besoin de votre vote pour avoir la confiance de l'ARP.
Arrêtez de jouer au" violon" les Tunisiens
ne sont pas dupes
Le président de l’UPL, Slim Riahi, a déclaré que son parti a adhéré pleinement à l'initiative du gouvernement d'union nationale et qu'il soutient "personnellement" le gouvernement Chahed, mais que la position finale du parti dépendra de l'issue des travaux du conseil national qui se poursuivent actuellement et qui sont marqués par "quelques réserves".
"L'Union Patriotique Libre est une partie intégrante de la coalition au pouvoir même si elle n'a pas obtenu de portefeuilles", a-t-il souligné dans une déclaration en marge des travaux du conseil national. Par ailleurs, il a tenu à préciser que la non participation de son parti au gouvernement ne signifie pas nécessairement qu'il est dans l'opposition, affirmant que les réserves émises sont dues au choix d'un gouvernement à base de quotas partisans qui a renforcé la présence du parti Ennahdha et l'entrée de personnalités des partis de la gauche. "Il s'est avéré après les négociations que toute signature en faveur de l'initiative permet d’obtenir un ministère", a-t-il estimé.
Le président de l’UPL, Slim Riahi, a déclaré que son parti a adhéré pleinement à l'initiative du gouvernement d'union nationale et qu'il soutient "personnellement" le gouvernement Chahed, mais que la position finale du parti dépendra de l'issue des travaux du conseil national qui se poursuivent actuellement et qui sont marqués par "quelques réserves".
"L'Union Patriotique Libre est une partie intégrante de la coalition au pouvoir même si elle n'a pas obtenu de portefeuilles", a-t-il souligné dans une déclaration en marge des travaux du conseil national. Par ailleurs, il a tenu à préciser que la non participation de son parti au gouvernement ne signifie pas nécessairement qu'il est dans l'opposition, affirmant que les réserves émises sont dues au choix d'un gouvernement à base de quotas partisans qui a renforcé la présence du parti Ennahdha et l'entrée de personnalités des partis de la gauche. "Il s'est avéré après les négociations que toute signature en faveur de l'initiative permet d’obtenir un ministère", a-t-il estimé.