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Noureddine Taboubi critique Néji Jalloul, sans le nommer
05/02/2017 | 13:34
1 min
Noureddine Taboubi critique Néji Jalloul, sans le nommer

Dans une déclaration accordée, ce matin du dimanche 5 février 2017 à Mosaïque FM,  Noureddine Taboubi, secrétaire général de l’UGTT, a indiqué sur un ton ferme que « la centrale syndicale admet qu’il y ait des divergences avec certains responsables gouvernementaux, mais n’accepte pas que les travailleurs, plus précisément les éducateurs, soient humiliés. Il s’agit là d’une ligne rouge à ne pas franchir sous quelque forme que ce soit. Il est n’est nullement admis que les éducateurs soient comparés à des terroristes armés. Il faut, donc, trouver, des solutions à ce problème et c’est au chef du gouvernement se trouver les alternatives, car on ne peut traiter les grands dossiers à travers les plateaux des médias avec un discours populiste », a-t-il affirmé en substance.

 

Et d’enchaîner, en pointant du doigt le ministre de l’Education sans le nommer, que cette approche populiste est devenue trop flagrante au point qu’elle ne peut plus tromper le peuple tunisien et l’opinion publique.

Noureddine Taboubi conclut sa déclaration en affirmant que l’UGTT ne peut plus communiquer avec tous ceux qui se trouvent à l’origine de ces tensions.

 

S.H

05/02/2017 | 13:34
1 min
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Commentaires (22)

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hedi
| 06-02-2017 22:11
Un ministre qui se respecte évite de tomber dans la médiocrité et de montrer son visage de façon constante à la télé. Un ministre qui connait certainement les règles de la courtoisie et du comportement digne d'un représentant de l'Etat est là dans son poste pour 'uvrer à trouver des solutions, et non pas à hercher querelle aux gens sous sa tutelle. Chaque profession a ses lacunes, et cen'est pas le rôle du ministre de dévoiler le ''linge sale'' de la profession au public, et notamment à travers les médias qui survivent ''de la révélation des scandales''. Un ministre qui se respecte est là pour agir de façon à rétablir et établir de bons rapports entre les acteurs principaux du système éducatif , en l'occurrence - enseignants, parents d'élèves, administration, syndicat et autorités de tutelle. Mr Néji Jelloul doit réviser son approche et solliciter la collaboration du syndicat pour le bien être de la ''marche'' éducative en Tunisie. Quant aux réfoemes, c'est une autre histoire...

Mouchahéd
| 06-02-2017 20:52
Si Nidaa Younes et Youssef Chahed lâchent Neji Jalloul, la perte des élections sera assurée.

Les Tunisiens veulent un parti fort et solidaire. D'ailleurs, où est la solidarité gouvernementale?

Sous l'ère de Toubboubi, le déclin de l'ugtt a commencé de bon pas. Au lieu de trouver un terrain d'entente et réconcilier ses troupes avec le ministre, il a préféré être le porte drapeau ridicule de son adjoint, pour affirmer sa nouvelle autorité.

Tout ce combat, grèves, manifestations, mise en danger de l'année scolaire des élèves avec des multiples conséquences sur les parents, pour une phrase, qui peut être retirée de sans problème avec même des excuses ! Yétlakchou! Haw éssh_hih !

houda
| 06-02-2017 18:00
l ugtt veut refaire la meme chose avec naji jalloul et la liste ne va pas s arreter avec jallou il y aura surement un autre ministre sur la liste en un mot il faut elliminer les ministre qui reussissent l ugtt ne veut pas que la tunisie redecolle il y va de leurs interets quand on est nè profiteurs on ne peut vivre que dans l eau trouble surtout quand on a un secretaire general nahdhaoui

houda
| 06-02-2017 17:51
faites ce que vous voulez multiplier les declarations degradante vous ne pouvez en aucun cas atteindre le niveau tres elevè de naji jalloul il demeure un prof d universite vous demeurerai des*****quoi qu il soit pauvres ****

Alouane
| 06-02-2017 15:23
L'attitude du nouveau secrétaire général est scandaleuse. Depuis quand un syndicat peut -il prétendre imposer des changements ministériels au chef du gouvernement. Drôle de démocratie. Monsieur Chahed doit imposer ses choix face à ces troublions et en premier au secrétaire général du syndicat de l'enseignement secondaire.

sador
| 06-02-2017 13:35
Et ça recommence!! le nouvel élu de l'UGTT,au lieu de chercher de mettre de l'ordre dans sa boite il a préféré suivre une voie antidémocratique, celle d'éxiger d'une manière dictatoriale, le changement d'un ministre dont la nomination a été approuvée par un parlement élu du peuple.Ce monsieur doit réspecter la volonté des tunisiens et leur épargner d'autres déceptions donc ... d'autres colères. la patience a des limites.

Momo
| 06-02-2017 13:33
Depuis 2011, les khouamjias cherchent à se défaire de l'UGTT, seul organisme capable de les confronter. Leurs tentatives ont jusque là échouées, mais il semble qu'ils ont bien réussi à installer l'un des leur à la tête de l'UGTT. Sa mission n'est rien d'autre que de diaboliser l'UGTT pour lui faire perdre son influence auprès des Tunisiens. Vrais syndicalistes, sauvez votre organisation.

sador
| 06-02-2017 13:08
Et ça recommence!!le

Walid
| 06-02-2017 11:41
Attaque programmé de l'élite, et des secteurs qui font honneur à la Tunisie. A voir la tête de ces syndicalistes lors de leur congrès, et du temps perdu de parler de la cause palestienne alors que les vrais sujets concernant la Tunisie, son économie, ses travailleurs dépassent tout entendement, on comprend que la médiocrité et le populisme ont pris place , faute de réelle vision, de réelles solutions à apporter. Un pays qui recrutent qui peinent à payer ses salaries recrutes en masse sous une pression syndicale.. Demain va être très difficile

hauteur
| 06-02-2017 09:48
Il a toujours pris de la hauteur et ne s'implique pas dans les petites histoires.