Bonne continuation

Des citoyens ont saccagé le service des urgences de l’hôpital de Bouhajla, au gouvernorat de Kairouan, en ce matin du dimanche 1er octobre 2017, en détruisant les équipements et en agressant les agents du service.
Le même incident a eu lieu hier au CHU de Sahloul, à Sousse, ou des individus ont vandalisé le matériel de l’hôpital et se sont attaqués au personnel.
Le chef de service des urgences du CHU de Sahloul, Dr Riadh Boukef a affirmé que l’agression a été faite par trois individus. Il a ajouté, dans une déclaration rapportée par la TAP, qu’un individu, blessé d’un coup de couteau au ventre, s’est présenté aux urgences aux environs de 4h du matin et demandé à être secouru. Admis pour y recevoir les soins nécessaires, le blessé a été rejoint par son frère et un ami qui ont commencé à saccager du matériel médical sous prétexte que le blessé n’a pas été rapidement pris en charge. Ils ont ensuite agressé des membres du cadre médical et agressé l’agent de sécurité qui s’était interposé.
Commentaires (17)
Commenter@ à Monday, Merci
Bonne continuation
Hypocrisie
@Monday
Au début on nous a dit qu'on leur avait demandé d'attendre car il y avait des cas plus sérieux à traiter auparavant, et maintenant on nous dit que le patient à l'origine de ce déchaînement de violence était en fait blessé par un coup de couteau dans le ventre, ce qui semble très loin d'être anodin.
Déjà, quand arrive quelqu'un qui est blessé de cette façon la procédure est normalement la même partout où ne règne pas la loi de la jungle :
- on prend en charge la personne,
- on l'isole de son entourage possiblement violent s'il y a lieu,
- et, surtout, on prévient immédiatement la police afin qu'elle vienne investiguer, en profitant du fait que l'individu est déjà plus ou moins "neutralisé" et éloigné de ses accompagnants.
Enquete.
C'est la continuité du saccage des institutions du pays...
Quoi de plus normal et point d'étonnement!
Les nouveaux hilaliens.
Il faut les traiter en tant que traîtres de la nation et sans circonstances atténuantes.
Attention aux départs !!!
En plus des campagnes de moralisation du citoyen, la présence de deux agents de police au service d'urgence le soir est devenue indispensable quitte à financer le recrutement de nouveaux agents en opérant une légère augmentation des tarifs.
En parallèle, un travail doit être fait scientifiquement par les mass médias et les spécialistes en communication et en sciences sociales pour, d'une part examiner les raisons pour lesquelles le phénomène de la brutalité s'est installé chez nous et d'autre part, aboutir à un remède efficace.
mais tout va bien, comme le disent les politiques ....
tout va très bien, tout va très bien..
Marzouki qui revient mettre de l'huile sur le feu...
Des hôpitaux saccagés...
Des médecins dans les hôpitaux qui se comportent aussi comme des petits caïdes, demandant le backchich qui va bien (ne nous cachons pas la réalité de cette autre mafia médicale)
Des annonces de grèves sans fin..
Qui aime bien, châtie bien
Vu la fréquence de ce genre d'incidents, l'intervention dans les médias, du Chef de l'Etat est devenue une nécessité si on tient à garder nos bons médecins dans les hôpitaux tunisiens.
Il y a urgence.
"Hijou" nahdha "hijou" c'est le moment !
C'est les débris qui manquent le moins.

