Même les plus raisonnables et qui ne veulent pas créer débarras pour l'état en se contentant par nationalisme de ce qu'ils ont, se manifestent ervreclalent au moins leurs droits qui ont été remis sous forme de faveur à d'autres qui ont bénéficié par contre, de touts silotlrtes de recrutements, d'autorisations diverses et de moult appuis variés vu leurs infinies contestations les plus caricaturales et capricieuse croyant que l'état est un pourvoyeurs d'argent sans réciprocité ni équivoques de travail par exemple.
C'est de cette façon que les nahdha interprètent leur existence en Tunisie dont ils n'ont aucun mérite pour il y accéder en 2011, et que la vie se définie par avoir un logement à Tunis, d'avoir un véhicule neuf pour se balader à longueur de journée à Tunis pour aller aux, aux bars, a la plage (salie vu le surpeuplement et l'urbanisme croissant; d'où un spectacle désolant d'une circulation d'autos massive, est remarquée, chaque jour, dans les rues et les ruelles de Tunis.
Pauvre Tunisie comme cela a été dit en Tunisie, et ce par tout le monde, dès 2011 après quelques mois après la venue des intrus nahdha de Londres, en colonisateurs interne ; à commencer par la capitale, qu'ils n'ont jamais connue auparavant à moins à la télé, ni la Tunisie elle-même, puisqu'ils vivaient au sud tunisien, ou en Europe et dans les pays du golfe arabe grâce aux privilèges que leur accorda Feu Ben Ali; pour qu'après ils consultent afin d'influencer les gens lors des élections législatives, et se faire passer pour des innocents et qui ont peur de Dieu.