Parmi ces personnages, dont la présence est garantie, se trouvent entre autres les milliardaires comme Bill Gates, le patron de Microsoft, Georges Soros, un des plus grands spéculateurs du monde, Carlos Slim, le propriétaire indiscutable de tout le Mexique, Christy et Jim Walton, les patrons de la plus grande chaîne de distribution US Wall Mart. Ainsi que des hommes politiques surtout occidentaux et certains des grands idéologues du néolibéralisme.
En quelque sorte toutes ces personnes décident ' paraphrasant Susan George, l'auteure entre autres du « Rapport de Lugano » et « Lugano II » une dame très active à niveau mondial dans le domaine socio-politique et farouchement contre le néolibéralisme ' de qui va vivre et qui doit mourir. En l'état actuel ils ont réduit plus de la moitié de la population mondiale à la misère totale qui survivent avec moins de 2 dollars par jour. Selon les invités de M. Schwab pratiquement les trois quarts de la population mondiale qui ne servent à rien peuvent constituer un danger et il serait de leur intérêt à les faire disparaître. Généralement le modérateur de la conférence ' comme le journaliste David Ignatius US ' sont invariablement des sionistes notoires.
Pour tous ces modérateurs ' comme il est convenu d'avance ' la défense contre vent et marrée ' de l'état sioniste est sacrée comme on l'a vu une fois par hasard lors de « Davos » de 2009 quand Erdogan s'est vu couper le micro précisément par Ignatius, quand il s'est mis à critiquer Simon Pérès le traitant de menteur et de tueur d'enfants palestiniens. Ce genre de scène ne reverra jamais plus. Plus jamais.
En 2012 ce sont Ghanouchi, Jbali, Nabli et Rafik Abdeslam qui étaient les hôtes de marque de Klaus Schwab. Ils sont catalogués parmi les conseillers politiques qui ont expliqué, ce qu'on appelle la transition de la dictature à la démocratie, ce qui équivaut à comment changer certaines figures par d'autres, sans rien changer dans les fondements et ainsi maintenir la Tunisie dans son orbite, du néolibéralisme.
Ceux qui se préparent cette année au déplacement de la conférence globale de la boule de neige de Davos ne vont rien apporter de neuf sinon confirmer la ligne politique de toujours.
On ne nous jamais informés sur les facture qu'ils ont payées à M. Klaus Schwab et les frais supplémentaires, mais il est bien certain qu'ils n'ont jamais payé un seul dollar de leur propre poche. Et voici ce que coûte la participation à Davos en résumée toujours selon le NYT de 2011. Des chiffres qu'il faut augmenter au moins de 20 ou 30% :
1. Pour aller à Davos, il faut déjà être invité à devenir membre du Forum Economique Mondial. Et devenir membre vous coûtera 50.000 francs suisses (38.850 euros). S'ajoute le prix du ticket pour le sommet, 18.800 francs suisses, pour un total de presque 53.000 euros.
2. Si vous ne voulez pas vous contenter de l'expérience «générique» de Davos mais souhaitez participer aux discussions privées consacrées à chaque domaine industriel, il faudra être membre du forum niveau «associé industrie». Ce qui ramène le total à 156.000 dollars ou 115.000 euros
3. Si vous souhaitez être accompagné, il vous faudra passer à un niveau encore plus élevé (et plus cher) d'adhésion, et payer le prix de leur ticket en sus. Emmener cinq personnes en plus revient à dépenser 622.000 dollars '457.000 euros. Trop cher?
4. Ces coûts n'incluent ni les frais de voyage jusqu'en Suisse, ni le logement ou la voiture sur place. Ni les dîners et fêtes qu'organisent les entreprises pour leurs clients sur place.
Enfin à chacun de tirer sa propre conclusion du prochain déplacement de ces messieurs à Davos.