Si les deux journalistes malheureux étaient en vie, comme le Congrès de putschistes de Tripoli veut faire croire, il suffirait une toute petite photo authentifiée des deux avec une première page de journal. Mais je crains que cela soit techniquement impossible, même si Al-Jazira pourrait tenter un photomontage professionnel...
On a tout à gagner à faisant confiance à la première déclaration du gouvernement légitime exilé à Tobrouk:
1. car il est légitime, tandis que celui de Tripoli est une junte pirate soutenue par Erdogan et les émirs du Qatar, et qui s'est imposée par les milices et les kalachnikovs pointés sur les magistrats
2. car à Tobrouk on a rien a gagner à propos des deux journalistes, alors que les assassinats par les islamistes ce sont comptés par centaines, surtout à Benghazi
3. car les deux journalistes-martyrs avaient enquêté sur la CORRUPTION et la connivence mafieuse des certains hommes d'affaires tunisiens, mêlés aux tratics d'armes et de djihadistes pour des fins terroristes, dont les islamistes tunisiens se réjouissent plus ou moins ouvertement...
ALORS, la vérité éclatera bien tôt, au grand dam d'Ennahdha et de tous les fréro-terroristes qui polluent les printemps hors saisons et les révolutions volées aux Arabes !