Les ingérences des britanniques à l'encontre de la Tunisie sont les causes du massacre socio-économique de ce pays, et ce jusqu'à preuve du contraire (improbable), quoique c'est impossible pour quiconque des deux parties (britannique ; ou leurs fantoches réfugiés politiques) ne parvienne à prouver le contraire, à moins par des mensonges ou des alibis de la part de nahdha (les opportunistes et boucs émissaires par excellence), dont les tunisiens s'y sont habitués de leurs arnaques, de leurs abus (démocratie dites-vous ?), et surtout de leurs menaces, leurs sabotages et leurs crimes, et ce depuis déjà huit ans, car aucun tunisien par dignité, magnanimité et honneur n'aurait accepté ce chantage ou cette prise en otage de présumés réfugiés et serviteurs de leurs maitres britanniques (une procédure pourtant bannie faut-il le rappeler par les allemands vu son caractère colonisateur), étant donné que la présumée dictature ne peut se résoudre que par la volonté de tout un peuple, et ne peut jamais se résoudre par le biais d'un clan restrein de concitoyens soi-disant réfugiés politiques, qui, et de plus, n'ont aucun rapport avec la politique vu leur niveau d'instruction précaire voire leur illetrisme, et vu, de surcroît, qu'ils n'ont même pas été au moins formés tant sur le plan culturel que professionnel lors de leur sinécure à Londres, car ils nont été, par contre, qu'inondé d'argent de provenance douteuse, et ce après avoir été hébergé royalement à londres, ou ailleurs, pour revenir par la suite, et en guise de récompense, privilégier leurs concitoyens (sudistes) et rejeter, par pique et haine, le restant du peuple (et la question est devenue irréversible et impardonnable actuellement faut-il le rappeler, à moins d'une guerre civile) ; et il faut être trop bas (tel que ce clan) pour accepter cette coruption antipatriotique tout cela pour de l'argent ou des gains qui seront censés provenir du pétrole libyen après la prise du pouvoir en Tunisie préconisée par les britanniques, et puis de rejeter le restant du peuple "à la mer "(réellement par sabotage ; un coup monté dernièrement) ou ailleurs, surtout pour les originaires de Tunis qu'ils dénigrent en flagrance et qui donnent des consignes à leurs pions de nahdha nommés dans tous les ministères et dans toutes les sociétés de ne pas les recruter ou de leur octroyer aucun accord (à Tunis ou ailleurs) n'importe lequel même régulier soit-il.
Dictature de Ben Ali dites-vous ? Il y a plus fort !