Dimanche 22 août 2021, la région du Bardo a été bouleversée, par un crime affreux dont a été victime une famille entière.
D'après les premières données, le père, professeur de musique résidant au Bardo et dirigeant d'une petite troupe, aurait décidé dimanche soir d’égorger sa femme ainsi que ses deux enfants et de se suicider.
L'un dees enfants était âgé de 18 ans et a décroché son bac cette année tandis que son plus jeune frère est encore lycéen. La mère est professeure d'enseignement secondaire. Sa fille unique a échappé parce qu’elle n’était pas à la maison lors de cette tuerie.
Mais par la suite, l’enquête préliminaire semblerait confirmer une nouvelle version des faits. Selon cette version, étayée par des sources sécuritaires, ce serait le fils aîné qui aurait commis le meurtre après une dispute avec son père. Sa mère et son frère voulant s’interposer ont été blessés à mort. Le jeune homme soufrerait de troubles psychologiques.
J.B
Les officines, de l'étranger, et leurs relais sur place ne l'entendent pas de cette oreille.
Alors des petits cons, pas si naïfs, croient verser leur obole en rajoutant à la veulerie coutumière de la tribu.
En réalité, ils sont les agents de base, ceux à qui s'adressent les Harouni, les irrédentistes qui planifient une reconquista sans doute promise aux exécutants.
Naïf ou demi-habile, cette séquence ne vous laissera pas d échappatoire, et faute d'acheter les gens, votre cercle de soutiens se rétracte comme peau de chagrin.
Il vous restera toujours les plus obtus, les plus cons, ceux aveuglés ou dans la dépendance des subsides garantis par vos soins.
Va ne fera pas le poids.
En face, il y a un homme determiné. Et, qui n'est pas seul parce qu'habité par une idée plus haute que ce qui peut mouvoir vos cheikhs et autre grands professeurs du mensonge.
Vos petitesses parlent de vous. La vacuité est la marque des prétendants.
il est totalement fou trop brutal pour pouvoir tuer en même temps sa femme et son fils
Du coup, dans quelques mois ou quelques années, il aurait eu moins de pression financière et aurait donc pu épargner sa famille.
Un minimum de pudeur et de compassion,espèce d'imbécile. (Manai)
PS : Une attention particulière et compassion envers cette famille douleureusement touchée. Paix à leurs âmes.
Toute la société tunisienne souffre d'une atmosphère socio-économique asphyxiante, tous nos enfants ont besoin d'un encadrement / prise psychologique à nos écoles primaires et secondaires. En particulier la peur de perdre son boulot est un traumatisme pour beaucoup de père de famille.
Une question s'impose, comment redonner la joie de vivre aux Tunisiens?