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Le SNJT dénonce les rumeurs concernant Sofiène Chourabi et Nadhir Guetari
16/10/2015 | 19:09
1 min
Le SNJT dénonce les rumeurs concernant Sofiène Chourabi et Nadhir Guetari

 

Le président du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), Néji Bghouri a déclaré, aujourd’hui vendredi 16 octobre 2015, que les informations selon lesquelles les journalistes Sofiène Chourabi et Nadhir Guetari seraient de retour en Tunisie n’ont aucun fondement.

 

Néji Bghouri a, également, ajouté qu’il n’y a aucune nouvelle donnée, qu’elle soit positive ou négative, concernant ce dossier depuis que le gouvernement de Tobrouk a annoncé leur mort le 28 avril 2015.

 

Par ailleurs, le président du SNJT a dénoncé les rumeurs diffusées par certains médias, notamment, M TUNISIA (Ex Al Moutawasset) et Radio Jeunes, tout en appelant le ministère des Affaires étrangères à donner une position claire quant à l’issue de ce dossier.

 

S.H

16/10/2015 | 19:09
1 min
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Commentaires (1)

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Observateur en Tunisie
| 16-10-2015 22:56
Tout ce que peut offrir le gouvernement pirate de Tripoli sont des promesses/mensonges, des hypocrisies et des mascarades, comme on les voit depuis 30 ans chez leur cheikh-moukhabarat qui "occupe" la politique tunisienne depuis son siège/quartier-général de Montplaisir, après son parachutage en forcing du Londonistan.

Si les deux journalistes malheureux étaient en vie, comme le Congrès de putschistes de Tripoli veut faire croire, il suffirait une toute petite photo authentifiée des deux avec une première page de journal. Mais je crains que cela soit techniquement impossible, même si Al-Jazira pourrait tenter un photomontage professionnel...

On a tout à gagner à faisant confiance à la première déclaration du gouvernement légitime exilé à Tobrouk:

1. car il est légitime, tandis que celui de Tripoli est une junte pirate soutenue par Erdogan et les émirs du Qatar, et qui s'est imposée par les milices et les kalachnikovs pointés sur les magistrats

2. car à Tobrouk on a rien a gagner à propos des deux journalistes, alors que les assassinats par les islamistes ce sont comptés par centaines, surtout à Benghazi

3. car les deux journalistes-martyrs avaient enquêté sur la CORRUPTION et la connivence mafieuse des certains hommes d'affaires tunisiens, mêlés aux tratics d'armes et de djihadistes pour des fins terroristes, dont les islamistes tunisiens se réjouissent plus ou moins ouvertement...

ALORS, la vérité éclatera bien tôt, au grand dam d'Ennahdha et de tous les fréro-terroristes qui polluent les printemps hors saisons et les révolutions volées aux Arabes !