Très juste mon cher ,clarté avant toute chose! quand on pense qu'à un "I"près on était dans la merde !

Rally El Chott ? Kesaco ???Vous vouliez probablement parles du RallyE des Chotts ? Ben, fallait le dire, et BIEN le dire !

bien dit :comme quoi il faut savoir "tourner sa langue " un maximum de tours (surtout pour une spécialiste du compte-tours) avant de proférer ce qui dans les circonstances actuelles que connaît le pays ,risque ,dans le meilleur des cas d'être choquant et au pire ,d'être ressenti comme un tissus d' âneries . Dommage quand on apprécie le cran , la valeur et les performances de cette sportive de haut niveau dans un sport aussi dur voire dangereux .

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Tout est dit ; rien à ajouter. Une "seringue de vaccination" comme je les aimes !
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URMAX

Tout est relatif.
Il y a tellement de choses plus valorisantes à effectuer.

C'est pas demain la veille qu'on sortira de la médiocrité et du "sur place".

Le rallye automobile fait partie du passé, ce n'est pas écologique ni bon pour la planète.

A quoi bon polluer l'air du sud Tunisien et gaspiller des milliers de litres de gasoil subventionné par la caisse de compensation.

La dame devrait se lancer dans un rallye en voiture électrique ou une course en VTT dans le désert, bref arrêter de bousiller la planète.

" « Je rêve d'avoir la Toyota Overdrive pour courir sauf que ce pick-up coûte à peu près 300 mille euros en entrée de gamme. Beaucoup d'argent ! Si l'on pense à celui que l'on doit ajouter pour la préparation de la voiture et pour les mécanos, cela devient impossible vu les moyens dont je dispose ».( sic), pleure cette excellente "sportive".Elle a raison, surtout quand elle précise que c'est l'Etat qui doit payer le prix de la voiture rêvée, sous prétexte de "son palmarès" (resic) Il faut être réaliste, car la guimbarde qu'elle réclame," bas de gamme", une Toyota Overdrive, ne coûte que 300 000 euros (près 900 000 dinars), une bricole, ajoutés aux frais "de la préparation de la voiture et pour les mécanos" (sic). Au total, cette petite dépense, qu'elle réclame à l'Etat, pourrait atteindre 1000 000 de dinars, une goutte d'eau... Ce serait scandaleux que l'Etat ne prenne pas en charge cette dépense dérisoire, surtout que ses caisses regorgent d'argent, que les citoyens sont gâtés à force de salaires mirobolants, de plein emploi, d'infrastructures au top, d'écoles et d'hôpitaux flambant neuf et très bien équipés, et à tire larigot etc...On voit bien que l'Etat, cet avare indécrottable, se moque de l'intérêt général et de l'honneur du pays et de la République. Refuser de soutenir le sport national, et dans la foulée le tourisme tunisien, est irresponsable! On voit bien que les autorités, par ce refus, ne font que trahir le "révolution"...Pourquoi l'Etat ne finance pas cette sportive, cette championne? On dirait que le pays croule sous les dettes et qu'il souffre économiquement et financièrement, et socialement du fait qu'il soit sous la botte assassine du FMI, de la Banque mondiale et autres prédateurs...alors qu'il n'en est rien!.. Ainsi," malgré ses multiples victoires", Mme Chaouch risque fort d'abandonner la course...et mendier un emploi à Pirelli, à Agil ou même à l'ATB... A moins qu'elle fasse une croix sur la Toyota bas de gamme et songe à participer au rallye de la Tunisie à dos de bourricot. la honte! Faudrait-il lancer une campagne de collecte de fonds auprès de la population entière, elle qui croule sous l'or? Pensez-y!

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Donc, chez nous - en Tunisie - pour être sponsorisé, il faut "remercier" (ndlr : lèche bottes ?)
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Alors que, normalement, le simple fait que ces marques soient affichées [ce sont des espaces publicitaires] leurs coûteraient des dizaines de milliers de Dinars !
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URMAX