Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu samedi 5 décembre 2020, le président de l’Assemblée des représentants du peuple, Rached Ghannouchi et le chef du gouvernement, Hichem Mechichi à Carthage.
La rencontre a porté sur la situation générale dans le pays ainsi que les tensions sociales survenues dans plusieurs régions ces derniers jours, indique la présidence de la République.
Le chef de l'Etat a assuré que "la Tunisie est un pays uni et le président est le symbole de son union, le garant de son indépendance, de sa pérennité et du respect de la Constitution".
Le président de la République a souligné l'importance de l'adoption du projet de Finances pour éviter le recours au dernier paragraphe de l'article 66 de la Constitution et les répercussions qui en découlent à l'intérieur et à l'extérieur.
Le dernier paragraphe de l’article 66 de la Constitution dispose que « si le projet de loi de finances n’a pas été adopté le 31 décembre, il peut être exécuté, en ce qui concerne les dépenses, par tranches trimestrielles renouvelables et ce, par décret présidentiel. Les recettes quant à elles sont perçues conformément aux dispositions des lois en vigueur ».
La rencontre a été également l'occasion de discuter de l'initiative présentée par l'UGTT.
Kaïs Saïed a, dans ce sens, indiqué que toutes les propositions étaient les bienvenues sauf celles des corrompus. Il a aussi souligné la nécessité de satisfaire les revendications légitimes du peuple loin des tentatives de chantage et de porter atteinte à l'Etat de l'intérieur. Le président a aussi souligné que la phase actuelle était "délicate" et "dangereuse", appelant tout le monde à assumer sa responsabilité totale.
I.M.
On pourrait, enfin, s'interroger sur les initiateurs de cette campagne facebookienne en faveur de ce candidat lui gagnant des faveurs au-delà de l'inespéré pour le hisser à cette fonction où il occupe bien plus ce qu'on pourrait appeler, sans l'offusquer, le magistère du verbe.
Ce qui lui sied à merveille, mais manque l'essentiel de ce qu'on attendait de lui, l'action. Actions pour dire clairement et agir très opportunément afin de freiner les ardeurs de ceux qui font et défont les gouvernements jusqu'à réhabiliter les vrais Rcdistes et blanchir les corrompus.
Alors, tant d'ardeur pour acclamer cet homme, et l'enthousiasme qui leva des foules de soutiens sinon d'admirateurs semble perdre de ses couleurs à l'épreuve du temps.
Les passions dévorantes peuvent vous jeter dans les bras...
Y a si Kais , yehdik , dites nous une fois pour toutes qui sont ces corrompus dont vous parlez !
Ce n'est pas normal qu'un président s'exprime par énigmes quand il s'adresse à ses concitoyens !
Déjà que vous ne parlez pas Tunisien , passe encore , mais là vous nous fatiguez , et pas qu'un peu !
" Parlez ou partez " , avait dit César ( Julius Caesar ) à un de ses généraux ( Quintus Pedius ) , qui se demandait s'il devait lui livrer le nom d'un traitre au sein de l'état major .
Alors parlez franchement , monsieur le président , car nous sommes en droit de savoir ce qui se trame dans notre dos et dans le votre , ou bien alors taisez vous et passez à autre chose '?'. Car ça devient ridicule , stérile et infantilisant ( surtout pour vous ! ) .
Trêve de blabla populiste et stérile le peuple hurle sa colère le peuple crève le peuple vomis ceux là même a qui vous serez les mains.
A se demander si il n'est pas l'oiseau rare de ceux qui l'attendaient, dans le cas contraire il ne s'agirait que d'une autre forme d'oiseau de mauvaise augure .
Dans un cas comme dans l'autre il n'a et ne fera rien pour le bien du pays.
KS est comme la religion seul les ignorants y croient !
Mais, il ne réagira pas, puisqu'il n'a aucune magnanimité et qu'il est indignecdevant l'enrichissement illicite et l'argent ; c'est un malade d'argent.
Un autre à sa place aurait quitté la Tunisie et de cacher son visage dans nimporte quel autre pays de ses commanditaires et d'essayer de se faire oublier et ce au lieu de se rester comme une loque et la risée de tout le monde et non seulement en Tunisie ; des scènes innombrables personnellement vécue qui chagrinent même les plus inhumains et les sans fierté.
Le pays est en grave détresse et ne supporte plus ces slogans vides de sens et sans aucun aboutissement ni aucune perspective.
Agir pour la Tunisie ou mourir, tel devrait être la devise de ceux qui veulent sortir le pays de son marasme.
C'est le délire de chez délire -- Même les crapauds n'ont plus le sens de la honte !!!!
Farhat Rajhi le magistrat (Pour ceux qui ne le connaissent pas) est ACTUELLEMENT un député. ?
@ Magistrats : Qu'est vous en faites avec cette crapule ? Il fait déjà partie de l'AMT ou du SMT ?
Résolvez votre bordel interne tout d'abord, mettez du javel puis parlez de justice propre, vu que Farhat Rajhi comme des dizaines 'Autres' sont la honte de la magistrature.
https://www.tunisienumerique.com/tunisie-farhat-rajhi-revele-le-coup-de-theatre-execute-apres-la-fuite-de-ben-ali/
Tu es "KI BIK KI BLECH". et après 14 mois à Carthage on peut dire aussi "KI BIK KI BLECH".
Et dire 73% des électeurs qui vous ont accordés leurs voix ! Echaâb Yourid.