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Le ministère de l’Intérieur réagit aux accusations de torture à l’encontre de Mohamed Ali Souissi
Le ministère de l’Intérieur a réagi, ce mardi après-midi 7 octobre 2014 dans un communiqué, aux accusations de torture portées à certains des agents des force de l’ordre du district de Sijoumi et qui ont entrainé la mort jeudi 3 octobre de Mohamed Ali Souissi, qui était détenu à la prison de Mornaguia.
Le ministère souligne, dans ce document qu’outre l’enquête judicaire, une enquête administrative a été ouverte à cet effet, mais il a attendu le résultat de l’autopsie pour être le plus objectif et le plus impartial possible devant l'opinion publique.
Ainsi, le ministère précise que la mort n’est pas due à une agression violente mais à l’existence d’infections graves au niveau du cœur, des poumons, du cerveau et des reins et de vieilles traces de piqures d’aiguilles. L’infection généralisée de ces membres a touché son cœur.
«La mort n’est pas de cause traumatique. Un syndrome septique systémique avec : des abcès pulmonaires, des signes en faveur d’une endocardite bactérienne avec des végétations purulentes au niveau de la grande valve mitrale et de la valve tricuspide, un ramollissement du lobe pariétal droit du cerveau et des foyers d’infaricissement hépatique, splénique et rénaux», cite le ministère du rapport d’autopsie.
Le ministère de l’Intérieur a condamné ce qu’il appelle «les déclarations hâtives» de plusieurs intervenants, qui ont voulu les utiliser pour des fins politiques et personnelles, et a appelé à éloigner l’institution des différentes tergiversations.
Le ministère souligne, dans ce document qu’outre l’enquête judicaire, une enquête administrative a été ouverte à cet effet, mais il a attendu le résultat de l’autopsie pour être le plus objectif et le plus impartial possible devant l'opinion publique.
Ainsi, le ministère précise que la mort n’est pas due à une agression violente mais à l’existence d’infections graves au niveau du cœur, des poumons, du cerveau et des reins et de vieilles traces de piqures d’aiguilles. L’infection généralisée de ces membres a touché son cœur.
«La mort n’est pas de cause traumatique. Un syndrome septique systémique avec : des abcès pulmonaires, des signes en faveur d’une endocardite bactérienne avec des végétations purulentes au niveau de la grande valve mitrale et de la valve tricuspide, un ramollissement du lobe pariétal droit du cerveau et des foyers d’infaricissement hépatique, splénique et rénaux», cite le ministère du rapport d’autopsie.
Le ministère de l’Intérieur a condamné ce qu’il appelle «les déclarations hâtives» de plusieurs intervenants, qui ont voulu les utiliser pour des fins politiques et personnelles, et a appelé à éloigner l’institution des différentes tergiversations.
I.N
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