution commune.
augmenter le pouvoir d'achat et non les salaires. Pour ce il faut contrôler l'augmentation insoutenable des prix, et en même temps augmenter les salaires. Hors l'état est faible, se déchire, il n'y a pas de patron aux commendes. Personne ne contrôle les prix (sauf ces derniers jours, et de manière sporadique). Pauvre pays
c est clair
qui dit augmentation des salaires dit augmentation de l inflation donc augmentation des prix en généralet pire ddépréciation du dinard vers les 3.75 dans les 6 prochains mois
la solution des économistes mondiaux surtout du FMI qui prête de l argent aux pays du monde entier (impossible d y échapper) est de privatiser des entreprises de l état de moderniser les institutions de rréduirele ttrain de vie de l état et de réduire le nombre de fonctionnaires mais tout cela ne changera pas tant que le gouvernement islamiste tunisien ne sera pas minoritaire au pouvoir
bon courage
