Le secrétaire d'Etat chargé des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Abdallah Rabhi, est revenu sur la situation hydraulique de la Tunisie, dans une interview accordée ce mardi 24 juillet 2018 à l'émission Expresso de Wassim Ben Larbi sur Express FM.
M. Rabhi a expliqué que les quantités d’eau dans notre pays sont limitées et qu’il faut changer nos habitudes, nos politiques et nos stratégies.
Il a précisé que les problèmes d’eau ne sont pas spécifiques à la Tunisie mais touchent plusieurs pays du monde.
Certes, la sensibilisation est importante mais elle n’est pas suffisante, il faut inculquer la culture de la préservation de l’eau et surtout la mise en place d’un nouveau modèle et une nouvelle politique d’utilisation de l’eau et de sa rationalisation, a-t-il expliqué.
Le secrétaire d'Etat chargé des Ressources hydrauliques et de la Pêche a précisé que la Tunisie dispose de 39 barrages dont 3 en cours de construction. Ces trois derniers fourniront 300 à 320 millions de m3 d’eau en plus. Il a indiqué qu’à cause de la sécheresse, le pays souffre d’un manque de 100 millions sur les 3 ans.
Cette situation est due, entre autres, au retard dans la mise en œuvre de projets de barrages et de stations de dessalement, a-t-il soutenu.
I.N
Commentaires (8)
CommenterNos ressources en eau sont limitées
Quelle est la solution ?
Forum BN un miroir
il faut inculquer la culture de la préservation de l'eau
@cdrfsa
L'EXCUSE MAGIQUE
La récolte des fruits de l'immobilisme et du "Je-m'en-foutisme" des charognards de la trika, observé durant leur mandat, a commencé depuis quelque temps.
Ces derniers, étaient occupés à traire intensivement les caisses de l'état et à monter des sociétés écrans pour camoufler leurs activités annexes.
Des catastrophes de grande ampleur dans tous les secteurs publiques et particulièrement ceux de l'entretien et de la distribution d'eau et d'électricité, planent au dessus de nos têtes.
On nous cache intentionnellement beaucoup de choses
Un audit (dépenses, investissements, réalisations, travaux à faire, encours etc...,) des activités des secteurs clés de nos services publiques doit être communiqué au peuple (2011-2014).
Nous voulons savoir ce que les dirigeants de ce pays ont fait de notre argent durant cette période.
Nous voulons comprendre pourquoi ces incidents qui étaient quand même plus rares à l'époque de ZABA, ont explosé ces dernières années.
C'est notre droit.
SVP, arrêtez de nous collez le joker de la sécheresse.
Les chameliers avaient beaucoup prié, selon leurs dires.
Le plus curieux, est qu'aucun bloc parlementaire (commerçants multi-cartes), n'a osé demandé des comptes à ces boites, génératrices de très importantes sommes d'argent.
Le jour ou la mèche des scandales sera allumée, même un déluge ne pourra pas éteindre les foyers d'incendies qui se déclareront.
Il fera alors un sale temps pour les maitres escrocs de l'après coup d'état, anciens rats de prisons, se faisant passer pour des dandys.