Le ministre des Affaires étrangères, Nabil Ammar, a évoqué une éventuelle adhésion aux Brics, et ce jeudi 21 décembre 2023 dans une déclaration accordée à l’agence de presse russe Sputnik.
S’exprimant à l’occasion de la visite de son homologue russe Sergueï Lavrov, Nabil Ammar a, toutefois, avancé qu'aucune demande officielle n’avait été formulée dans ce sens.
En août, Nabil Ammar a participé à la dernière conférence diplomatique des Brics qui s’est tenue à Johannesburg en Afrique du Sud.
Les Brics est un groupe de cinq pays – Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud – qui se réunissent depuis 2011 en sommets annuels dans l’objectif d’affirmer la place majeure des pays membres sur la scène internationale.
Plusieurs pays sont en lice pour rejoindre ce groupe en tant que membres observateurs. Par ailleurs, en août 2023, les Brics sont rejoints par six pays : l'Iran, l'Argentine, l'Égypte, l'Éthiopie, l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis.
Pour faire partie de ce groupe, certains critères doivent être remplis, notamment une économie de marché en développement, une croissance économique rapide et un engagement en faveur de la démocratie et des droits de l'Homme.
N.J.
tu confonds briks et BRIKS
GROW UP !!
RETOUR ET ENRACINEMENT DANS LE CADRE REVOLUTIONNAIRE DEMOCRATIQUE D'ESPRIT 2011 ET LETTRE 2014 '? COMBIEN PLUS PROMETTEUR COHERENT HONNETE ET EDIFIANT EN DROITE LIGNEE DES AURORES VERTUEUSES INITIALES DU 25 !
Des pays qui exigent le visa... et ce Ammar n'y voit aucun problème...
Ho9ra Ho9ra crie au ciel depuis longtemps !
La Tunisie a bougé beaucoup trop tard, nous aurions dû nous orienter beaucoup plus tôt vers l'Asie !
Alli Ibi3ik Bill Foul, Bi3ou Bi9chourou !
Sinon, et pour rigoler, si intégrer les brics ne tenait seulement qu'à votre économie, à votre gouvernance, à votre sens de l'état et de la stratégie, les seuls Brics qu'ils vous proposeront sont les brics à l'oeuf, au thon bil kabbar, et bil7am el mafroum. Ceux-là, vous y avez encore accès en dépit des temps durs, fruit de votre trahison collective de 2011. Et si cela continue, il vous restera quand même les Brics bil Battata. Mais tout cela suppose gaz et zit qalyène; et là est une autre paire de manches.
Enfin, et aux quelques récalcitrants qui tiennent encore à leur révolution, je vous dirai la fameuse parole de la Ghannoucha, celle à laquelle j'avais répondu, dans le temps-là, en ces termes: "Moutera bien bi-ghaydhihi qui moutera le dernier".
Bonne bourre les amis!
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant;
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
