Le journaliste et chroniqueur Attessia, Mourad Zeghidi s’est exprimé, ce mercredi 16 février 2022, sur l’annulation de l’interview de l’ancien procureur de la République Béchir Akremi, initialement prévue le 12 février 2022, sur les ondes d’IFM dans l’émission 3andna Agenda.
Mourad Zeghidi a assuré qu’il avait eu l’aval de la direction de la radio le jeudi, et ce après avoir eu l’accord définitif de Béchir Akremi « La programmation de cette interview a nécessité un travail acharné durant un mois et demi. Il n’était pas facile de convaincre Béchir Akremi d’accepter l’interview. D’ailleurs, ça aurait été sa première véritable apparition médiatique, puisque jusque-là, il s’est contenté de quelques déclarations ».
Et à Mourad Zeghidi de poursuivre : « Malheureusement, j’étais surpris par l’annulation de l’émission sur décision de la direction d’IFM. C’était une déception même si, avec un peu de recul, je peux comprendre cette décision. En effet, il y a eu beaucoup de pressions sur la direction de la radio, mais les plus grandes pressions venaient des réseaux sociaux ».
Le journaliste a tenu à expliquer dans ce contexte que l’objectif de l’interview n’était nullement de blanchir Béchir Akremi, soulignant que ce dernier était un magistrat et non un terroriste, d’autant plus que les faits qui lui sont reprochés relèvent de suspicions. D’autre part, il a précisé que même des membres du comité de défense des martyrs Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi avaient salué la programmation de cette interview et qu’ils avaient même proposé des questions à poser à Béchir Akremi.
S.H
Une copie-conforme aux crimes du genocidaire de son peuple égyptien le Saffah Sissi, qui enferme, torture, massacre et tue ses opposants politiques, dans le mutisme total.
Mais le peuple tunisien ne ressemble en rien du tout à la lâcheté du peuple égyptien.
Qu'on nous montre un seul journaliste égyptien, qui pourrait s'expliquer par cette conscience et par cette honnêteté de nos journalistes.
Le peu de courageux parmi eux, ont quitté l'enfer égyptien, pour s'exprimer de l'étranger.
Rien n'intéresse les Egyptiens comme le Bakchich.
Allah yostir Tounes wè Allah yèhlik ass-hab el-charr.